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    l’histoire des francs français

    Le franc est une ancienne monnaie française dont le premier franc a été frappé en 1360. Le premier franc était appelé "Franc à chev

    Franc à cheval

    al" de Jean II le Bon. La frappe des francs s’est arrêtée en 2000 pour les billets, et en 2001 pour les pièces.

    En 1360, le premier franc est frappé pour fêter la libération du roi de France Jean II le Bon, capturé en 1356 à Poitiers par le roi d’Angleterre Édouard III et libéré en 1359 . Ce franc est appelé "Franc à cheval". En fait, le franc à cheval est un écu, qui fait une livre tournois ou 20 sols.

      

    La monnaie officielle reste la Livre tournois.

      

    L’on a appelé cette monnaie "Franc" car elle veut dire "libre" et également car le terme utilisé à la frappe de la pièce était "Francorum Rex", voulant dire "Le Roi est Francs" ou "Le Roi est Libre".

     

     

    Jean II le Bon

    En 1385, Charles VI le Bien-Aîmé, roi de France depuis 1380 est représenté sur les pièces en francs. Ces francs sont appelés "Franc à pied" car Charles VI est représenté à pied.

    En 1575, le roi de France et de Pologne Henri III fait frapper le premier franc d’argent.

    En 1586, Henri III, émet une déclaration interdisant la frappe des francs car les francs sont souvent grattés pour récupérer de l’argent.

    En 1640, Louis XIII réforme le franc.

    En 1641, Louis XIII fait frapper le premier louis d’or.

    En 1796, l’assignat (monnaie qui précéda le franc), devient l’assignat en franc.

    En 1800, Napoléon Bonaparte créé la Banque de France.

     

     

     

     

    En 1803, Napoléon Bonaparte, fait, après la loi du 17 germinal de l’an XI,

    le franc germinal (pour rappeler la loi du 17 germinal de l’an XI) la seule monnaie française.

    En 1865, l’Union monétaire latine est créée. La Belgique, la Suisse et l’Italie vont avoir comme monnaie le franc germinal.

      

      

    En 1924, une spéculation contre le franc éclate.

    En 1926, Raymond Poincaré est élu président du conseil et stabilise le franc. Le franc germinal devient alors le franc Poincaré.

    Charles de Gaulle

    De 1930 à 1990, le franc change de série toutes les décennies.

    En 1940, l’État français commence à gouverner la France. Sur toute les pièces en franc frappées entre 1940 et 1944 on écrit derrière « État français ».

    En 1958, Charles de Gaulle est élu président du conseil. Il dévalue le franc. Désormais, on divise la monnaie par cent, donc, 100 anciens francs ne font plus qu’un nouveau franc, et 50 anciens francs ne font plus que 0,50 nouveaux francs. L’année suivante en 1959, Charles de Gaulle devient président de la République.

    En 1960, le nouveau franc rentre en vigueur. Le franc Poincarré devient le franc de Gaulle.

    En 1963, le nouveau franc prend le nom de franc.

    En 1999, l’€uro est instauré.

      

    L’on peut toujours payer avec le franc.

    En 2000, le dernier billet en franc est imprimé. Il s’agit du billet de 500 francs de la série 1990, à l’effigie de Pierre et Marie Curie.

     

     

    En 2001, la dernière pièce en franc est frappée.

    En 2002, le franc est remplacé par l’euro. L’on ne peut plus payer avec le franc.

    Après sa disparition

    En 2005, la Banque de France n’accepte plus les pièces en francs.

    En 2012, la Banque de France n’accepte plus les billets en francs.

     

    SOURCES

    http://histoiresensaga.wordpress.com/2012/08/23/histoire-des-francs-francais/

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Les francs Les Francs et l’Empire romain

    Les Francs apparaissent au début du Ier millénaire dans les sources latines. Le terme désigne probablement une ligue – ou confédération – de peuples germaniques installés sur la rive droite du Rhin inférieur, au-delà des frontières de l’Empire romain, et qui n’étaient pas assujettis à l’Empire ou à un autre peuple plus important.

    Le latin francus, franci tend à prouver qu’ils se nommaient ainsi, puisque frank signifie libre en langue germanique.

    (L’on peut aussi retrouver l’origine du mot Franc dans le mot Frekkr (signifiant hardi, vaillant) issu de la langue Germanique.)

    Ces peuples avaient pour point commun de rivaliser avec les Alamans (germ. Alle Männer, tous les hommes), sans doute à l’origine un autre regroupement d’ethnies établies plus au sud sur la rive droite du Rhin. La langue – ou les dialectes – originellement parlés par les Francs ainsi que leur faciès culturel sont rattachés au groupe ethno-linguistique indo-européen germain occidental, comme les Angles, les Frisons et les Saxons par opposition au groupe germain oriental auquel appartiennent notamment les Goths.

     

     

    Les ethnies de la ligue des Francs

    Les peuples qui constituaient la ligue des Francs comprenaient vraisemblablement : les Chamaves les Chattes ou Chattuariens les Ansivariens ou Ampsivariens les Bructères les Quades les Saliens, établis près de la rivière Sale et des bouches de l’Yssel les Chérusques les Angrivariens les Hattuaires les Tubantes les Tenctères les Usipètes les Sugambres ou Sicambres n’étaient pas considérés comme des Francs les Chauques, établis au nord-est des Frisons, plus souvent rattachés aux Saxons qu’aux Francs.

     

     

    Les Grandes Invasions

    Au IIIe siècle, les Francs participent à la grande invasion de 256-257, aux côtés d’autres peuples germaniques qui entrent dans l’Empire romain pour piller. Le IVe siècle est toutefois une période de répit et de reconquête pour Rome. Vers la fin de l’Empire, au Ve siècle, on retrouve les Francs comme auxiliaires de l’armée romaine, alors grandement barbarisée, et en lutte contre d’autres barbares plus menaçants, tels que les Huns.

     

     

    Les Mérovingiens

    Parmi les Francs qui sont entrés au service de l’Empire, sûrement de longue date, se trouvent les Saliens. Leur ancêtre légendaire, sans doute quasi-divin selon les rites germaniques, est pour eux la principale source de légitimité du pouvoir royal. Il se nomme Mérovée.

    Toutefois, au Ve siècle leur roi est aussi devenu un (obscur) proconsul des Gaules, c’est-à-dire un souverain germanique paré d’insignes romains, qui se fait appeler général.

     

    Les guerriers francs choisissent Clovis pour roi

     

     

    Les Francs sont alors solidement établis en Neustrie et leurs fonctions militaires leur confèrent un pouvoir important en ces temps troublés : le jeune Clovis (germ. Hlodowecus, qui donne par la suite les prénoms Ludovic ou Ludwig en Allemagne et Louis en France) devient leur roi à Tournai, probablement en 481.

    Mais il lui faut plus que le pouvoir d’essence divine que lui confère la mythologie tribale germanique, pour s’imposer face aux évêques, aux patrices ou à la population gallo-romaine en partie christianisée.

    Installé à Soissons, où il a vaincu un général romain nommé Syagrius, Clovis est sans doute d’abord sensible aux conseils de sa femme burgonde, Clothilde, convertie au catholicisme, et à ceux de l’évêque de Reims, Rémi.

     

    Peut-être au cours d’une bataille importante contre les Alamans, la bataille de Tolbiac, il promet de se convertir à la religion chrétienne catholique s’il est victorieux. Il tient parole et reçoit le baptême en 496 ou 498 à Reims, avec 3000 guerriers.

    Par la suite, il tente d’inculquer les principes chrétiens à son peuple qui demeure largement païen.

    Après une suite de victoires sur ses rivaux barbares, notamment sur les Burgondes, Clovis apparaît donc comme l’un des premiers rois germains d’Occident à avoir adopté la religion chrétienne dominante, celle de Rome, par opposition à l’arianisme des Wisigoths ou des Lombards et par opposition au paganisme des Alamans.

     

    Il parvient ainsi à gagner le soutien des élites gallo-romaines et à fonder une dynastie durable (laquelle prendra néanmoins le nom de son ascendant germanique) : les Mérovingiens.

    Établis en Neustrie, les Mérovingiens règnent sur la Gaule jusqu’au milieu du VIIIe siècle. Leurs souverains les plus connus sont : Dagobert Ier et la reine Brunehaut.

    Il faut noter qu’à cette époque, comme sous la dynastie suivante, il n’est pas question de France, mais bien d’un royaume des Francs :

    les rois germains, en effet, ne règnent pas sur un territoire, mais sur des sujets.

     

     

    SOURCES

    D.R.

     

     

     

     

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