• Le TRESOR de la COURONNE de FRANCE.

     

     

    APOLOGIE de la FEMME LIBRE .......

     

    L’apologie de la femme.

    Chez les peuples libres , les femmes sont libres et adorées.

    Tout ce qu’on apprend dans le regard des femmes , ni le feu ni le fer

    n’y pourront rien , car l’amour , et lui seul survit parmi les flammes.

     

    La femme est le seul cadeau qui vous choisit.

    Dieu a voulu reserver l’azur pour le firmament et les yeux des femmes.

    La femme est un tresor et l’homme est un tresorier.

    De la femme vient la lumiere... et donne la lumière.

    De la femme vient le bonheur.

    De la femme vient ton enfant.... cher trésor..

    La femme est tout ce que l’homme appelle et tout ce qu’il

    n’atteint pas.

    La femme est la terre qui permet toutes les recoltes.

    Si l’amour embellit les femmes, les femmes elles embellisent l’amour.

    Le bonheur est la poesie des femmes.... alors garde là, elle t'est précieuse..

     

    poème que j'avais écris cet été.

     
     
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  • CODE D'EMERAUDE..... code de la Chevalerie..

     

    http://desrentes-rolland.over-blog.com/categorie-458563.html

     

    LE CODE D'ÉMERAUDE

    Ne deviendra Chevalier d'Émeraude et héritier du continent tout entier que celui ou celle qui affiche un tempérament honnête et courageux, possède des aptitudes à communiquer avec le monde invisible et honore les règles du Code d'Émeraude. En ta qualité de Chevalier :

    1. Respecte l'autorité et ceux qui placent leur foi en toi.
    2. Ne trahis jamais la confiance de tes compagnons d'armes.
    3. Ne mets jamais l'Ordre ou tes compagnons d'armes dans l'embarras.
    4. Chasse le mensonge de ta vie à jamais.
    5. Respecte ta parole et ne la donne pas à la légère.
    6. Sois loyal envers les gens avec qui tu t'engages et les idéaux que tu as choisis.
    7. Ne fais jamais de remarques désobligeantes envers tes compagnons d'armes.
    8. Sois poli, courtois et attentif quoi qu'il arrive.
    9. Fais toujours preuve d'une grande maîtrise de toi.
    10. N'affiche aucune arrogance autant en présence des rois que des gens du peuple.
    11. Comporte-toi avec noblesse et donne le bon exemple.
    12. Recherche toujours l'excellence dans toutes tes entreprises.
    13. Garde la foi et ne cède jamais au désespoir.
    14. N'utilise ta force que pour servir le bien, jamais dans un but de gratification personnelle.
    15. Fais régner la justice où que tu sois, mais demeure humain et miséricordieux.
    16. Ne vante jamais tes propres mérites, laisse plutôt les autres le faire à ta place.
    17. Respecte la vie et la liberté en tout temps
    18. Protège les faibles et les innocents où qu'ils se trouvent et viens-leur en aide si tu le peux.
    19. Soulage la souffrance et l'injustice.
    20. Sois généreux avec ceux qui sont dans le besoin.
    21. Sois prêt à faire des sacrifices pour servir la vérité en toutes circonstances.
    22. Dans le respect des règles du combat, repousse tous ceux qui tentent de s'emparer de nos terres ou de voler nos gens.
    23. Ne réponds à la provocation que si elle met ta vie en danger.
    24. Ne recule jamais devant l'ennemi et n'attaque jamais un adversaire désarmé.
    25. N'abandonne jamais un frère ou un allié sur le champ de bataille.
    26. N'éduque qu'un seul Écuyer à la fois pendant toutes les années de son apprentissage.
    27. Ne te sépare jamais de ton Écuyer.
    28. Respecte ton Écuyer et protège-le contre tous les dangers.
    29. Transmets ta science et tes belles valeurs à ton Écuyer avec honnêteté et simplicité.
    30. Si tu crois qu'un enfant mérite de devenir Écuyer et qu'il n'a pas été choisi par le magicien d'Émeraude, fais-le savoir.
    31. N'unis ta vie à ton âme sœur que lorsque ton Écuyer sera devenu Chevalier.

     

     

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  • Histoire En 1828, après des études de médecin chimiste en Angleterre, Pierre-François-Pascal Guerlain, s'installe à Paris comme parfumeur vinaigrier. La même année il crée la parfumerie Guerlain, sous la forme d'une boutique dans l'Hôtel Meurice à Paris.

    Il y vend des sapoceti — savons au blanc de baleine parfumés aux essences naturelles —, ses premières eaux de toilette comme Senteurs des Champs et Bouquet du Jardin du Roi, des lotions importées d'Angleterre, des crèmes de soin de la peau, comme son Blanc de perles, censé éclaircir le teint de la peau, une crème liquéfiée de graisse d'ours et une crème de rose aux limaçons. S'y ajouteront des poudres (1830), des fards à joue et un extrait de rose liquide pour les lèvres.

     

    1853 marque la création de l'Eau de Cologne Impériale, un des grands classiques de la maison. En 1870, c'est la création de Ne m'oubliez pas, le premier bâton de rouge à lèvres en tube élaboré à partir de cire à bougie parfumée. L'idée est venue d'un cousin qui fabriquait des bougies. 1880 correspond à la création de la première poudre compacte.

     

    En 1889, correspond à la création de Jicky par Aimé Guerlain, composé de fragrances de bois associées à d'autres aromates comme la lavande, l'iris, la coumarine à odeur de foin, et des baumes.

     

    Il fut le premier parfum à utiliser des produits de synthèse dans sa composition; mais, son secret a été d'ajouter une légère note animale issue des glandes anales de la civette, un petit félin, ce qui à l'époque choqua les femmes mais plût aux dandys.

     

    En 1904, est créé Secret de Bonne Femme, la première crème hydratante à la texture de crème fouettée. En 1921, Jacques Guerlain compose Shalimar, à base de Guerlinade — un composé de baumes, d'iris et de vanille —, créé en hommage à la princesse hindoue, Mumtaz Mahal pour laquelle son époux fit construire et lui dédia le plus emblématique des mausolées, le Taj Mahal. Le nouveau parfum fut présenté en 1925 lors de l'Exposition internationale des arts décoratifs de Paris, au Grand Palais.

    L'ouverture du premier institut de beauté au monde a lieu en 1939 sur l'avenue des Champs-Élysées, pour l'élaboration duquel ont travaillé les grands noms de l'époque Jean-Michel Franck, Christian Bérard et Diego Giacometti.

     

    Le lieu sera classé Monument historique. Le parfum Vétiver, un élégant parfum pour hommes, est créé en 1956 par Jean-Paul Guerlain et commercialisé en 1959.

     

    Les années 1980 sont marquées par le succès des soins Les Météorites, des billes de couleurs différentes, censées sublimer le teint. En 1984 est lancé le parfum Terracotta, base au fil du temps de la première ligne à part entière avec 60 références de poudres, gloss et fards à joue.

     

    En 1992, Jean-Paul Guerlain prend la direction de Guerlain. En 1994, le groupe LVMH rachète la maison Guerlain. En 2005, la maison Guerlain est rouverte après travaux par la décoratrice Andrée Putman et l'architecte Maxime d'Angeac. Au centre, trône un lustre gigantesque dessiné par Philippe Montels pour Andrée Putman et enchâssé dans l'orgue à parfums. Le lancement des parfums Les Quatre Saisons, signés Jean-Paul Guerlain, pour célébrer les 180 ans de la maison Guerlain est réalisé en 2008. Thierry Wasser devient le nouveau parfumeur de la maison.

     

    En 2010, plusieurs associations ont appelé à un boycott des produits Guerlain et du groupe LVMH, en réaction aux propos racistes tenus par Jean-Paul Guerlain sur France 2[1].

     

    Liste des parfums

     

    Depuis sa fondation en 1828, Guerlain a créé plus de 300 parfums.

    • Chypre, 1840
    • Eau de Cologne Impériale, 1853 ; Pierre-François-Pascal Guerlain (en hommage à l'Impératrice Eugénie)
    • Fleur d'Italie, 1884 ; Aimé Guerlain
    • Skine, 1885 ; Aimé Guerlain
    • Rococo, 1887 ; Aimé Guerlain
    • Jicky, 1889 ; Aimé Guerlain (flacon : Gabriel Guerlain)
    • Excellence, 1890 ; Aimé Guerlain
    • Belle France, 1892 ; Aimé Guerlain
    • Cipricime, 1894 ; Aimé Guerlain
    • Eau de Cologne du coq, 1894 ; Aimé Guerlain
    • Jardin de mon curé, 1895 ; Jacques Guerlain
    • Voilà pourquoi j'aimais Rosine, 1900 ; Jacques Guerlain
    • Champs Élysées, 1904 ; Jacques Guerlain. Sorti en 1914. Flacon en forme de tortue, clin d'œil à l'encontre de l'architecte de son nouvel hôtel particulier qui avait fait traîner outre mesure les délais de construction.
    • Après l'ondée, 1906 ; Jacques Guerlain
    • Heure Bleue, 1912 ; Jacques Guerlain, flacon aux fils de soie ébouriffés en pompon.
    • Mitsouko, 1919 ; Jacques Guerlain
    • Eau de Fleurs de Cédrat, 1920 ; Jacques Guerlain
    • Shalimar, 1925 ; Jacques Guerlain, flacon aux fils de soie brossés à plat.
    • Liu, 1929 ; Jacques Guerlain
    • Vol de nuit, 1933 ; Jacques Guerlain
    • Vega, 1936 ; Jacques Guerlain, flacon estampillé d'un cachet de cire.
    • Ode, 1955 ; Jacques Guerlain
    • Vetiver, 1956 Jean-Paul Guerlain, un élégant parfum pour hommes, sorti en 1959.
    • Chant d'arômes, 1962 ; Jean-Paul Guerlain, inspiré par la mère de son fils.
    • Habit Rouge, 1965 ; Jean-Paul Guerlain
    • Chamade, 1969 ; Jean-Paul Guerlain
    • L'eau de Guerlain, 1974 ; Jean-Paul Guerlain
    • Parure, 1975 ; Jean-Paul Guerlain
    • First, 1976 ; Jean-Paul Guerlain
    • Silences, 1978 ; Jean-Paul Guerlain
    • Nahéma, 1979 ; Jean-Paul Guerlain. Parfum dédié à Catherine Deneuve inspiré par son rôle dans Benjamin ou les Mémoires d'un puceau.
    • Jardins de Bagatelle, 1983 ;Jean-Paul Guerlain
    • Derby, 1985 ; Jean-Paul Guerlain
    • Samsara, 1983 ; Jean-Paul Guerlain, inspiré par Decia, sa première épouse, un accord de jasmin et de santal.
    • Héritage, 1992 ; Jean-Paul Guerlain
    • Petit Guerlain, 1994 ;Jean-Paul Guerlain
    • Un air de Samsara, 1996 ; Jean-Paul Guerlain
    • Champs-Élysées, 1996 ; Jean-Paul Guerlain
    • Guerlinade, 1998 ; Jean-Paul Guerlain
    • Terracotta, 1999 ; Jean-Paul Guerlain
    • Belle Époque, 1999 ; Jean-Paul Guerlain
    • Cherry Blossom, 1999 ; Jean-Paul Guerlain
    • Aqua Allegoria, 1999 ; Jean-Paul Guerlain
    • Philtre d'amour, 2000 ; Jean-Paul Guerlain
    • Aqua Allegoria Floria Nerolia, 2000 ; Jean-Paul Guerlain
    • Too much, 2000 ; Jean-Paul Guerlain
    • Météorites, 2000 ; Jean-Paul Guerlain
    • Coriolan, 1998 Jean-Paul Guerlain
    • Mahora, 2000 ; Jean-Paul Guerlain
    • L'Instant de Guerlain, 2003 ; Jean-Paul Guerlain et Maurice Roucel(Symrise)
    • Insolence, 2006 ; Jean-Paul Guerlain et Maurice Roucel(Symrise)
    • L'instant magic, 2007 ; Jean-Paul Guerlain
    • Quatre saisons, 2008, dans le flacon de Mitsouko.
    • La Petite Robe Noire, 2009, Delphine Jelk, dans le flacon de Mitsouko
    • Idylle, 2009, Thierry Wasser

     

     

     

    Flacon de Shalimar.

     

     

    Jean-Paul Guerlain et son grand Père Jacques

     

     

     

     

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  • LE VETEMENT et la MODE au MOYEN AGE.

     

    VETEMENTS DES FEMMES :

    Le costume féminin a évolué au cours du Moyen-Age, mais les changements apparaissent surtout aux XIV et XV siècles. Le costume féminin comporte une chemise, une robe, un manteau, fendu sur la poitrine, et une chape.

     

    A l'époque romane les femmes portent une chemise, un blouse et un manteau. Vers 1140 il y a un changement important: les vêtements s'allongent, les manches s'évasent et les chaussures pointues font leur apparition.

     

    De la fin du XII siècle jusque vers 1340 s'impose l'usage de deux robes qui se superposent, la cotte, qui est une robe ample à manches longues, et le surcot qui est pareil à la cotte mais qui est serré par une ceinture.

     

    Vers les années 1340 le costume féminin met en valeur lune silhouette sinueuse: il souligne la poitrine, affine la taille et bombe le ventre. Les vêtements de dessus comportent la cotte aux manches étroites et longues, fendue dans le dos, parfois fourrée; le surcot ouvert;

     

    la houppelande qui diffère des hommes car elle n'est pas ouverte devant ni fendue sur les côtés. A la fin du XIVème siècle, le terme robe désigne tantôt les trois pièces (cotte, surcot, manteau), tantôt une sorte de robe de chambre.

     

    VETEMENTS DES HOMMES :

    Au 12e et 13e siècle, le vêtement de l'homme et de la femme se ressemblaient beaucoup. Le vêtement de dessous était appelé chemise. Il était fait de toile de lin ou de chanvre. Les chemises des hommes étaient plus courtes que celles des femmes. Traditionnellement, les hommes portaient des braies(l'ancêtre du pantalon),avec des bandes molletières entre croisées sur les jambes,du genou à la cheville. Par dessus la robe, les hommes et les femmes portaient un bliau,une robe de dessus qui épousait la forme du buste.

    Le bliau atteignait les genoux pour l'homme et le sol pour la femme.

    Plus tard, la cotte et le surcrot ont fait leur apparition.

    La cotte de mailles, aussi appelée haubert, enfilée par dessus le bliau, était portée par des hommes. Elle était composée de 200 000 pièces et pouvait peser jusqu'à trente livres. Elle est l'une des premières armures médiévales à faire son apparition.Cette pièce de l'armure était la principale arme défensive du chevalier. Elle ressemblait à une chemise de mailles d'acier fines et serrées avec de longues manches et un capuchon. Les mailles étaient souvent doublées ou triplées afin d'accroître la protection. Avant elle, le broigne, porté au temps de Charlemagne, était une armure faite de peau (cuir) où l'on avait cousu des plaques de métal, ce qui protégeait très mal le soldat.

     

    Avec le temps, l'idée d'imbriquer des anneaux les uns dans les autres est venue et c'est de là qu'est apparu le heaubert.

     

    Le haubert, constituait une meilleure protection que le broigne mais n'était pas assez suffisante car les épées pouvaient aussi passer au travers en peu de temps. Il fut tout de même utilisé pendant plus d'un siècle.

     

    On voit ici sur l'image la cotte de mailles et le heaume (le casque du chevalier) et la façon dont les mailles sont attachées les unes avec les autres. Le bascinet (casque avec visière amovible) pouvait remplacer le heaume sauf dans les tournois. Par dessus la cotte de mailles, le survêtement empêche le soleil de refléter dans les yeux du soldat et il est fait de soie très ample.

    Les braies sont une sorte de caleçon plus ou moins ajustés. Ce vêtement disparût au 15e siècle pour être remplacé par des hauts de chausses qui donnèrent naissance aux pantalons modernes.

     

    À la fin du moyen-âge, on confondait chausses et braies. On distinguait haut de chausses (pantalons) et bas de chausses (à l'origine des bas traditionnels). Les hommes, aussi bien que les femmes en portaient.

     

    Pour ce qui est des chaussures, la mode avant le 13e siècle était de leur faire épouser le pied mais, à partir de 1340, il est apparût une mode étrange... On se mit à allonger démesuerément la pointe des chaussures. On nomma cette ère "L'ère des poulaines". Elle allait durer un siècle. Les chaussures des hommes s'ornèrent d'or et de bijoux et plus la poulaine était longue, plus l'homme était placé "haut" dans la hierarchie sociale!

     

    Pour fabriquer un vêtement au moyen-âge, on devait effectuer plusieurs opérations.

    Le tissus était fabriqué à partir de fibres, végétales (plantes) ou animales.

     

    Voici le processus pour obtenir du tissus:

     

    1. Enrouler la fibre afin de faire un fil que l'on puisse tisser.

    2. Si c'est de la laine, elle doit être foulée à l'aide d'un moulin à foulon.

    3. Tisser le fil pour obtenir une étophe.

    4. Teindre le tissus qui a été tissé.

    Toutes ces opérations étaient effectuées par des ouvriers qui étaient souvent engagés par

    des corporations différentes à l'intérieur d'une même ville.

    L'utilisation de l'arbre à cames est à la base du moulin à foulon, engin mécanisé au

    moyen-âge. Durant tout le moyen-âge, ces machines s'améliorèrent de sorte qu'au 14e

    siècle, on pouvait se servir de moulins ayant la capacité d'actionner des marteaux de300kg

    à une cadence de 100 coups par minute, véritable révolution dans l'industrie du vêtement.

    Le 13e siècle vit le développement du métier à tisser. Les modèles les plus anciens de métier à deux lisses à pédales datent de la fin du 12e siècle et le métier horizontal date du milieu du 13e siècle. Cette invention à eu pour effet de faciliter l'opération du tissage.

     

    À la fin du 14e siècle, on inventa le rouet qui a mécanisé l'opération du fillage.

    C'est ainsi que grâce à ces inventions, on pu voir apparaître l'industrie de la mode!

     

     

    Pour ce qui est des chaussures, la mode avant le 13e siècle était de leur faire épouser le pied mais, à partir de 1340, il est apparût une mode étrange... On se mit à allonger démesuerément la pointe des chaussures. On nomma cette ère "L'ère des poulaines". Elle allait durer un siècle. Les chaussures des hommes s'ornèrent d'or et de bijoux et plus la poulaine était longue, plus l'homme était placé "haut" dans la hierarchie sociale!
    LES FOURRURES
    L'étude des pièces comptables aux dépenses soutenues par rois, seigneurs, riches bourgeois et prélats pour leur garde-robe témoigne l'énorme consummation des fourrures sauvages ou d'élevage qui caracterise le Moyen-Age. une robe royale d'Angleterre en 1407 rassemble 4528 vairs, une autre 3288 hermines. Pour un vêtement apparu en 1360 la houppelande utilise 545 zibelines, tandis que celle du duc de Bourgogne en 1402 utilise 500 martres. Pour satisfaire les besoins des consommateurs on importe en Occident chaque année des millions de peaux sauvages (renards, loutres, lapins, lévreuils, hermines, zibelines et agneaux) des pays du nord (Scandinavie), nord-est (Russie) et Maghreb. Certes il s'agit de lutter contre le froid dans des espaces peu ou pas chauffés, mais des draps épais ouraient pu convenir.
    LES COIFFURES
    Les femmes de plus haut rang portent des coiffes à cornes cachant complètement leurs cheveux. Ces coiffes sont recouvertes de tissu façonné et parfois d'une résille. Certaines portent un simple voile blanc tombant sur leurs épaules. Quand les femmes sont vieilles s'entourent toute la tête, dans des linges blancs appelés touailles. La touaille est une pièce de tissu étroite et très allongée qui fait partie du trousseau de la mariée et sert à tout dans la maison :torchon, serviette, bandage, tablier... Travailleurs manuels et hommes de peine portent un calot, formé par un chaperon, une longue pièce de drap qui en cas de froid les protègent.
    LES VETEMENTS DES ENFANTS :

    La vêture du tout-petit comprend un bonnet de tissu porté bien serré, une bande ombilicale portée à même le ventre dans les premiers jours, sans doute un paquet de coton en guise de couches, et surtout, un emmaillotement dans lequel les bras sont disposés le long du corps et les jambes allongées, chevilles jointes. Ces maillots étaient assurément néfastes aux enfants atteint de déformations congénitales de la hanche. Dès que l'âge de la marche approchait, mères et nourrices faisaient porter à l'enfant une robe très simple et ils portaient des chaussures de cuir seulement dehors. Les enfants étaientr coiffé d'un "bourrelet", sorte d'anneau rembourré ceingnant le front et doté d'un arceau passant au-dessus de la tête. Chausses, chaussettes et bonnets lui tenaient chaud à la mouvaise saison.
     
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  • La clitoridectomie comme traitement contre l’onanisme dans l’ Europe du 19ème siècle.

     

      

    Qui n’a pas entendu parler de l’excision? Cette mutilation est souvent attribuée uniquement aux pays d’Afrique sub-saharienne et dans quelques pays du proche Orient et de l’Asie du sud est. On élève le nombre de femmes mutilées de 100 à 140 millions.

    Or ce phénomène n’a pas sévi que dans ces pays, il fut largement répandu dans l’Europe du XIXème et XXème siècle en Europe.
    L’onanisme ( » se souiller les mains ») a toujours été vu comme un acte pouvant « détruire la maison ».
     
    « Le système clitoridien ne se modifie pas dans l’âge adulte et la femme conserve toute sa vie cette autonomie érotique; le spasme clitoridien est comme l’orgasme mâle une sorte de détumescence qui s’obtient de manière quasi mécanique » Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe, p 147 aux éditions Folio Essais; 1949.

    Au XIXème siècle, la masturbation était considérée comme une des causes principales de l’hystérie féminine.

    En 1836, le docteur Lallemand publie en 3 volumes (soit 1 748 pages), un ouvrage contre la masturbation féminine.
     
    En France, le mot hystérie renvoie au professeur Charcot (né à Paris le 29 novembre 1825 et mort à Montsauche-les-Settons le 16 août 1893), grand spécialiste des traitements contre ce mal qui rongait les femmes.
     
    Notons que Charcot, par sa passion de la photographie et d’une patiente Augustine, se vantait de provoquer des crises pour prendre de beaux clichés. Cette jeune fille fut internée dans l’hôpital de la Salpêtrière dès 17 ans par ses parents pour Hystérie.


    Au vue des réactions anormales de leurs filles et épouses, de nombreuses femmes furent aliénées.
     
    Dans Médecins et sexualités, Yves Ferroul, historien de la sexologie, note que cette mode de l’intervention médicale commence dès le XVIIIe siècle: on pose d’abord des anneaux en métal dans le prépuce des garçons et dans les grandes lèvres des fillettes, afin qu’ils/elles ne puissent pas faire l’amour avant la nuit de noce. Une ceinture de chasteté radicale.
     
    Mais comme l’infibulation n’empêche pas les filles de se toucher et que certaines arrachent les agrafes qui ferment leur sexe, des chirurgiens, très rapidement, recommandent l’excision.
     
    «Si le clitoris se révèle une source d’excitation permanente, on doit le considérer comme malade, et son ablation devient licite», expliquent savamment les docteurs.
    En Angleterre dans les années 1860, en Autriche, en France à la fin du XIXè siècle, puis aux Etats-Unis début XXème, l’ablation du clitoris est à la mode.
     
    Mais dans l’imaginaire collectif, l’hystérie renvoie surtout à une réaction conséquente à l’acte sexuel solitaire. Vite fait fut le raccourci: une femme libérée des moeurs sexuels et se donnant du plaisir était rapidement étiquetée comme hystérique ou épileptique.
     

    Il fallait dès lors combattre ces mauvaises conséquences.

    Jusqu’en 1920 (et même après) des parents fous continuent de mettre à leurs enfants des gants grossiers, sans doigts, qu’ils attachent fermement aux poignets. Après quoi, ils les bordent dans leur lit, bien serré. Dans les internats, des surveillants veillent à ce que les enfants dorment toujours avec les bras par-dessus la couverture. La nuit, certains jeunes garçons et filles sont même enfermés dans des sacs qui les transforment en momies. Des vêtements renforcés, doublés de cuir dans la zone génitale, sont également prévus pour la journée…

     
    Il faut attendre l’après-guerre pour que l’anathème soit levé et encore. En 1952, dans la première édition par l’Association Américaine de Psychiatrie du Manuel statistique et diagnostique des troubles mentaux (DSM), des comportements sexuels comme la masturbation, l’homosexualité, la fellation, le cunnilingus et le nomadisme sexuel sont classés au rang de trouble pathologique et de maladie mentale !
     
    Une autre solution est proposée par le Docteur Pavet de Courteille, médecin du collège Royal de Saint Louis pour les pensionnaires de l’Asile : « les chemises descendraient au dessous des pieds….munies d’une coulisse que l’on devrait serrer [...] pour les latrines, il serait conseillé de couper le haut et le bas des portes afin de surveiller les élèves ».
     
    « Si la nécessité l’exige, s’il y a danger de mort immédiat, par exemple, ou des signes de troubles intellectuels, résultant de l’onanisme, il faut avoir recours à l’infibulation, opération peu douloureuse d’ailleurs et présentant rarement des suites graves. » A.Clerc, Hygiène et médecine physique des 2 sexes, 1885.


    De nombreux ouvrages médicaux pullulaient à cette époque sur cette même thèse. Plusieurs médecins ( dont des psychanalystes comme Freud ou encore Marie Bonaprte, dont le clitoris fut déplacé 3 fois!) préconisaient une opération chirurgicale pour l’ablation du clitoris car:

    - il ne sert pas à la procréation
    - il peut engendrer des pulsions incontrôlables
    - il est à l’origine d’un syndrome dit « hystéro-épileptique ».

    En 1842, le père Debreyne, médecin, trappiste, se pose en tant qu’ennemi juré du clitoris: « Puisque l’organe devient source d’excitation c’est qu’il est malade donc nous devons en faire l’ablation. »
    En 1864, le docteur Broca préconise la suture des grandes lèvres « pour mettre le clitoris à l’abri » nommée infibulation.

    Cette méthode fait partie des 3 stades de la clitoridectomie:
    - le sunna: ablation totale ou partielle du clitoris
    - l’excision: ablation du clitoris et suppression des petites lèvres

    - l’infibulation ou excision pharaonique consiste en une excision avec une suture des grandes lèvres.
    En 1867, le professeur Fonssagrive publie un essai fanatique contre les « carresses vicieuses ».
    En 1868, le Professeur Bergeret, dans un ouvrage réimprimé 8 fois, montre que le cancer de l’utérus et les maladies du coeur sont le lot de celles qui attaquent « les spasmes cyniques ».
    En 1894, le docteur Pouillet explique dans un manuel une technique de cautérisation de la vulve au nitrate d’argent.
     
    A la même époque, le docteur Garnier menace les « onanistes » de toutes sortes de maladies: myopie, surdité, convulsion anémie et idiotie…..
     
    Idioties de la part de ses hommes du siècle passé, mais ne nous trompons pas l’idiotie est toujours présente dans notre société.
     
    Oui beaucoup s’insurgent à juste titre contre les mutilations faîtes aux femmes,maisl’absurdité règne toujours. Je rappellerai juste les propos du Docteur Brigitte Mauroy , urologue (nièce de Pierre Mauroy, deuxième sur la liste de Sébastien Huyghe, député UMP, candidat aux élections municipales contre Martine Aubry à la Mairie de Lille) tenus dans son ouvrage: le dictionnaire de la sexualité paru en 2004, parlant du capuchon du clitoris « ce repli peu développé chez les occidentales est beaucoup plus long chez certaines asiatiques ou africaines ce qui fait procéder à une circoncision (chez les abyssins) .»
     
    Même si le docteur Mauroy se défend de faire ici, une publicité pour l’excision, cela renvoie tout de même à une pratique barbare qu’il ne faut pas oublier et toujours combattre.
     
    Notons pour finir, qu’en France, le code pénal réprime l’excision que si elle est pratiquée sur un enfant (article 312), la législation spécifique ne concernant pas l’excision chez les adultes.
      
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  • HISTOIRE du BIBERON

     

     

    Histoire du biberon

    J'ai décidé de parler d'un plaisir buccal chez l'enfant : le biberon. Beaucoup de mamans m'ont fait comprendre qu'elles voudraient connaître son origine. Biberon vient du latin biber, qui veut dire boisson, et de rostrum (ron) qui signifie, entre autres, bec.

    HISTOIRE du BIBERONLe biberon est très ancien, il a 6 000 ans. Son objectif était sevrer de la maman ou venir en aide à celles qui ne pouvaient pas allaiter. Il avait la forme d'un sein en terre cuite, avec un petit bec. On en a retrouvé dans les sépultures de petits enfants que l'on enterrait avec des bijoux et des objets usuels, dont le biberon. HISTOIRE du BIBERON

    Entre le Moyen Age et la fin du XVIIIe siècle, le biberon est de plus en plus sophistiqué : en cuir, en verre ou en métal. 

     Il y a un biberon qui fera sourire. Vous prenez une corne de vache, vous l'évidez, en sciez le bout, auquel vous incrustez une tétine. La tétine pouvait être un petit morceau de cuir cousu ou un morceau de bois sculpté. Les gens fortunés s'offraient de l'ivoire attendri. D'autres utilisaient du pis de vache parcheminé.

    HISTOIRE du BIBERONLe biberon était alors, sans le savoir, un criminel ! Difficile à rincer et à laver, le lait de vache ou de chèvre y pourrissait. Les enfants attrapaient des maladies de bouche et les trois quart du temps, ils mouraient. HISTOIRE du BIBERON

    Au XVIIIe siècle, un homme éclairé, Jean-Jacques Rousseau, fin observateur de la nature, constate que les mammifères nourrissent leurs petits à la mamelle.

      

      

      

      

    Ces petits grandissant sans problème, il propose aux humains de faire de même et dit aussi que si la maman a un lait trop maigre, il ne faut pas hésiter à mettre l'enfant sous le pis de la vache ou de la chèvre. MUSIQUELe cornet médiéval

    Si l’on excepte les objets d'usage domestique (pots et cuillères) qui furent parfois utilisés pour allaiter les bébés, les premiers biberons étaient des cornes de vache percées.

    MUSIQUE

     
    On trouve des représentations de cet objet, appelé cornet, dans plusieurs tableaux et gravures de Peter Breughel.

      

    Cette version primitive du biberon remonte au Moyen Age et a été utilisée pendant très longtemps dans les campagnes.
     

      

      

    Il s’agissait d’une corne nettoyée dont bout était percé pour y fixer une tétine (un petit morceau de cuir cousu, un pis de vache parcheminé ou un morceau de bois sculpté).MUSIQUE

      

     

     

     

    Historique de la tétine

    Introduction

    Les premiers biberons (corne de vache, petits pots à bec...) portaient le plus souvent un petit morceau de tissu recouvrant la partie que tétait l'enfant, ce drapeau évitait ainsi de cruelles blessures. Il faudra attendre la fin du 18ème et le début du 19ème siècle pour que l'on se penche plus avant sur la tétine. Les morceaux d'éponge et autres peaux de chamois sont les prémices des recherches les plus diverses qui fleuriront au 19ème.

    En 1786, Felipo Baldini propose, dans son célèbre ouvrage sur l’allaitement à la main1, un modèle en verre qu’il présentait comme un « vaisseau qui tenait lieu de mamelle », dont les enfants pouvaient sucer le lait peu à peu sans courir le risque d’être suffoqués. C’est peut-être ici l’une des première tentative de tétine régulée avec obligation de succion réelle pour l’enfant.

     

    MUSIQUE

    Les premiers ustensiles

    Les premiers instruments fabriqués pour l’allaitement artificiel datent des XVIème et XVIIème siècles. Ces biberons étaient des adaptations du cornet médiéval en argent ou en verre ou des ustensiles en bois ou en étain.
     

    Leur usage était réservé à la bonne société tandis que les petites gens continuaient d’utiliser le cornet.

     

    Aux XVIIIème et XIXème siècles, de multiples ustensiles de formes, matières et natures différentes ont été utilisés en guise de biberon.
     

    Tous ces modèles avaient pour point commun de présenter un système obligeant l’enfant à exercer une succion.

     

    HISTOIRE du BIBERONLes biberons en verre

    Au début du XIXème siècle, le verre se généralise comme matériau pour les biberons, notamment pour ses qualités de transparence et d’inaltérabilité.
     

    La révolution industrielle permet la production des flacons de verre à grande échelle.HISTOIRE du BIBERON

    Par ailleurs, plusieurs inventeurs mettent au point des modèles de biberon portant leur nom, avec des système à tube interne et une tétine complexe.
     

    Édouard Robert, inventeur du biberon éponyme, devient ainsi pendant près de 50 ans le symbole de l'allaitement artificiel.
     

    Son biberon à long tuyau, interdit en 1910, est remplacé par les biberons nourriciers en forme de sabot posé à plat.

     

      

    HISTOIRE du BIBERON

      

    Biberons exposition de Paris 1890

     

    HISTOIRE du BIBERON

    Chauffe biberon début XXè siècle

      

      

    A la même époque, Henri Nestlé invente le premier lait en poudre.HISTOIRE du BIBERON

     

      

      

    Les innovations au XXème siècle

    La première moitié du XXème siècle voit se côtoyer les modèles de biberon les plus variés. Tandis que l'hygiène devient la principale préoccupation des fabricants (avec l’invention du stérilisateur), la fabrication des biberons devient l’apanage des marques de l'industrie agroalimentaire et laitière.

     

    Au début du 19ème, flacon est presque secondaire. L’attention des fabricants se porte essentiellement sur le système de succion.

    Le catalogue Dorvaut parle de « Biberons ordinaires avec carafe », le terme biberon s’appliquerait donc ici à la partie tétine. On peut aussi lire dans un dictionnaire de médecine de 1866 :

    « Le mamelon du biberon est sans contredit la partie la plus importante de l’instrument, parce qu’elle sert de moyen de préhension à l’enfant. Aussi est-ce elle qui a exercé le plus le génie des inventeurs. »

    Le système de succion est donc proposé à partir de diverses matières. Le support peut être en cristal, verre, étain, buis, liège ou ivoire et recouvert ou non d’un mamelon en tissu, en gomme (caoutchouc), en pis de vache, en buffle ou, plus surprenant, en racine de guimauve ou hippopotame flexible, comme nous le montre le catalogue commercial Menier de 1860 avec le modèle aérifère de monsieur Jamet et mademoiselle Piquart.

     

    Les tétines des biberons de Mme Breton peuvent être en cristal ou en buis. Malgré son succès, le Breton se verra notamment critiqué sur son système de succion par Le docteur Beaude dès 1849  :

     

    « Le mamelon doit également être nettoyé avec grand soin et toujours dans l’eau fraîche, autrement il s’altère assez promptement. Le trou qui est percé sur le côté du flacon permet l’entrée de l’eau quand on fait chauffer le lait dans un bain marie, et laisse écouler le lait quand on laisse sur soi l’appareil. Ce sont là des inconvénients assez sérieux. »  

     

      HISTOIRE du BIBERON

      

    HISTOIRE du BIBERON

      

      

      

    Nestlé, Mont Blanc, Gloria, Maggi et Gallia/Gervais produisent un lait concentré sucré qui devient la base des préparations pour nouveau-nés à partir de 1946.

     

      

      

    HISTOIRE du BIBERONParallèlement, ils commercialisent des biberons en verre de plusieurs tailles. Nestlé adopte la forme cylindrique que l'on connaît encore aujourd’hui.

     HISTOIRE du BIBERON

      

       

    Dans un article de 1883, il est fait mention d’une évolution importante pour le modèle Robert :

      

    « Autrefois le biberon-Robert se fermait avec un bouchon de liège.

    Ce bouchon, à la longue, et peut-être plus souvent par manque de propreté finissait par sentir mauvais, et donnait au lait un goût désagréable, au point que l'enfant ne le prenait plus avec plaisir. En présence de ces faits, toujours soucieux de la perfection de son biberon, M. Robert supprima le bouchon de liège et le remplaça, comme vous le savez tous, par un système aussi simple qu'ingénieux, par un bouchon flexible de composition spéciale, ne pouvant nuire en aucune façon au lait,ni à son tour être altéré par celui-ci dans sa décomposition. »

     

       

    Le Robert 1873 prend  alors le nom de « Biberon Robert flexible » et se pare d’un bouchon fait de corne à trou unique. Au début du 20ème siècle, on trouve toujours les deux systèmes comme on peut le constater dans un catalogue pharmaceutique qui propose un « Biberon Robert à tube, bouchon "liège ou corne" à 85 centimes.

    Au début du 20ème, l'interdiction des longs tuyaux va orienter le marché du biberon vers des modèles plus simples dit "nourriciers", pour lesquelles, la tétine retrouvera le goulot du flacon mais sera beaucoup plus simple puisque composée d'un "doigt" de caoutchouc avec ou sans soupape.

    Entre ces deux systèmes, on trouvera des biberons longs tuyaux adaptés, qui se pareront d'un bouchon à vis en verre surmonté d'une tétine en caoutchouc très proche de la téterelle du long tuyaux.

      

    HISTOIRE du BIBERONLe système à bague vissée apparaît au début des années 1950.HISTOIRE du BIBERON
    Les biberons s’ornent également d’inscriptions sérigraphiées "multi dosages".
     

    Avec la disparition des laits concentrés au profit des laits en poudre, ces inscriptions seront remplacées par une graduation unique en millilitres.

     MUSIQUE

     

     

     HISTOIRE du BIBERON

     

     

     HISTOIRE du BIBERON 

      

      

      

      

    Source : http://beaujarret.fiftiz.fr/blog/4523,histoire-du-biberon.html

    et lien http://www.histoire-du-biberon.com/biberons/sommairebib.htm

     

     

     

    http://ekladata.com/dona-rodrigue.eklablog.com/mod_article3971890_22.jpg

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  • MUSIQUE

     

     

    Une pin-up est une femme dans une pose attirante ou « sexy » dont on accroche la représentation sur un mur, d'où l'expression anglaise de « pin-up girl » qui pourrait se traduire en français par « jeune fille épinglée au mur ».

    La première utilisation du mot est attestée en 1941. Mais le concept apparaît plus tôt, au début du siècle, sous le nom de Gibson Girl (du nom de leur créateur) et ses variantes (« Pretty Girls », « Varga Girl », « Christy Girl », etc.). Les premiers « pin-up boys » et les dessinatrices (Joyce Ballantyne, Pearl Frush, Zoë Mozert...) ont également fait leur apparition.

    Femme fatale, poupée, sexe-symbole, la pin-up est représentée par ses créateurs comme la femme idéale[1]. Les pin-up, provocantes sans être vulgaires, apparaissent sur des magazines, journaux, posters, calendriers ou des « cartes d'arts », petites vignettes à collectionner qui ont aidé à la popularisation des pin-up.

    On les retrouve dans les années 1970 dans les cabines des camionneurs sachant que, dès la Seconde Guerre mondiale, les équipages d'avions affichaient ces illustrations sur les carlingues de leurs avions. Elles sont maintenant recherchées par les collectionneurs.

    L'âge d'or des pin-up se situe dans les années 1940 et 1950, principalement aux États-Unis. On peut notamment citer Alberto Vargas ou Gil Elvgren, illustrateurs emblématiques de cette période.

    On assiste depuis quelque temps à un regain d'intérêt pour ces égéries des années 1950 avec l'arrivée de modèles célébrant cette époque. La mode, les magazines, les artistes remettent le style pin-up au goût du jour. Certaines modèles comme Dita von Teese font d'ailleurs de ce courant leur marque de fabrique.
      
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  • MUSIQUE

     

     

     

    Louise-Élisabeth Vigée, épouse Lebrun, dite Madame Vigée-Lebrun, née le 16 avril 1755 à Paris,[1] et morte dans la même ville le 30 mars 1842, était une peintre française, généralement considérée comme une grande portraitiste de son temps à l'égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze.

     

    Enfance

    Son père, Louis Vigée, était pastelliste et membre de l’Académie de Saint-Luc. Sa mère, Jeanne Maissin, était coiffeuse et d’origine paysanne. Son frère, Étienne Vigée, fut un auteur dramatique à succès.

     

    Baptisée à l’Église Saint-Eustache de Paris, l’enfant est aussitôt confiée à des paysans des environs d’Épernon. Elle ne reviendra à Paris que six ans plus tard pour entrer comme pensionnaire à l’école du couvent de la Trinité, rue de Charonne dans le faubourg Saint-Antoine. Dès cet âge, la jeune Louise-Élisabeth dessine partout, sur ses cahiers, sur les murs de son école.

     

    Vers l’âge de sept ou huit ans, Louis Vigée s’extasie devant un dessin de sa fille et prophétise qu’elle sera peintre. À onze ans, la jeune fille quitte le couvent et vient vivre aux côtés de ses parents. Inconsolable, à la mort de son père le 9 mai 1767, elle décide de s'adonner à ses passions, la peinture, le dessin et le pastel.

     

    Formation

    Le premier professeur d’Élisabeth sera son père Louis Vigée. Mais très vite, alors qu’elle a tout juste 12 ans, il meurt accidentellement. Après ce décès, dont elle mettra longtemps à se remettre, c’est un autre peintre, Gabriel-François Doyen, meilleur ami de la famille et célèbre en son temps, qui l’encouragera à persévérer dans le pastel et dans l’huile, conseil qu’elle suivra.

     

    C’est certainement conseillée par Doyen, qui connaissait bien Gabriel Briard, pour avoir eu le même maître, qu’Élisabeth se rend en 1769, à l’âge de 14 ans, chez ce dernier.

     

    Briard est membre de l’Académie royale de peinture, et donne volontiers des leçons, même s’il n’est pas encore professeur.

     

    C’est un peintre médiocre, il a surtout la réputation d’être un bon dessinateur et possède en plus un atelier au Louvre. Elisabeth fait de rapides progrès et déjà, on commence à parler d’elle.

     

    C’est au Louvre qu’elle fit la connaissance de Joseph Vernet, artiste célèbre dans toute l’Europe, c’est un des peintres les plus courus de Paris, ses conseils font autorités dans le milieu ; il ne manquera pas de lui en prodiguer « J’ai constamment suivi ses avis ; car je n’ai jamais eu de maître proprement dit » écrira-t-elle, quoi qu’il en soit, il consacrera de son temps à la formation de Mlle Vigée.

     

    Et comme Joseph Vernet ainsi que Jean-Baptiste Greuze, qui s’intéresse aussi à elle, le lui ont conseillé, elle ira admirer les chefs-d’œuvre du Luxembourg ; de plus la renommée de ces peintres lui ouvrira toutes les portes des collections privées des grands seigneurs, ou des princes à Paris. Elisabeth pourra ainsi étudier à loisir les grands maîtres, copier des têtes de Rembrandt, Van Dick ou Greuze, étudier les semi-tons, ainsi que les dégradations sur les parties saillantes d’une tête, elle écrira : « On pourrait exactement me comparer à l’abeille tant j’y récoltais de connaissances... »

     

    Toute sa vie ce besoin d’apprendre ne la quittera pas, car elle a compris qu’un don se travaille. Déjà on lui commande des portraits et elle commence à gagner sa vie.

     

    En 1768, sa mère se remarie avec un joaillier fortuné, Jacques-François Le Sèvre.

    Une carrière fulgurante Louise Elisabeth Vigée Le Brun, Autoportrait (1790)

     

    En 1770, le dauphin Louis-Auguste, petit-fils du roi Louis XV, épouse la fille de l'empereur, Marie-Antoinette d'Autriche à Versailles.

     

    À la même époque, la famille Le Sèvre-Vigée s’installe rue Saint-Honoré, face au Palais-Royal. Louise-Élisabeth s’établit comme peintre professionnelle et les commandes affluent.

     

    Elle a quinze ans. Deux dames richissimes la prendront alors sous leur protection : Mme de Verdun, épouse d’un fermier général mais surtout une princesse du sang, Louise Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, épouse du duc de Chartreset qui n'a que deux ans de plus qu'elle.

     

    Elle refuse fréquemment les commandes de portraits que lui font les galants pour la rencontrer. Issue de la petite bourgeoisie, elle trouve sa place au milieu des grands du royaume dont les premiers, le roi et ses frères et soeurs, la reine et les principaux membres de la famille royale sont de sa génération. En 1775 elle offre à l’Académie Royale deux portraits.

     

    En récompense, elle est admise aux séances publiques de l’Académie.

     

    Le 7 août 1775, Louise-Élisabeth Vigée épouse Jean-Baptiste-Pierre Le Brun, lointain neveu du peintre Lebrun qui travailla pour Louis XIV.

     

    S'il sera un mauvais époux, joueur invétéré, coureur de jupons insatiable et peintre à ses heures, qui exploitera la célébrité de son épouse, il sera également un marchand de tableaux très talentueux qui fera beaucoup pour la carrière de sa talentueuse épouse.

     

    Le 12 février 1780, Élisabeth Vigée-Lebrun donne naissance à sa fille Jeanne-Julie-Louise. Elle continue à peindre pendant les premières contractions et, dit-on, lâche à peine ses pinceaux pendant l’accouchement.[réf. nécessaire]

     MODE

    Le succès d’Élisabeth ne se dément pas. Ses portraits de femmes à la fois ressemblants et flatteurs lui attire la sympathie de la reine, sa contemporaine exacte, qui fait d’elle son peintre favori.

     

    Ce sera la protection de Marie-Antoinette, traduite par un ordre de Louis XVI qui lui permet d’être reçue à l’Académie royale de peinture et de sculpture le 31 mai 1783 en même temps que sa concurrente Adélaïde Labille-Guiard et contre la volonté de Pierre, premier peintre du roi. Élisabeth présentera une peinture (alors qu’on ne lui en demandait pas), la Paix ramenant l’abondance (tableau aujourd’hui au Louvre), pour être admise en qualité de peintre d’histoire.

    MODE 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cette belle composition, réalisée trois ans plus tôt, aurait implicitement dû lui donner le titre convoité de peintre d’histoire, mais elle sera reçue sans qu’aucune catégorie ne soit précisée.

     

    Un tel succès a des contreparties : on médit, on présente l’artiste comme une débauchée, suspectée d’être de toutes les orgies, d’être une dépensière qui se chaufferait en brûlant des billets et des lambris dorés, d’être l’amante de tout Paris.[réf. nécessaire]

     

    Parmi ses portraits de femmes, on peut citer notamment celui de Catherine Noël Worlee (la future princesse de Talleyrand) qu’elle réalisa en 1783 et qui fut exposé au Salon de peinture de Paris de cette même année 1783.

    L’exil :

    À l’été 1789, Élisabeth Vigée-Lebrun se trouve à Louveciennes chez la comtesse du Barry, la dernière maîtresse de Louis XV dont elle a commencé le portrait, lorsque les deux femmes entendent le canon tonner dans Paris. L’ancienne favorite se serait écriée : « Du temps du roi Louis XV, les choses ne se seraient pas passées ainsi ! »

     

    Dans la nuit du 5 au 6 octobre 1789, alors que la famille royale est ramenée de force à Paris, Élisabeth quitte la capitale avec sa fille et cent louis, laissant derrière elle son époux qui l'encourage à partir, ses peintures et sa fortune. Elle dira plus tard de la fin de l’Ancien Régime : « Les femmes régnaient alors, la Révolution les a détrônées. »

     

    L’artiste part en exil à Rome, Vienne, Londres, Saint-Pétersbourg, où elle fera un séjour de plusieurs années favorisée par des commandes de la haute société. Elle est invitée par les grandes Cours d’Europe, peignant sans cesse. Elle se refuse à lire les nouvelles, car elle y apprend que tous ses amis meurent guillotinés.

     

    Au musée Jeanne d'Aboville de La Fère, dans l'Aisne, on peut admirer le beau portrait de Madame Adélaïde, fille de Louis XV, exécutée par Marie-Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun en 1791, alors qu'elle séjournait à Rome, où se trouvaient également les dames de France.

     

    En 1800, sa fille épouse (contre le gré de sa mère) un dénommé Gaëtan Bertrand Nigris. Ce fut pour elle un déchirement. Déçue par son mari, elle avait fondé tout son univers affectif sur ce seul enfant. Les deux femmes ne se réconcilieront jamais totalement.

     

    En 1800 également, elle est rayée de la liste des émigrés et peut rentrer à Paris, chose qu’elle ne fera que deux ans plus tard.

     

    Le retour :

    En 1805 elle peint Caroline Murat, une des sœurs de Napoléon, et cela se passe mal : « J’ai peint de véritables princesses qui ne m’ont jamais tourmentée et ne m’ont pas fait attendre. » dira le peintre quinquagénaire de cette jeune reine parvenue.

     

    En 1809, Élisabeth Vigée-Lebrun a 54 ans. Elle vit entre Paris, où elle tient salon, et Louveciennes où elle a une maison de campagne voisine du château de la feue comtesse du Barry (guillotinée en 1793) dont elle avait peint trois portraits avant la Révolution. Son mari meurt en 1813, sa fille en 1819 et son frère Étienne Vigée en 1820.

     

    Madame Vigée-Lebrun publie ses Souvenirs vers 1835. Ils connaîtront un grand succès et restent un document très intéressant sur les bouleversements de cette époque qu’elle a vécus de si près.

     

    Elle a connu les personnages marquants de son époque, tous les artistes de renom et toutes les Cours.

     

    Elle s’éteint à Paris à son domicile de la rue Saint-Lazare le 30 mars 1842 et est enterrée au cimetière de Louveciennes[2], avec pour épitaphe « Ici, enfin, je repose ... ».MODE

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    Un vieux qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle...

     

    C'est ce que disent les Africains, pour qui les anciens sont toujours des puits de connaissance et dont la parole est infiniment écoutée et respectée.

    Contrairement à nos contrées où les vieux c'est moche, plus on les planque mieux c'est.

     

    Mais quand un blog ferme ? C'est aussi une petite bibliothèque qui ferme, en somme.

     

    Ou plutôt un marchand de journaux, ou le café du coin...

     

    Pendant quelques mois ou quelques années, vous avez partagé la vie, et parfois l'intimité de certaines personnes et d'un jour à l'autre ... pfffft, plus rien.

    Le rideau est baissé, et il y a une pancarte "bail à céder" sur la devanture.

    Et si vous n'avez pas les coordonnées du gérant, plus de nouvelles.

    C'est triste et ça fait bizarre, un petit coin de votre vie qui s'en va...

    Alors bien sur, parfois, vous avez sympathisé avec les proprios et vous continuer à les voir même quand ils sont à la retraite.

    N'empêche, c'est plus pareil..

    Le café, bu à un autre comptoir, il n'a jamais tout à fait le même goût..

    Mais bon, la vie continue et vous vous dites que vous aussi, un jour, vous la prendrez peut-être votre retraite.

     

    Tout ce que vous espérez c'est que quelques personnes viendront encore prendre de vos nouvelles quand votre épicerie-buvette aura tiré sa révérence.

      

    signé : Manu..."les pensées de Manu"

    http://www.lespenseesdemanu.com/tag/Calendrier%20de%20l'avent%20%3B%20diamant

      

      

     

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    Douglas Kirkland, né à Toronto au Canada. Parmi ses affectations figurent des essais sur la Grèce et le Liban, ainsi que des reportages sur la mode et les célébrité.
    Kirkland fut engagé en freelance par le magazine « Look », pour un numéro spécial célébrant les 20 ans de parution.
    Kirkland avait 36 ans, et n’était photographe que depuis un an pour les magazines.
    Il rencontra Marilyn en 1962, après qu’elle fut licenciée par la Fox.

    Au cours de la séance, Marilyn demanda aux assistants de sortir de la pièce afin de rester seule avec Kirkland.
    « Je pense que je devrais être seule avec ce garçon. Je pense que son travail n’en sera que meilleur ».
    Marilyn eut raison. Kirkland pris de superbes clichés de Marilyn, dont le plus célèbre : celui où elle étreint un oreiller.

    Kirkland poursuivi sa carrière, photographiant entre-autres Liz Taylor, Marlene Dietrich..
    Par la suite, Kirkland travailla de plus en plus sur les plateaux de tournage. Il participa à plus de 100 tournages de films, parmi lesquels « 2001 », « Le nom de la rose » et plus récemment « Titanic ».

    Le travail photographique de Kirkland fut publié : en 1989, « Des années légères » avec des célébrités, puis en 1993 « Graphismes, Créativité avec appareil photo et ordinateur », pour lequel posèrent entre autres Robert Redfort, Dustin Hoffman, Kim Bassiger, Robert de Niro, etc..

    En 1997, 4 nouveau livres de Kirkland furent édités, dont « Le Titanic de James Cameron » qui fut un best seller.

    Kirkland a reçu plusieurs prix pour son travail, qui fut exposé dans une galerie à Milan (Carla Sozzani) puis en Floride (Fotofusion). Il fut nommé « Mentor de l'année » chez Fotofusion et sera « photographe de l'année » pour les constructeurs photographiques de l'Amérique.

    Les affectations de Kirkland l'ont mené sur chaque continent dans le monde (excepté l'Antarctique) pour travailler sur des sujets aussi divers que: Astronomie au Chili, Chemin de fer sibérien, et Mode au Bali.

    Parmi ses modèles : Coco Chanel, Pierre Cardin, Katherine Hepburn, Charlie Chaplin, Judy Garland, Orson Welles, John Wayne, Faye Dunaway, Sophia Lauren, Barbara Streisand, Lie De Gong, Perce Brosnan.

    Photographies ©Douglas Kirkland Douglas Kirkland's Site

      

      

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