•  

    L'histoire du Père Noël

     

         

     

    De nos jours, beaucoup d'entre nous ne voient plus le Père Noël que comme un personnage inventé de toutes pièces par l'entreprise Coca Cola... ce qui est bien dommage. Car, oui, en effet, cette marque a influencé le look du Père Noël, mais, non, ce n'est pas elle qui l'a inventé.

     

    Je vous propose à présent de dresser un bref récapitulatif de l'histoire du Père Noël...

     

     

     

     

    L'histoire du Père Noël, ou comment Saint Nicolas se transforma en Santa Claus.

     

     

     

    En fait, tout commence il y a bien longtemps, en 270 après Jésus Christ. 

     

    A cette époque naquit Nicolas de Myre, dans la cité de Patara, en Asie mineure (une région correspondant à la Turquie actuelle.). Se convertissant très tôt au christianisme, le jeune homme fut nommé évêque de Myre par la jeune Église catholique, mais mourut martyr (aux environs de 350 après Jésus Christ.).

     

    Selon la légende, les Romains tuèrent Nicolas de Myre un 6 décembre. Une fois décapité, il aurait jaillit une fontaine d'huile du cou de la victime.

     

    Peu après, l'Église décida de canoniser Nicolas, et choisit de célébrer le saint le 6 décembre de chaque année.

     

     

     

    Par la suite, lorsque les Turcs s'emparèrent de Myre, des moines de la ville montrèrent le tombeau de Saint Nicolas à des soldats italiens, originaires de Bari. Ouvrant le cercueil, ils trouvèrent les ossements du Saint baignant dans l'huile, selon la légende. Par la suite, les soldats mirent les os dans une boîte, et rentrèrent chez eux, à Bari (c'est pour cette raison que Saint Nicolas est parfois appelé Nicolas de Bari.).

     

    Pour la petite anecdote, sachez qu'au Moyen âge, de nombreux escrocs vendirent de la prétendue "huile sainte", ayant le pouvoir de guérir les malades.

     

     
    Puis, dans le courant du XII° siècle, un chevalier lorrain revenant de la croisade passa par Bari, où étaient entreposées les reliques de Saint Nicolas. C'est ainsi qu'il exporta le culte de ce Saint dans le nord de la France (emportant quelques os au passage.).

     

     

     

    Au fil des siècles, le culte de Saint Nicolas évolua, jusqu'à devenir ce que connaissent aujourd'hui les habitants du nord de la France, de la Belgique et des Pays Bas: dans la nuit du 5 au 6 décembre, Saint Nicolas se rend dans les chaumières afin de demander aux enfants s'ils ont été obéissants. Ces derniers laissent alors leurs souliers devant la cheminée ou devant la porte, ainsi que sucre, du lait et une carotte pour la mule qui porte Saint Nicolas. Les enfants qui ont été sages au cours de l'année reçoivent donc des cadeaux, mais pas les enfants qui furent méchants. En effet, ces derniers reçoivent alors des coups de fouet, administrés par le Père Fouettard, un sombre ladre tout de noir vêtu.

    Au XVI° siècle, la réforme protestante mit fin au culte de Saint Nicolas dans de nombreuses régions d'Europe du nord, voulant mettre un terme à ces actes de dévotion d'origine catholique. Cependant, les habitants de Pays bas, bien que protestants, décidèrent de conserver la fête de Sinter Klaas (c'est ainsi qu'est nommé Saint Nicolas en langue flamande.). 

     

    Au cours du XVII° siècle, la Saint Nicolas immigra elle aussi, accompagnant ces Hollandais venus s'installer en Amérique. Ces derniers fondèrent New Amsterdam, qui, en 1664, suite à la prise de la ville par les Anglais, fut rebaptisée New York (pour la petite anecdote, sachez que la célèbre Wall street fut nommée ainsi car c'était à cet endroit que fut érigé le premier mur d'enceinte de la ville.).

     

    En quelques décennies, cette coutume néerlandaise de fêter la Saint Nicolas se répandit rapidement au sein des foyers des colons anglais. Sinter Klaas se transforma peu à peu en Santa Claus...

     

    Au fil des décennies, les familles chrétiennes trouvèrent plus approprié que cette fête des enfants soit associée à la naissance de l'enfant Jésus. Ainsi, Santa Claus commença donc à faire sa tournée non plus dans le nuit du 5 décembre, mais bien dans la nuit du 24.

     

     

     

    Mais c'est au XIX° siècle que Santa Claus se transforma le plus. En 1821, Clement Clarke Moore, un pasteur américain, écrivit un conte de noël, y faisant apparaître le bon Santa Claus. Ce dernier prit de l'embonpoint, sa crosse se transforma en sucre d'orge, sa mitre devint un bonnet, sa mule fut remplacée par un attelage de rennes. En outre, l'auteur fit disparaître le Père Fouettard...

     

    Au fil des années, Santa Claus prit du poids : d'un évêque plutôt maigre à l'origine, il devint le gros bonhomme que nous connaissons aujourd'hui.

     

    En 1863, Santa Claus troqua ses habits d'évêque contre un costume rouge avec fourrure blanche, rehaussé d'une large ceinture de cuir (il fut représenté ainsi par Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste au journal new-yorkais Harper's Illustrated Weekly.).

     

     

    La première représentation de Santa Claus par Thomas Nast , janvier 1863. L'on peut voir ce personnage à droite de l'image, assis sur un traîneau tiré par des rennes, distribuant des cadeaux aux soldats. 

     

     

     

    Au cours des décennies qui suivirent, Nast dessina des centaines de Pères Noëls, "uniformisant" ainsi l'image de ce personnage dans l'inconscient collectif[1].

     

     

     

    Autres représentations de Santa Claus par Nast, datant des années 1860 (notez l'apparition de la hotte, sur le dessin d'en haut à gauche.).

     

     

     

    En 1885, Nast décida aussi que l'antre de Santa Claus se trouvait au Pôle Nord (le dessin qu'il réalisa représentait deux enfants regardant, sur une carte du monde, le tracé du parcours de Santa Claus depuis le pôle Nord jusqu'aux États-Unis.).

     

     

    Une des dernières représentations de Santa Claus par Thomas Nast, datant des années 1880. Le personnage est représenté avec la majeure partie de ses attributs (la barbe blanche, le gros ventre, la hotte, etc.)

     

     

     

    Puis, en 1886, l'écrivain américain George Webster reprit l'idée de Nast, précisant que la manufacture de jouets et la demeure du Père Noël, pendant le reste de l'année, était en fait dans les neiges du pôle Nord.

     

    Enfin, en 1931, l'entreprise Coca Cola donna une nouvelle allure au Père Noël, sous le pinceau d'Haddon Sundblom. Santa Claus y gagna alors son air jovial et son attitude débonnaire, et troqua sa robe contre un pantalon et un tunique rouge. L'objectif de la firme était alors d'inciter les consommateurs à boire du Coca Cola en plein hiver... 

     

     

     

    Le Père Noël n'est donc pas une invention moderne, mais est au contraire issu d'une tradition très ancienne, remontant au III° siècle après Jésus Christ. Par contre, que l'on puisse se poser des questions sur la transformation (qui dura environ 16 siècles !) d'un évêque d'Asie mineure en un gros bonhomme rougeaud, ceci est un autre débat...

     

     

     

     

     

    Je vous invite maintenant à aller faire un tour sur le forum d'histoire-fr.com, afin d'en savoir un peu plus sur la réalité physique des déplacements du Père Noël, dans la nuit du 24 décembre...

     


     

    [1] A cette époque, les illustrateurs dessinaient le Père Noël de manière très fantaisiste: certains le représentaient glabre, d'autres tiré par un attelage de dindes, etc.

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    JFK & les Femmes

     

     

    John F. Kennedy, avant d’être président, était un homme comme tous les autres avec ses qualités et ses défauts. Certains hommes ont des problèmes de jeu ou d’alcool; celui de JFK était les femmes. Il était encore loin d’être un mythe. C’est un homme qui ne passait pas inaperçu. Il mesurait 6 pieds et pesait entre 170 et 175 livres. Il avait le teint foncé avec des cheveux roux foncés et, avec son apparence, il n’était pas étonnant de voir les femmes tournoyer autour de lui. En plus, il avait beaucoup d’argent. Il n’avait que l’embarras du choix, il était le play-boy de son temps.

     

     

    Sa première conquête fut une Danoise fraîchement arrivée aux États-Unis. Elle était journaliste pour le Time-Herald de Washington. C’est sa sœur Kathleen qui présenta Marie Arvad à John. Elle avait été vue en compagnie du Führer lors des Jeux Olympiques de 1936.

     

     

     

    Inga comme JFK aimait la surnommer dans le lit, avait rédigé un article sur le best-seller Pourquoi l’Angleterre dormait que Kennedy avait écrit. Lorsqu’elle vit pour la première fois ce jeune homme, elle affirma : « Il a un charme à faire tomber un oiseau de son arbre ». Il était quatre ans plus jeune; elle était mariée, mais voulait divorcer. Pour la famille, il n’était pas question qu’il se marie avec une divorcée. Leur relation était axée avant tout pour le sexe. Des rumeurs avaient circulé selon lesquelles Inga avait été une espionne pour le compte des nazis. John étant dans la marine, il aurait pu, sur l’oreiller, lui donner des renseignements pouvant nuire aux États-Unis. Il n’était pas question qu’il nuise à la future campagne présidentielle de son frère aîné, Joseph Jr.

     

    Il lui fallut renoncer à cette chaude femme du Danemark. Il partit pour la guerre et lors d’une mission de reconnaissance, il devint naufragé et sauva ses compagnons, exploit qui fit de lui un héros de guerre. Il fut décoré pour son courage.

     

    Suite à son sauvetage de son équipage, le problème au dos réapparu et le séduisant lieutenant dû prendre du repos. Il alla à Los Angeles où il rencontra de jolies starlettes. Kennedy jeta son charme sur la séduisante actrice Gene Tierney. Il lui rendit visite plusieurs fois sur le plateau de tournage du film Dragonwyck. La presse hollywoodienne s’empara de l'affaire. Selon ses amis, John n'avait nullement l'intention d'épouser Gene qui était mariée avec Oleg Cassini.

     

    Après la guerre, Kennedy se rendit à Palm Beach et rencontra Durie Malcolm, une femme de bonne société, mais qui avait divorcé deux fois déjà. Elle allait divorcer encore une fois, en janvier 1947. Le jeune représentant du Congrès, élu en novembre 1945, fit la cour effrénée à cette femme. Ils ont été vus à des réunions mondaines et à des événements sportifs se tenant la main. La rumeur voulait que le jeune représentant avait épousé Durie. Cette relation déplaisait à son père qui le destinait à la Maison-Blanche. Cette femme avait divorcé deux fois déjà et était membre de l’Église épiscopalienne. Son père aurait tout fait pour effacer toute trace de cette union.

     

    Un journal revint sur cette affaire en 1997 en publiant une photo de Durie Malcolm en robe de mariée avec la légende : « A-t-elle été la première épouse secrète de JFK? ». Le journal avait négligé de dire que la principale intéressée avait démenti la nouvelle en 1961 protestant :

    « Je n’aurais pas épousé John Kennedy pour tout l’or du monde, et je vais vous dire pourquoi : je n’ai jamais supporté ces cathos irlandais et le vieux Joe était un homme épouvantable. »

    C’est à partir de son élection comme sénateur du Massachusetts que la chasse au sexe connaîtra son apogée.

     

    Le jeune sénateur rencontra, en 1951, celle qui deviendra sa véritable épouse, Jacqueline Bouvier, lorsque cette dernière se présenta à la demeure des Kennedy pour prendre la sœur de John. Elles devaient faire de l’équitation.

     

    En janvier 1953, John et Jackie ont fait leur première apparition publique au bal de l’inauguration du président Eisenhower. Jacqueline était bien différente des autres conquêtes de John. Elle était d’abord plus intelligente, plus mondaine et beaucoup plus classe que les autres femmes. Mais les deux tourtereaux se ressemblaient passablement. C’est pourquoi ils ont été attirés l’un envers l’autre.

     

    John demanda en mariage la jeune journaliste du Times-Herald. Kennedy avait-il un faible pour les femmes de ce quotidien? Après Inga, ce fut Jackie.

     

    Le père de la jeune mariée aimait bien l’alcool et n’avait pu conduire sa ravissante fille à l’autel. Ce fut une première déception pour Jackie, mais ce n’était que le commencement.

     

    Plusieurs observateurs voyaient ce mariage comme étant incompatible avec la personnalité de John :

    « Ils virent dans cette union une tentative de celui-ci pour jeter un manteau de respectabilité sur son libertinage et se procurer l’environnement familial indispensable, en Amérique, pour qui veut accéder aux plus hautes fonctions. »

    Après la déconfiture de la convention de 1956, où il perdit la vice-présidence, John prit la route de l’Europe. Il se retrouva en Méditerranée sur un yacht avec plein de belles filles qui montaient ou descendaient à chaque port. Il apprit par télégramme que Jackie venait d’accoucher, mais avait perdu l’enfant mort-né. Il lui fallut trois jours pour retrouver son épouse.

     

    Deux ans plus tard, Jackie donna naissance à une jolie fille, Caroline. John se servira de Jackie et de Caroline afin de faire campagne pour l’investiture du parti démocrate de 1960. Jackie ne s’est jamais présentée à la convention de Los Angeles.

     

    La naissance de Caroline n’allait nullement arrêter les ardeurs du sénateur. Il annonçait sa candidature à la présidence le 2 janvier 1960. Un mois plus tard, il rencontra, au Sands Hotel de Las Vegas, Frank Sinatra qui connaissait le beau-frère du sénateur, Peter Lawford. Sinatra avait même produit une chanson sur la musique de High Hopes pour la campagne de JFK.

      

    Le 7 février 1960, Kennedy assista à une présentation du « Rat Pack », composé de Sinatra, Dean Martin et Sammy Davis Jr. Durant cette soirée mémorable, Sinatra présenta au jeune sénateur son ex-petite amie de cœur, une jolie brune, Judy Campbell.

      

    Elle venait d’une famille huppée avec un sourire merveilleux et elle avait le physique de son épouse Jackie et la beauté d'Elizabeth Taylor. C’est à partir de cet instant que JFK plongea dans le côté obscur. Le lendemain matin, le sénateur donna une conférence de presse et aperçut Judith en lui lançant : « J’arrive, Judy! » Ils prirent le petit déjeuner en tête-à-tête.

     

    La jolie Judy n’avait pas uniquement connu le célèbre Sinatra. Elle partageait également son lit avec Sam Giancana, le parrain de la mafia de Chicago. La relation entre JFK et Judy débuta à New York, au Plaza Hotel. C’est à ce moment que Judy et le sénateur Kennedy sont devenus amants. Kennedy lui téléphona souvent. En avril, il invita Judy à venir dans sa demeure de Georgetown; Jackie était en Floride et était enceinte de John John.

     

    Judy affirmait de son amant : « Il était étonnant. Vous aviez l’impression d’être la seule personne de la planète! Il n’oubliait jamais rien de ce que vous lui disiez, il écoutait vraiment, il ne faisait pas semblant. Il absorbait tout. »

     

    Elle suivit John partout durant sa campagne pour l’investiture du parti démocrate. Evelyn Lincoln, la secrétaire du sénateur, était devenue amie avec Judy; elle lui transmettait toujours ses messages.

     

    JFK obtint l’investiture démocrate et il était en route vers la Maison-Blanche, mais traînant avec lui Giancana, le mafieux de Chicago par l’entremise de sa maîtresse Judith Campbell. Il semblerait, lors de sa campagne, pour la présidence, que Kennedy aurait demandé à Judy de remettre une sacoche bourrée de fric à Giancana.

      

    Après tout, une campagne présidentielle, c’est passablement onéreux. Il faut savoir s’acquérir les services de gens bien branchés. Kennedy se servait de Judith Campbell comme intermédiaire entre lui et Sam Giancana.

     

    La relation entre Judy et Kennedy se poursuivit à la Maison-Blanche et ils partageaient même des repas. Selon Judith Campbell, Sam Giancana rencontra le président au moins deux fois. Judith téléphona souvent au président.

      

    Le FBI, avec son directeur J. Edgar Hoover, prit la chose en main et avertit le président du danger d’entretenir une relation avec cette femme liée avec la mafia. Leur relation pris fin en automne 1962. Campbell s’est remariée par la suite au golfeur Dan Exner. En 1976, elle fut convoquée par la commission Church pour témoigner sur l’assassinat du président Kennedy. La commission estimait que la mafia avait joué un rôle dans l’assassinat du 35e président des États-Unis.

      

    Giancana fut retrouvé mort. Il devait lui aussi témoigner devant la commission du congrès. Campbell Exner a même écrit un ouvrage, My Story, décrivant ses nombreux rendez-vous avec le défunt président.

     

    Le 19 mai 1962, pour son 45e anniversaire de naissance, Marilyn Monroe fut invitée à chanter le célèbre "Happy Birthday Mr President" au Madison Square Garden de New York dans le cadre d’une soirée bénéfique. Elle fut présentée par Peter Lawford, beau-frère du président. Marilyn portait une très jolie robe qui fut vendue aux enchères en 1999 pour la modique somme de 1,26 millions de dollars U.S. Marilyn était le centre d’attraction de la soirée, mais d’autres artistes participaient à cette soirée dont Ella Fitzgerald, Maria Callas, Harry Belafonte et Jack Benny.

      

    Le président et Marilyn se sont rendu chez Arthur Krim, le patron des studios United Artists, qui organisait une petite fête. Il semblerait que la séduisante star et le président ont passé un long moment dans une chambre.

     

    Le président a connu d’autres aventures tout au long de sa vie surtout avec des actrices comme Joan Crawford; Arlene Dahl et Angie Dickinson. On affirme que lors d’un des nombreux bals d’inauguration de Kennedy, il alla retrouver la gracieuse Angie Dickinson dans la suite de Frank Sinatra qu’il avait loué pour fêter l’événement au Statler-Hilton.

     

    Il eut aussi Sonja Henie, la voluptueuse Jayne Mansfield; Lee Remick, sans oublier la Canadienne originaire de Montréal Norma Shearer, et la plantureuse Blaze Starr.

     

    Marie Arvard Gene Tierney Durie Malcolm Jacqueline Bouvier Judith Campbell Exner Marilyn Monroe
    Joan Crawford Arlene Dahl Angie Dickinson Sonja Henie Jayne Mansfield
    Mary Meyer Lee Remick Norma Shearer Blaze Starr
    Sophia Loren Zsa Zsa Gabor

     

    Certaines personnes ont affirmé que Kennedy aurait eu une aventure avec la sensuelle actrice italienne Sophia Loren et l'actrice hongroise Zsa Zsa Gabor.

    En août 1963, Jackie donna naissance à un autre petit garçon, mais celui-ci connut des problèmes respiratoires. La mort prématurée du nouveau-né avait rapproché le couple. Madame Kennedy avait accepté d’accompagner son mari pour son voyage au Texas. Selon des proches collaborateurs, ce n’était pas comme d’habitude. Ils étaient assis côte à côte. Jackie accompagnait son mari dans son ultime voyage vers la mort. Le 22 novembre 1963, des coups de feu mettaient un point final au couple John F. Kennedy et Jaqueline Bouvier.

    JFK a dû faire face à des crises d’envergure internationale. Maintenant c'est à vous de répondre, le président Kennedy était-il un mythe?

     

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

    POUR APPRECIER ce merveilleux chant, une des plus belles chansons de France

      

     - cliquer sur le logo central de DEEZER - tout en bas, colonne de gauche - le fond musical du blog sera supprimé.

    Delicious Yahoo!

    votre commentaire
  • Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • gif

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

     

      

      

    Drapeau fleurs de lys, origines

    drapeau fleurs de lys

    drapeau royal à fleurs de lysDe nos jours, on peut souvent remarquer que la fleur de lys orne un certain nombre de pavillons comme le drapeau royal de la monarchie française que ceux ci soit nationaux ou bien, comme en France régionaux. On prête à cette fleur, qui est devenue l’emblème de la monarchie française, beaucoup de légendes qui pourrait expliquer sa forme, si particulière.

    Drapeau et lys

    Tout d’abord, le dessin original de la fleur de lys que l’on peut voir sur le drapeau royal viendrait non pas du lys traditionnel mais de l’iris jaune des marais représenté la tête en bas. Il aurait été choisi comme symbole par Clovis, lors d’une de ses victoires, près de Poitiers, où cette fleur pousse abondamment.

    On peut aussi expliquer cette forme par une étude linguistique. En effet, la langue couramment utilisée à l’époque était le francique, un dialecte germanique qui ressemble en beaucoup de points au néerlandais. Il se trouve que dans cette langue, l’iris des marais se traduit par lisbloem, soit littéralement fleur de lys en français. Voici donc pourquoi, on parlerait de fleur de lys sur un drapeau et non d’iris.

    Des lys et des crapauds

    Une légende toute autre raconterait que, près de l’ancienne foret de Saint Germain en Laye où le couple royal avait l’habitude de séjourner, la Reine Clotilde, très croyante, consultait souvent un ermite. Et un jour, alors qu’il priaient, un ange se serait présenté à eux, leur demandant de changer le drapeau orné de crapauds (symbole qui pourrait aussi être un dérivé de la fleur), par trois fleurs de lys.

    Drapeau royal

    Bien que nous n’ayons aucune certitude sur ces légendes (et il en existe encore beaucoup d’autres), nous savons en revanche que la fleur de lys est bien apparue sur le drapeau et les armoiries des Rois de France sous Clovis.

    Le drapeau royal était représenté à l’origine par 3 fleurs de lys couleur or sur fond bleu. Il fut remplacé par la bannière tricolore lors de la Révolution Française. D’ailleurs, sur celui-ci, on retrouve tout de même la couleur bleu, symbole de la monarchie.

    Le drapeau québécois aussi

    drapeau québécois

      

    C’est aussi pour cela que le drapeau québécois est représenté avec la fleur de lys et la couleur bleu. En effet, ce fut une province française qui a gardé, en plus de la langue, beaucoup de la culture francophone. C’est maintenant une province canadienne, et bien que l’on peut pratiquer les deux langues (anglais et français), environ 80 % de la population préfèrent parler la langue de Molière.

    Drapeau fleuri

    On peut constater que beaucoup de régions, en France, ont tenu à garder sur leur drapeau la fleur de lys, qui est le plus souvent associée au bleu. Plus encore, celui de l’île de France est même identique à celui des rois. Cela vient sans doute du fait que ces majestés vivaient dans cette région.

    Dans le monde et à part au Québec, on retrouve très peu de drapeau à fleur. Le symbole le plus fréquent est sans aucun doute l’étoile. Pourquoi ? Cela varie d’un pays à l’autre, mais elle représente le plus souvent, un nombre important de la nation (on compte le même nombre d’étoiles que d’états sur l’étendard américain).

      

      

     

    Signification des Fleurs de Lys

     

    flbl.JPG

     

    La fleur de lys est l'emblème du Verbe Incarné.

     

    Jésus-Christ a confié Son "emblème personnel" au Roi de France, pour bien marquer que celui-ci gouverne en Son Nom et pour Son compte.

    Expliquons le symbolisme de la fleur de lys.

    Le Verbe Incarné est une personne divine comprenant une nature divine et une nature humaine, laquelle est formée d'un corps et d'une âme.

    Le Fleuron du milieu qui est rigide et dressé vers le Ciel représente la nature divine de Notre Seigneur Jésus-Christ qui est ferme et qui s'élève au dessus de tout. On peut dire aussi qu'il symbolise la fermeté de la Foi.

    Les fleurons latéraux qui sont recourbés vers la terre signifient, l'un la prudence dans les décisions de l'âme raisonnable, l'autre la miséricorde dans les oeuvres.

    La bague qui encercle les Trois fleurons représente le corps de Notre Seigneur Jésus-Christ qui renferme Son âme et Sa divinité.

    Résumé : fermeté dans la foi, prudence dans Article écle conseil, miséricorde dans les oeuvres. Bref, nous venons de le dire : Jésus-Christ, par le ministère de l'Ange de Joye-en-Val, a confié Son emblème personnel au Roi de France.

     

    Jesus-et-anges.jpg

    On ne peut pas exprimer plus fortement et plus simplement l'idée (que Sainte Jeanne d'Arc viendra rappeler) à savoir l'idée de "LieuTenance".

      

      


    Article écrit par POLI

    sources : http://beaudricourt.hautetfort.com/archive/2010/09/15/signification-des-fleurs-de-lys.html

      

      

     

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    POUR APPRECIER cette VIDEO - cliquer sur le LOGO CENTRAL de DEEZER - colonne de gauche - en bas - le fond musical sera supprimé.....

    Delicious Yahoo!

    votre commentaire
  •  

     

     

    Gustav Klimt

     

     

     

    Gustav Klimt est un peintre symboliste autrichien né en 1862 et mort en 1918 : il fut l'un des membres les plus en vue du mouvement "Art nouveau" de Vienne.

      

      

      

    Gustav Klimt

      

      

      

      

    Gustav Klimt

      

      

      

      

    Gustav Klimt

      

      

      

    Gustav Klimt

      

      

      

      

    Gustav Klimt

      

      

      

      

    Gustav Klimt

      

      

      

      

      

      

    Gustav Klimt

      

      

      

      

     

     

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire