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Par Dona Rodrigue le 12 Novembre 2011 à 16:47
Le bijou de sentiment de la Renaissance à nos jours
A l’occasion du lancement de sa nouvelle collection de haute joaillerie, Le Grand Frisson, la Maison Chaumet présente, du 3 octobre au 7 novembre 2008, une exposition consacrée aux bijoux ayant pour thème la rencontre amoureuse. Réalisée par l’historienne du bijou Diana Scarisbrick et la conservatrice du Musée Chaumet, Béatrice de Pinval, cette rétrospective expose cent-cinquante bijoux sentimentaux – provenant pour la plupart de collections privées – de la Renaissance à nos jours. Apparu au Moyen-Âge, le bijou dit «de sentiment» traduit, à travers de subtils symboles, le langage amoureux. Les bijoux en forme de cœurs, naturellement, mais aussi le serpent, qui symbolise l’amour éternel, ou la violette, emblème de l’amour innocent. Parmi les pièces les plus remarquables, on pourra admirer des bijoux offerts par Napoléon 1er aux impératrices Joséphine et Marie-Louise.Musée Chaumet 12 place vendôme Paris 1er du lundi au vendredi de 11 heures
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Par Dona Rodrigue le 4 Novembre 2011 à 09:47
Cette bague que nous avons toutes imaginée pour sa symbolique, certes, mais également pour sa beauté et le plaisir de porter une bague qui brille de mille feux… !
C’est pour cela que la plupart des filles, (avouons-le), choisissent cette bague de fiançailles, ou du moins guident (de manière très précise) leur chéri sur le modèle qu’ils devront offrir.
Cette bague que nous garderons, on l’espère toute notre vie, doit nous ressembler, être unique, c’est pourquoi il existe un nombre important de modèles.
Si les plus grands joailliers proposent des modèles des plus recherchés, on peut remarquer que le choix n’est pas si vaste et que même les bagues de fiançailles suivent la mode !
Et après ? une fois la tendance passée, sachez Mesdames que vous ne pourrez pas changer de modèle comme de paire de bottes !
Alors, avant de vous lancer dans l’achat d’une bague si « tendance », prenez le soin de visualiser tous les modèles possibles !
Notons que nous sommes toutes différentes, mais que des traits communs nous rassemblent ou nous distinguent :
· Il y a la fille qui aime la simplicité, qui aime les choses vraies, sans artifices. Ce sont ces choses qui, de part leur authenticité, les rendent plus précieuses que toutes les autres.
Alors en général, on a tendance à suggérer à cette fille, la bague de fiançailles traditionnelle : un beau diamant, monté sur un anneau en or jaune ou blanc (platine de préférence car l’or blanc perd de sa blancheur avec le temps)
Pour les plus gourmandes, il faut que le nombre de carat soit important ! Qui dit authenticité ne dit pas forcément modestie…
Qu’importe le poids du diamant, je vous conseille de le faire monter en hauteur : même si cela peut sembler classique, c’est la meilleure façon qu’il ressorte et que sa pureté éclate au grand jour !!!
Quelques exemples
- Bagues Tiffany and Co -
On remarque que la bague traditionnelle prend le diamant avec 6 griffes.
Il est possible de la monter avec 4 griffes pour profiter au maximum de l’éclat de la pierre. En revanche, qui dit moins de griffe dit aussi moins d’attache sur le diamant.
- Solitaire de Cartier -
Le plus sûr est de refaire sa monture tous les 10 ans…je ne vous ai pas raconté l’histoire de la femme qui a perdu son diamant en se rendant au marché…véridique !
Plus l’anneau est fin, plus le diamant semble gros, c’est sans doute la raison pour laquelle les créateurs réalisent des anneaux bombés en hauteur ou plus fins au contact du diamant
www.bague-fiancailles.com/products
Alors, comme nous le disions, il y a cette fameuse femme qui aime les choses vraies, authentiques, mais cette même personne peut avoir envie de réaliser son rêve de petite fille : avoir une bague qui scintille de partout !
Les joailliers ont donc modernisés le solitaire classique en y ajoutant des brillants tout autour de l’anneau.
On distingue deux types de montures :
- Celles sans railles autours des brillants qui garnissent l’anneau
- Birks -
- Celles avec des railles:
- Birk -
J’ai une nette préférence pour celle sans railles car elle allège la bague et donne l’impression qu’elle n’est faite que de diamants.
Pour parfaire notre rêve de posséder un bijou tout en diamant, il est possible de greffer des brillants également sur les côtés perpendiculaires de la monture
- Tacori -
N’oublier pas que le diamant peut :
- Etre amené par la monture, c’est assez courant, Cartier a lancé l’idée, et elle a largement été aimé, donc reproduite
- Cartier -
- Ou être tout simplement posé sur la monture, dans ce cas, insistez auprès de votre bijoutier pour qu’il fasse des griffes hautes. Personnellement j’aime ce type de monture car le diamant est vraiment valorisé
Tiffany Novo, by Tiffany and Co
· Il y a la fille, classique par nature, mais qui a envie de se distinguer subtilement des autres.
Elle aime les belles choses, les valeurs sûres sans toutefois avoir peur de prendre un risque supplémentaire pour se distinguer ou pour tout simplement trouver un produit qui va bien avec son image ou son esprit.
Si vous vous reconnaissez divers modèles peuvent vous convenir :bijouteriejacomo.com
- Chaumet -
Parce qu’il détourne le coté classique de l’anneau, parce qu’il place le diamant en « équilibre » accrochant l’œil pour mieux comprendre.
Notons que placé de la sorte l’anneau prend de l’ampleur, ce qui conviendra parfaitement aux personnes ayant des doigts boudinés… !
Poursuivons avec cette fille qui veut se distinguer subtilement des autres.
Elle porte une bague de fiançailles classique : un anneau en or ou platine orné d’un diamant.
Pourtant un petit détail qui se situe sur les faces extérieures rendra ce bijou unique.
- Tacori -
Il y a celle qui aime quand ça brille à outrance, le tour du doigt peut alors être « emprisonné » par des lianes de diamants, surplombées par la pierre choisie.
Bague « just for you » Fred
Solitaire « Attrape-moi…si tu m’aime »
· Il y a la fille qui aime par-dessus tous les doigts chargés de brillants. Parce que oui, avouons-le, on aime avoir des yeux rivés sur notre main, on aime la sensation de se parer d’une merveille en glissant la bague, on aime être hors-norme...
Alors, parce qu’il est quasiment devenu impossible de se faire offrir un diamant 2 ou 3 carats, pensez aux trompe-l’œil.
Votre chéri vous offre un diamant de 1 carat, en ajoutant un contour de micro diamants autours (0.03 carats), vous passez d’un 1 carat à un diamant d’environ 2.20 carats !
Imaginez les combinaisons que vous pourrez faire !!
- Tacori - - Tiffany and co – Tiffany Embrace -
Si vous n’êtes pas fan des micros diamant autour du solitaire, chose que je peux comprendre, mais que vous voulez absolument mettre en valeur votre pierre, vous pouvez opter pour la mise en valeur par le détail
Je m’explique, au lieu de grossire la pierre en l’entourant de brillants, mettez la en valeur en ornant la monture et la couronne.
Et là, vous pouvez vous permettre toutes les excentricités…
Nous parlons depuis le début de bagues de fiançailles ornées de diamant taille brillant.
Mais, comme vous le savez toutes, il existe de nombreuses autres tailles (qui vient du verbe « tailler ») de diamant.
Ce n’est qu’une question de goût, mais je remarque que de plus en plus de filles choisissent de délaisser le classique brillant pour une coupe taille princesse.
Pour votre culture et vos diners entre copains, il faut savoir que la taille princesse est assez récente, elle date des années 60. Sa forme carrée ou rectangulaire séduit souvent les filles qui aiment le luxe et le chic.
De la même manière qu’avec un diamant de taille brillant, il est possible de se permettre toutes les fantaisies avec une taille princesse, c’est juste une question de préférence !
La taille coussin est revenue en force depuis la sortie par Tiffany and Co de la bague Tiffany Novo : on veut se distinguer des autres en optant pour une forme moins ronde, mais on refuse des lignes trop droites qui peuvent paraîtres dures.
Mesdames, sachez avant de demander un diamant taille coussin qu’il aurait moins de valeur qu’un diamant taille brillant.
Une astuce pour faire illusion entre un brillant et un coussin : que seules 4 griffes maintiennent le diamant, vous verrez, cela fait illusion !
shopoon.fr
J’entends également certaines filles qui veulent absolument une poire en guise de solitaire.
Parce que la poire donne une allure royale, une allure sophistiquée, et que c’est beaucoup moins évident à trouver qu’un diamant taille brillant, de plus en plus d’entre nous ne veulent qu’une poire, quitte à ce que cette dernière soit plus petite.
Comme le coussin, la poire est effectivement plus rare à dénicher, mais cette forme revient au gout du jour avec la dernière collection de chaumet. (Bague Joséphine)
Ce n’est certes pas une poire, mais un brillant, pourtant le sertissage dessine la forme d’une poire.
Bien évidemment, d’autres bagues ornées de véritables poires existent
- Chaumet -
Pour son 230e anniversaire, Chaumet a rendu hommage à la première muse de la Maison, l'impératrice Joséphine, en lui dédiant une collection de bijoux où le diadème devient bague et couronne le doigt.
Pour revenir à la réalité, car, comme vous l’imaginez les prix Chaumet restent assez élevés, vous pourrez dessiner vous-même le modèle de vos rêve.
Je pense que cette taille est tellement royale, que la faire monter sur un anneau simple en or ou platine risque de casser l’esprit du diamant. Non ?
La poire doit être accompagnée… !
Un peu…
Didier Guerin
Beaucoup...
harrywinston.com
Passionnément...
Neil lane
Notons qu’une poire est rarement montée comme un solitaire, les bagues que je vous propose mettent la pierre en valeur sans qu’elle soit montée en hauteur, à mon grand désespoir…
Vous remarquerez que j’ai dénigré les sertis clos car je trouve qu’ils étouffent le diamant.
Tiffany and Co
Je ne m’attarde pas sur la taille émeraude…mais voici quelques modèles merveilleux qui pourront que vous plaire !
Cartier
Cartier
Harry Winston
La coupe émeraude semble être particulièrement appréciée par la maison Cartier en tout cas !
N’oubliez pas que vous pouvez aussi orner les griffes qui maintiennent le diamant.
Le site canadien www.carezzajewellery.com/ fiancailles-carezza.html propose un large choix de bagues de fiançailles, mais aussi de montures.
Pratique, si votre chéri est déjà en possession de la pierre !
Les montures se veulent simples mais sont résolument très travaillées.
sources : http://mabottesecrete.over-blog.com/article-la-bague-de-fian-ailles-65330129.html
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Par Dona Rodrigue le 24 Août 2011 à 12:20
Les bijoux dans l'Egypte ancienne
De tout temps, les Egyptiennes de l'Antiquité furent reconnues pour leur élégance.
Vêtues de longues robes blanches en lin, le plus souvent d'une grande simplicité, la recherche dans leur tenue tenait en l'art du plissé, les jeux de transparence, par les détails tels qu'une bretelle nouée sous la poitrine, de la superposition de fines étoffes, dévoilant une épaule, un bras ou un sein.
De somptueux bijoux complétaient cet ensemble et se détachaient sur la blancheur de la toilette, y apportant de délicieuses touches de fantaisie et de raffinement, rehaussant ainsi la beauté des Egyptiennes.
Eléments de parure, ils tenaient aussi lieu d'objets magiques de protection contre la malchance et les dangers.
Les bijoux étaient portés autant par les hommes que par les femmes, et au sein de toutes les classes sociales.
Du collier le plus simple, cordelette retenant un petit coquillage, au lourd pectoral en or serti de pierreries, ces bijoux antiques témoignent du talent et de l'imagination des orfèvres de l'Egypte d'alors.
Pour l'élaboration de ces joyaux, ces artisans faisaient appel à toute la gamme symbolique de l'ancienne Egypte : l'oeil d'Horus, Ankh symbole de vie, un scarabée tenant entre ses pattes le disque solaire.
On retrouve également dans les formes et les motifs choisis, par exemple, des feuilles ciselées, un escargot ou un coquillage, des fleurs de lotus.
Les archéologues ont découvert des bijoux de toutes sortes : colliers, bracelets, bagues, boucles d'oreilles, diadèmes, de forme et de taille variées.
Le collier tient sans conteste une place de choix dans les coffrets à bijoux.
Toutefois, les bagues, portées en grand nombre voire parfois plusieurs sur les mêmes doigts, et les bracelets, aux bras, poignets et chevilles, étaient également très appréciés.
La mode des boucles d'oreilles, portées sur des oreilles percées, venait de l'Orient.
Présent en abondance dans les mines du désert oriental, l'or était le plus couramment utilisé par les orfèvres.
De même, les artisans employaient l'argent, le bronze ou l'ivoire.
Ces matières nobles étaient travaillées en formes variées, des plus simples aux plus sophistiquées : anneaux larges ou délicats, torsadés ou enroulés en serpent qui se mord la queue.
Dans une parfaite maîtrise de leur art, ils y ciselaient dragons et arabesques, cascades de fleurs, écailles de serpent finement ouvragées.
Des anneaux en argent étaient soudés entre eux ou des plaques en or s'articulaient pour former bracelets et pectoraux.
Alors, pour parfaire leurs chefs d'oeuvre, les orfèvres les incrustaient délicatement de pierres précieuses, de fleurs de lotus émaillées, ou plus simplement de pâtes de verre colorées, de céramique ou de coquillages. Ainsi à l'éclat de l'or se mêlait une riche et somptueuse palette de couleurs, rayonnant de reflets éblouissants sous le soleil de l'Egypte.
Avec des perles de porcelaine, bleues ou ocres, ils réalisaient de fragiles et gracieux colliers.
Ils avaient à disposition une grande variété de pierres précieuses aux teintes diverses.
Certaines provenaient du désert Egyptien : cornaline orange, felsdpath vert, améthiste mauve.
D'autres devaient être importées, par voie maritime ou par les routes caravanières, comme la turquoise du Sinaï et le lapis-lazuli de l'Afghanistan.
Formant un contraste étonnant contre la blancheur des étoffes à demi transparentes et le noir des chevelures soigneusement coiffées, de telles parures encadraient merveilleusement la beauté des Egyptiennes et enchantaient le regard.
Sources : L'Egypte Antique - Références
Images : Musée égyptien du Caire
(1) Bague ornée d'un scarabée. Or, lapis-lazuli, pierres semi-précieuses, cornaline. Trésor de Toutânkhamon.
(2) Pectoral ajouré représentant la navigation entre la Basse-Egypte et la Haute-Egypte.
(3) Bracelet en or, pierres semi-précieuses et lapis-lazuli.
(4) Les deux bracelets rigides, en or massif, sont articulés. Une large plaque de lapis-lazuli forme le corps d'un canard d'où émergent deux têtes et une large queue en or. Le pourtour est décoré de granulés et de filigranes. La moitié inférieure, plus sobre, est ornée de joncs parallèles. Le cartouche de Ramsès II se détache en léger relief, derrière la charnière. Ces bracelets étaient sans doute des présents royaux.
(5)Ces boucles d'oreille ont été découvertes sur la momie du temple d'Osiris à Abydos. Elles sont inscrites au nom du roi Ramsès XI et pourraient être un cadeau du roi.
(6)Ce pectoral en or, composé de six rangées incrustées de pierres semi-précieuses, est orné d'une tête de faucon à chaque extrémité.
(7) Ce collier provient de la tombe inviolée de la fille royale Néferouptah, sans doute l'une des filles d'Amenemhat III. La sépulture était localisée sous une pyramide de briques en ruine à deux kilomètres au sud-est de celle du père de la défunte. La momie et le cercueil ont été retrouvés décomposés par les infiltrations. Les objets retrouvés comprenaient des objets usuels de toilette comme des pots à onguent, des bâtons, des sceptres, une massue, le plastron de la momie et tous les bijoux parmi lesquels des colliers, bracelets, ceintures et un tablier de perles.
(8) Bracelet en or et pierre semi-précieuse. Trésor de Toutânkhamon.
(9) Bijou en or, cornaline, lapis-lazuli et pierre semi-précieuse. Trésor de Toutânkhamon.
http://cameline.over-blog.com/article-les-bijoux-dans-l-egypte-ancienne-65423526.html
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Par Dona Rodrigue le 18 Août 2011 à 15:14Navajo femmePrécédant l'arrivée des Européens dans les Amériques, natif bijoux indiens était assez simple dans la technique, composé principalement de marteler et de gravure de cuivre en pendentifs ou boucles d'oreilles et façonner le cuivre et l'argent en perles. Puis, dans le milieu du 19e siècle, lorsque des artistes Navajo, Hopi et Pueblo a commencé à apprendre l'art de l'orfèvrerie de leur interaction avec les Espagnols, leurs conceptions de bijoux en métal bourgeonné dans le Sud-Ouest. Bijoux autochtones telles que le squash Blossom conception collier (voir les exemples ci-dessous), unique à la région - y compris les Hopis d'argent bracelets et anneaux de superposition Navajo incrustation turquoise - combinées et développées à partir de cette fusion des nouvelles techniques de forge appris l'espagnol avec leurs propres motifs traditionnels natif de créer distinctement sud-style des bijoux uniques à la culture indienne.Exemple de Squash Blossom bijouxChaque tribu autochtone Indien de l'Amérique a son propre style unique de fabrication de bijoux.La Nation Zuni indiens (situé au Nouveau-Mexique): des designs distinctifs des bijoutiers Zuni 'utiliser des mosaïques (pour un effet surprenant - comme en témoigne l'exemple ci-dessous), les clusters, la marqueterie de canal , et de ce qui est communément appelé le petit point ou à l'aiguille des méthodes , en utilisant une variété de matériaux durs sous la forme de pierres diverses et de coquillages.Micro-mosaïque bracelet en argent incrustéLa Nation des Indiens Navajo (situé dans la partie nord de l'Arizona et le Nouveau-Mexique): sont célèbres pour leurs colliers de fleurs de courge et de leurs bijoutiers ont tendance à utiliser de gros morceaux de turquoise, pierres incrustations de corail et d'autres. Navajo moulage au sable est l'une des méthodes les plus anciennes d'argent de travail; les Navajos sont les plus grands producteurs de bijoux amérindiens .Argent & collier turquoise, 1960autres exemples de Squash Blossom conceptions, au-dessus-dessous etLa Nation Indiens Hopi (situé dans la région de l'Arizona): l' orfèvrerie Hopi profit la technique de superposition avec l'utilisation peu fréquente des pierres dans leurs bijoux. Selon le site, jewely-paideia.com, " Faire des bijoux avec la technique de superposition consiste à scier la conception hors d'une feuille d'argent et puis il superposant sur une deuxième feuille à laquelle il est alors transpiré ou soudée. Le fond est oxydé assombrir avec la couche supérieure de la bijouterie polis . "Squash Blossom Collier et bracelet par Jack AdakaiLe Saint-Domingue Nation indienne (Nouveau Mexique): leurs techniques d'utiliser des coquillages, la turquoise, le jet et le corail et sont connus pour leurs bijoux en perles .Zuni Sun-visage Squash Blossom collierTraditionnellement, bien que Sud-Ouest de bijoux indiens est le plus souvent exécutés en argent, des designers contemporains trouvent de nouvelles façons d'exprimer leurs talents, tels que leur expérimentation dans l'utilisation de l'or (comme le montrent les exemples suivants).Parfois, ils mélangent les deux métaux, or et argent, dans la même pièce.L'or et turquoiseBisbee turquoisesNavajo en argent, bracelet de turquoise et corailpar l'orfèvre Jeanette Dale, signé: «JDale 'Argent & Morenci turquoise broches par Edison Smith, ca.1975Contemporain de bijoux du Nouveau-MexiquePar Michael Zobel d' Atelier Zobel(Notez la combinaison d'or et d'argent)Voici deux exemples du travail de l'argent et orfèvre des artisans,Jimmy King Jr.Bracelet à maillons incrustés par Jimmy King Jr.Bracelet manchette en argent à la main par Jimmy King Jr.Bague en argent faite avec turquoise Pilot Mountain naturellespar Orville TsinnieZuni Canal collier incrusté de turquoiseUn exemple de design contemporain natif de Santa Fe, Richard Stump:Un bracelet d'argent, turquoise et corailVoici des exemples de bracelets de corail et d'argent:Bracelet par David CadmanPar David Cadman50 Bracelet en pierre consécutive par Albert JakeBracelet Corail grappes par Albert JakeBracelet en or 14K et coraux par l'artisan Tsabetsaye EdithArgent & coiffe bleu turquoise par Stanley ParkerLes bijoux d'orfèvrerie, Wilson & Carol Begay:Sandcast d'argent et bracelet manchette Royston turquoisesArgent & Morenci turquoise boucle de ceintureBracelet manchette en argent SandcastTriple collier de turquoises par Charles JohnsonArgent Boucle de ceinture par l'orfèvre Harrison BitsueArgent & Morenci turquoise coiffe par Jay LivingstonBracelet manchette en ArvisoUn Darryl Yonnie argent et bracelet de turquoiseAllsion Lee bracelets avec Carico lac bleu turquoiseArgent & Lone Mountain turquoise - marqués RMUne paire de bracelets manchette R. Chee avec Royston turquoisesUne paire de manchettes en argent et turquoise par Derrick GordonCi-dessous est une illustration de ce qui est connu comme «Needlepoint»Argent et turquoise Needlepoint coiffe par Calvin EustacheTufa fonte argent et bracelet de turquoise par Harry H. BegayArgent & bracelet manchette turquoise par Frederick BrownPoignets conçu pour les hommes:Corne de buffle, argent, or, coiffe les hommes turquoise et corail par Boyd TsosieArgent, or et turquoise coiffe les hommes par Aaron AndersonAl Joe Pâques argent et la coiffe bleu turquoiseIvoire fossile, l'argent, la coiffe bleu turquoise et corail par Richard TsosieArgent & coiffe bleu turquoise par Richard TsosieAaron Anderson en argent et turquoise coiffe perlesTufa fonte lourd bracelet par Aaron Anderson & Tommy JacksonTufa fonted'argent, la coiffe les hommes turquoise et corail par Olin TsingineTurquoise et argent Boucle de ceinture par Vernon HaskieLe travail de Wes WillieOr, le corail et turquoise braceletTufa fonte d'argent & pierres incrustées manchetteManchette en or 14K avec pierre incrustationsUn exemple de l'argent et l'or utilisé en un seul morceauArgent, or, bracelet de turquoise et corailCoiffe des Zuni par Don C. DewaArgent, bleu turquoise et corailBracelet Navajo par Tune DavidArgent et divers incrustations de pierresL'irrépressible Millicent Rogers:Collectionneur passionné et amateur d'art du sud-ouest, bijoux et objetsStandard Oil héritière Mary Millicent Rogers a été considérée comme l'une des icônes de mode les plus sophistiquées de sa journée. Acclamé pour son chic et immensément riche, elle avait « Une passion pour plaisirs esthétiques de la vie a inspiré un voyage qui l'a conduite à la terre belle et historique de Taos, au Nouveau-Mexique ... Elle croyait à la culture du sud-ouest Indien était un élément précieux du patrimoine de l'Amérique qui devait être reconnue et préservée . "»Son amie designer, Gilbert Adrian, lui a présenté Taos, au Nouveau Mexique. En 1947, elle, comme tant d'autres célébrités, a été élaboré à la beauté de la région, le climat sec, et les Indiens et les peuples hispaniques. Elle était fascinée par l'art indien et a commencé à recueillir des bijoux, des couvertures, des paniers, les textiles, et Santos (représentations folkloriques des saints fait principalement en bois). Elle vivait dans une simple maison en adobe remodelé. "Millicent Rogers a amassé une énorme collection de Navajo bijoux, des textiles et des artefacts. Son musée du même nom à Taos, Le Millicent Rogers Museum , construite pour abriter ses collections vaste, ouvert en 1956 par sa famille pour préserver et mettre en valeur sa collection étendue de l'art sud-ouest qu'elle avait amoureusement rassemblés durant sa vie.Étonnamment, seulement de Millicent collection personnelle vaste argent et turquoise du sud-ouest de bijoux seul, le musée contient plus de mille pièces.jewellery.html
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Par Dona Rodrigue le 12 Juin 2011 à 18:53
J'ai gardé un vieil article de Télé Loisirs sur le joyau du film qui serait inspiré d'une histoire vraie.
Plusieurs journaux anglais ont annoncé après le naufrage que le fameux diamant bleu, qui porta malchance à presque tous ceux qui l'ont possédé, et dont la valeur dépasse 1 million et demi de francs se trouvait à bord du Titanic. Et c'est ainsi que se répandit la légende.
Ce diamant dont les journalistes parlent est le fameux Hope exposé au Smithsonian Institution de Washington. La plupart de ses propriétaires ont connu une fin tragique.
La légende : Dérobée en Inde sur une statue de Shiva et pesait à l'origine plus de 112 carats. Jean-Baptiste Tavernier, grand voyageur de son époque, le rapporta en France pour le vendre à Louis XIV qui le fit retailler. Plus tard, Louis XV le fit monter sur le collier de la Toison d'or.
C'est avec Louis XVI et sa fin sur l'échafaud, que semble se manifester pour la 1ère fois la malédiction. Le diamant placé au garde-meuble est volé en 1792. Bien plus tard, on le voit réapparaître à Londres au début du XIXème siècle dans les mains de Hendricks Fals qui vient de le voler à son père, un grand joaillier d'Amsterdam. Celui ci meurt de chagrin et le fils pris de remord se suicide.
En 1901 le joyau rejoint la collection de Hanry Philip Hope qui lui donne son nom. Le propriétaire suivant, un français, Jacques Colot, se suicide peu après l'avoir acheté.
Un prince russe offre ce joyau à une danseuse des Folies-Bergère, Melle Ladre qui est assassinée par un jaloux. Puis un joaillier grec le propose à un cruel sultan qui fera 2 nouvelles victimes, le joaillier meurt dans un accident de la route et le sultan est chassé par son peuple en 1909. Selon "l'Humanité" du 19 avril 1912, le collectionneur Salomon Habib qui a vendu le diamand meurt noyé.
Le diamant bleu ne pèse plus que 45 carats et demi à présent. Pierre Cartier l'achète cette même année et le vend en 1912 à la femme d'un riche héritier. Mme Walsh fait bénir son acquisition pour plus de sûreté. Elle n'embarqua par sur le Titanic, des bals et autrs réceptions l'avaient retenue à New-York. La presse anglaise s'est trompée
Le diamand bleu de la couronne est inestimable et est l'une des 5 pierres les plus précieuses au monde.
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Peut-être rêves-tu de moi en ce moment même. Je l'espère car je t'aime coeur, corps et âme. Oh ! être tout entière dans ton rêve !
Le jeune homme, la mort et le temps
Mon site sur Jack Phillips : http://jackphillips.new.fr/
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Par Dona Rodrigue le 12 Juin 2011 à 18:19
l'HISTOIRE de la PERLE....
Les perles ont été connues et évaluées dans différentes cultures à travers l'histoire. Dès 2300 ans avant Jesus Christ les inscriptions Chinoises indiquent que les perles étaient des gemmes estimés et de valeur et généralement un cadeau offert par la nature.
Les textes anciens hindoux se rapportent également à plusieurs reprises aux perles en énonçant qu'en un lieu le Dieu Krishna a découvert la première perle.
En Egypte Antique la perle mère a été employée dans en décoration dès 4000 ans avant Jésus Christ, bien que l'utilisation des perles fines ne soit venue que bien plus tard aux environ du 5ème siècle avant Jésus Christ.
La rome Antique appréciait beaucoup les perles, particulièrement comme symbole de richesse et de prestique, au point qu'il était interdit de porter des perles si l'on n'avait pas le rang et donc le mérite. L'histoire raconte que les Romains par l'intermédiaire de Antony chef Romain en la présence de la dernière reine d'Egypte "Cléopatre" il s'est produit un incident.Le banquet a été décrit par l'historien romain Pliny l'aîné en son livre, histoire naturelle .
Bien que quelques historiens courants contestent les détails et signification du banquet, il y a un accord général que l'incident décrit a en effet eu lieu.
L'histoire relate que Cléopatre avait l'intention de donner le repas le plus cher jamais fourni. Devant elle une énorme vasque contenant du vinaigre.
Antony se demandait comment pourrait elle gagner son pari. Sur ce Cléopatre enleva l'une de ses boucles d'oreille de perle et d'après Pliny, ces boucles auraient eu une valeur de 10 millions de sesterces l'équivalent de milliers de livre de d'or, et elle plongea cette boucle dans la vasque de vinaigre. La perle s'est dissoute dans le vinaigre et la reine bu le contenu de la vasque. Ainsi elle gagna son pari.
Les Grecs Antiques ont également appréciés les perles en les utilisants tout particulièrement pour les mariages parce qu'elles étaient synonimes d'Amour.
Les Arabes également appréciaient les perles, car tout le long du Golf Persique vivaient de nombreux lit d'huîtres. Ils considéraient que les perles avaient beaucoup de valeur elles sont même décrite dans le Coran comme l'un des plus grands trésors fourni par le paradis.
Dans l'hémisphère occidental les Indiens d'Amérique ont apprécié aussi les perles d'Eaud douce qu'ils trouvaient dans les lacs et les fleuves. L'histoire raconte par exemple que Hernado de Soto a offert à une princesse Indienne des peaux d'animaux, des tissus, du cuivre et des perles d'Eau douce.
Les colonies Française, Espagnole ont tous trouvé auprès des indigènes des Perles d'eau douce et en ont fait commerce. Et du reste ces puissances coloniales se sont rendus compte de l'importance des perles d'eau douce en terme de qualité et de quantité et en ont raménées en Europe. Ces perles provenaient des lacs et des fleuves. Puis en plus des perles d'eau douce ils ont découvert des perles d'eau de mer qu'ils trouvaient dans la mer des Caraïbes. Cependant à cause de récoltes importantes le gisement des huître perlières s'est tari sans compter le développement de la pollution et ce dès le début du 19 ème siècle.
En plus des perles elles-même les perles mères étaient aussi prisées et utilisées pour la réalisation de boutons vestimentaires et les exportations ont été très importante. Le chiffre ce calcul en millard de pièce vers l'exportation partout dans le monde. Cette pratique s'est effectuée jusqu'à la moitié du 20ème siècle ou l'industrie du plastique a suplanté l'industrie du bouton.
Vers la fin des années 1800 et le début des années 1900 l'histoire des perles est arrivée à un tournant important. A ce moment là certain nombre de chercheurs Japonais ont découvert indépendamment les techniques qui pourraient être employées pour faire créer des perles par les huître en culture.
qui par son sens des affaires et son savoir faire a réussi à commercialiser ces perles de culture. Il lui aura fallu user de son grand talent de commerçant pour obtenir ce succès. C'est sans doute auprès de son père qu'il a appris le commerce. Son père restaurateur et fabricant de nouille au Japon travaillait très bien.Aujourd'hui Kokichi Mikimoto est crédité d'avoir à lui seul découvert le principe de la perle de culture et d'avoir su faire partager au monde entier ses convictions.Le nom que l'histoire retient est
En moins de 50 ans Kokichi Mikimoto a réécrit l'histoire de la perle. Dans le passé seule l'aristocratie pouvait se permettre de porter des perles. Aujourd'hui les choses sont différentes et beaucoup de femmes de part le monde peuvent se permettre de porter des perles car le coût d'achat est bien moins important que pour les perles fines.
Cette technique a révolutionné le monde de la perle. Lorsque vous pensez que pour récolter des perles fines des plongeurs descendaient en apnée pour recueillir les mollusques et sur les tonnes de mollusques remontés de découvrir une perle que de temps en temps. De nombreux accidents de plongée sont à dénombrer dans ce travail et les autorités locales ont pris des mesure drastiques pour que cesse cette pratique. Kokichi Mikimoto venait de faire renaître le marché de la perle dans le monde.
PLUS DE DETAILS :
Le fils du propriétaire d'un magasin de nouilles, eurent sans se connaître et presque en même temps la même idée. Chacun de son côté, ils établirent les fondations de la perliculture moderne., charpentier et , biologiste de la marine impériale japonaise, .Il y a un peu plus de 100 ans,
ARTICLE de Dona rodrigue
photos google
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Par Dona Rodrigue le 8 Juin 2011 à 14:40
C’est au cœur du XIXème siècle que nous mène le Musée Nation
de la Légion d’honneur et des Ordres de Chevalerie. En regroupant les décorations de l’Empereur Napoléon III, du Prince impérial et de l’Impératrice, l’exposition “Écrins Impériaux” brosse un tableau, aussi rigoureux que chatoyant, de l’histoire diplomatique, militaire et économique du Second Empire. Ici, chaque bijou raconte une histoire, une victoire, un accord, une amitié … La présentation de ce trésor, sauvé miraculeusement de l’incendie des Tuileries, s’inscrit dans la continuité de l’exposition “Ecrins impériaux, l’apparat et l’apparence” présentée en 2010 au musée national du Château de Compiègne qui évoquait la vie brillante et fastueuse de la cour durant le Second Empire. L’exposition présente également le médaillier des insignes du maréchal Vaillant, grand maréchal du Palais, dont la richesse et la diversité rivalisent avec ceux de l’Empereur.
Les décorations ont toujours joué un rôle dans les relations entre les Etats. Symboles de “reconnaissance, d’alliance et de fidélité”, elles soulignent, dans le cadre de cette exposition, les moments forts du règne de Napoléon III raconté depuis son accession à la présidence de la République en décembre 1848 jusqu’à sa chute et la proclamation de la République de 1870, en passant bien sûr par le rétablissement de l’empire en 1851.
Certaines pièces évoquent le mariage avec Eugénie de Montijo, la naissance d’un fils, les campagnes militaires, les expositions universelles, les visites officielles qui ont également donné lieu à des remises et à des échanges de médailles.
L’exposition universelle de 1867, particulièrement, apparaît comme l’apothéose du Second Empire : la fête impériale bat alors son plein et les très nombreux souverains de passage à Paris arborent leurs ordres flamboyants.
Cette incroyable profusion de bijoux et de rubans chatoyants que présente l’exposition “Ecrins impériaux” est un témoignage unique. Minutieusement rangés dans des plateaux gainés de moire et de velours, ces joyaux témoignent de l’ambition internationale d’un monarque soucieux de la grandeur de la France dans un monde en pleine mutation.
Les écrins présentés, propriété du château de Compiègne, contiennent les ordres de près de quarante pays différents et parmi les plus prestigieux. On peut notamment admirer : le Collier de l’ordre de la Jarretière remis à l’empereur en 1855 par la reine Victoria pour célébrer la réconciliation de la France avec le Royaume Uni ; le Collier de l’éphémère ordre de l’Aigle du Mexique, concédé à Napoléon III dès la création de l’ordre par l’empereur Maximilien ; le Collier de l’ordre de Saint-André de Russie, assorti de tous les insignes des principaux ordres russes, accordé à l’empereur et au prince héritier qui vient de naître par une Russie qui souhaite s’allier à la France …
Les Insignes proviennent de toute l’Europe et rivalisent de richesse, tels les splendides bijoux de Saint-Hubert de Bavière, la Toison d’or enrichie d’un saphir … Au plan émotionnel, une place particulière est faite à la Médaille commémorative de la campagne d’Afrique du Sud attribuée à titre posthume au nom du Prince impérial tué au combat contre les Zoulous et remise à sa mère.
- Exposition Ecrins impériaux, splendeurs diplomatiques du Second Empire – Musée de la légion d’honneur et des ordres de la chevalerie – 2, rue de la légion d’honneur, Parvis du musée d’Orsay – 75007 Paris
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Par Dona Rodrigue le 8 Juin 2011 à 14:23
d'inclure les références utiles en les liant aux notes de bas de page
Le Hope, du nom de son premier propriétaire Henry Philip Hope, est un diamant retaillé à partir du Bleu de France, un diamant bleu de la Couronne de 44,52 carats volé en 1792. Il provient des Indes. Le Hope a la réputation d'être un diamant maudit, puisque certains de ses propriétaires successifs ont connu une fin trouble, voire tragique[1].
Sommaire
[masquer]Histoire[
Article détaillé : Diamant bleu de la Couronne.Le diamant est ramené en France par le voyageur Jean-Baptiste Tavernier, qui le vend à Louis XIV. La légende du diamant, régulièrement relancée, veut que la pierre ait été volée sur une statue de la déesse Sitâ. Tavernier aurait fini dévoré par des bêtes sauvages, après avoir été ruiné (alors qu'il est simplement mort de vieillesse à Moscou, à 84 ans). Louis XIV fait tailler le diamant, qui passe de 112,5 carats à 67,5 carats, et le renomme « Bleu de France » ; Nicolas Fouquet, qui emprunte la pierre pour un dîner, est accusé de fraude et emprisonné à vie.
Durant la Révolution, le Roi et la Reine sont mis à mort et le diamant est volé au garde-meuble national en septembre 1792. Le diamant et ses voleurs quittent la France pour l'Angleterre. La pierre y est retaillée pour être plus facilement vendue et sa trace se perd jusqu'en 1812, exactement vingt ans et deux jours après le vol, durée suffisante pour que le vol soit prescrit.
En 1824, la pierre est vendue à sir Henri Philip Hope, banquier à Londres, qui lui donne son nouveau nom. Son petit-fils, Henry Francis Hope Pelham-Clinton-Hope, hérite sous la forme d'une assurance-vie ; il ne peut ainsi se séparer de la pierre qu'avec l'autorisation du tribunal. Il vit au-dessus de ses moyens et cause la banqueroute de sa famille. Sa femme, l'actrice May Yohe, subvient seule à leurs besoins. Le temps que le tribunal l'autorise à vendre la pierre afin de l'aider à régler ses dettes, en 1901, May est partie avec un autre homme pour les États-Unis où elle revend le diamant un an plus tard.
La pierre revient en Angleterre, puis en France, pour finalement revenir aux États-Unis. Les propriétaires successifs du Hope au XXe siècle sont Pierre Cartier, fils du célèbre joailler Alfred Cartier (de 1910 à 1911), Evalyn Walsh McLean (de 1911 à sa mort, en 1947) et enfin Harry Winston (de 1949 à 1958), qui en fait don au Smithsonian Institute de Washington. Afin de rendre le transport de la pierre le plus discret et sûr possible, Winston envoie la pierre au Smithsonian par la poste, dans une simple enveloppe kraft. Restant le plus gros diamant bleu jamais découvert à ce jour, le diamant est toujours visible dans la célèbre institution, où il bénéficie d'une pièce réservée : c'est l'objet d'art le plus visité dans le monde (6 millions de visiteurs annuels) après la Joconde au Louvre (8 millions de visiteurs annuels)[2].
On a constaté récemment que la composition chimique de la pierre est exceptionnelle : le type IIb dans laquelle elle est classée[3] concerne moins de 0,2 % des pierres existantes.
Dans la culture populaire :
Au cinéma[
- Un diamant ressemblant beaucoup au diamant bleu de la Couronne (et non au diamant Hope dont la retaille à partir du précédent est plus petite) apparaît dans le film Titanic de 1997, sous le nom de « Cœur de l’océan »[4].
- Dans l’épisode À propos d'hier soir… de la saison 12 de South Park, le Hope, exposé à la Smithsonian Institution, est la cible du cambriolage réalisé par Barack Obama et John McCain.
- Dans un des épisodes de Kuroshitsuji (Black butler), Ciel et Sebastian tentent de récupérer le diamant Hope qui avait été volé. Malheureusement la statue où la bague avait été placée tomba dans la Tamise et ne put être retrouvée. Par ailleurs Ciel possède un des des deux fragments du diamant Hope.
La pierre précieuse, censée porter malheur, réapparut en Europe en 1642 entre les mains d'un contrebandier français du nom de Jean-Baptiste Tefernier. Il la vendit avec d'énormes bénéfices mais laissa son fils prodigue dépenser le plus gros de sa fortune. Il devait finir déchiqueté par des chiens enragés aux Indes, où il était parti reconstituer sa fortune.
La pierre entra ensuite en possession de Louis XIV qui la fit tailler à nouveau, la ramenant ainsi de 112,5 carats à 67,5 carats. Cette réduction ne lui ôta pas son sort maléfique.
Nicolas Fouquet, qui l'avait emprunté pour un dîner officiel, fut reconnu coupable de détournement de fonds et emprisonné à vie. Il mourut dans sa prison. La princesse de Lamballe, qui portait souvent le diamant, tomba plus tard sous les coups d'une foule parisienne enragée. Le roi lui-même mourut ruiné et politiquement affaibli, son royaume épuisé. Louis XVI et Marie-Antoinette qui héritèrent ensuite du diamant finirent leurs jours sous le couperet de la guillotine.
En 1830, le bijou, désormais historique, fut acheté par un banquier londonien du nom de Henry Thomas Hope, qui le paya 150 000 dollars. Il connut rapidement des revers de fortune et l'un de ses petits-fils devait mourir ruiné. Un de ses derniers héritiers se débarrassa enfin du bijou en le vendant. Dès lors, pendant seize ans, la pierre passa de main en main.
Dans celles, entre autres, du Français Jacques Colet qui se suicida et du prince russe Ivan Kanitovitch qui mourut assassiné. En 1908, le sultan turc Abdul Hamid paya 400 000 dollars pour l'Espoir qu'il s'empressa d'offrir à sa concubine préférée, Subaya et fut lui-même renversé. Ce fut Simon Montharides qui en devint ensuite propriétaire. Sa voiture se renversa, le tuant sur le coup en même temps que sa femme et sa petite fille.
Le diamant traversa ensuite l'Atlantique et tomba entre les mains du magnat de la finance Ned Mc Lean qui l'acheta pour la somme dérisoire de 154 000 dollars. Son fils Vincent se tua peu de temps après dans un accident de voiture et sa fille mourut d'une overdose. La femme de Mc Lean s'adonna à l'héroïne et lui-même finit ses jours dans un asile. Il mourut en 1947, laissant le douteux héritage à ses petits-enfants, dont la petite Evalyn, âgée de cinq ans.
Deux ans plus tard, la famille Mc Lean vendit le diamant à Harry Winston, un marchand de pierres précieuses. Winston en fit don au Smithsonian Institute où il se trouve encore. Sa malédiction n'agit peut-être pas sur les institutions comme sur les individus ou est peut-être venue d'éteindre avec Evalyn Mc Lean, l'un des six petits-enfants de Mac Lean, que l'on trouva morte dans son appartement de Dallas le 13 décembre 1967. Elle avait 25 ans et l'on n'a jamais su la cause réelle de son décès.
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Par Dona Rodrigue le 8 Juin 2011 à 12:54
Les perles ont été connues et évaluées dans différentes cultures à travers l'histoire. Dès 2300 ans avant Jesus Christ les inscriptions Chinoises indiquent que les perles étaient des gemmes estimés et de valeur et généralement un cadeau offert par la nature.
Les textes anciens hindoux se rapportent également à plusieurs reprises aux perles en énonçant qu'en un lieu le Dieu Krishna a découvert la première perle.
En Egypte Antique la perle mère a été employée dans en décoration dès 4000 ans avant Jésus Christ, bien que l'utilisation des perles fines ne soit venue que bien plus tard aux environ du 5ème siècle avant Jésus Christ.
La rome Antique appréciait beaucoup les perles, particulièrement comme symbole de richesse et de prestique, au point qu'il était interdit de porter des perles si l'on n'avait pas le rang et donc le mérite. L'histoire raconte que les Romains par l'intermédiaire de Antony chef Romain en la présence de la dernière reine d'Egypte "Cléopatre" il s'est produit un incident.Le banquet a été décrit par l'historien romain Pliny l'aîné en son livre, histoire naturelle .
Bien que quelques historiens courants contestent les détails et signification du banquet, il y a un accord général que l'incident décrit a en effet eu lieu.
L'histoire relate que Cléopatre avait l'intention de donner le repas le plus cher jamais fourni. Devant elle une énorme vasque contenant du vinaigre.
Antony se demandait comment pourrait elle gagner son pari. Sur ce Cléopatre enleva l'une de ses boucles d'oreille de perle et d'après Pliny, ces boucles auraient eu une valeur de 10 millions de sesterces l'équivalent de milliers de livre de d'or, et elle plongea cette boucle dans la vasque de vinaigre. La perle s'est dissoute dans le vinaigre et la reine bu le contenu de la vasque. Ainsi elle gagna son pari.
Les Grecs Antiques ont également appréciés les perles en les utilisants tout particulièrement pour les mariages parce qu'elles étaient synonimes d'Amour.
Les Arabes également appréciaient les perles, car tout le long du Golf Persique vivaient de nombreux lit d'huîtres. Ils considéraient que les perles avaient beaucoup de valeur elles sont même décrite dans le Coran comme l'un des plus grands trésors fourni par le paradis.
Dans l'hémisphère occidental les Indiens d'Amérique ont apprécié aussi les perles d'Eaud douce qu'ils trouvaient dans les lacs et les fleuves. L'histoire raconte par exemple que Hernado de Soto a offert à une princesse Indienne des peaux d'animaux, des tissus, du cuivre et des perles d'Eau douce.
Les colonies Française, Espagnole ont tous trouvé auprès des indigènes des Perles d'eau douce et en ont fait commerce. Et du reste ces puissances coloniales se sont rendus compte de l'importance des perles d'eau douce en terme de qualité et de quantité et en ont raménées en Europe.
Perles Keshi
Ces perles provenaient des lacs et des fleuves. Puis en plus des perles d'eau douce ils ont découvert des perles d'eau de mer qu'ils trouvaient dans la mer des Caraïbes.
Cependant à cause de récoltes importantes le gisement des huître perlières s'est tari sans compter le développement de la pollution et ce dès le début du 19 ème siècle.
En plus des perles elles-même les perles mères étaient aussi prisées et utilisées pour la réalisation de boutons vestimentaires et les exportations ont été très importante.
Le chiffre ce calcul en millard de pièce vers l'exportation partout dans le monde. Cette pratique s'est effectuée jusqu'à la moitié du 20ème siècle ou l'industrie du plastique a suplanté l'industrie du bouton.
Vers la fin des années 1800 et le début des années 1900 l'histoire des perles est arrivée à un tournant important.
A ce moment là certain nombre de chercheurs Japonais ont découvert indépendamment les techniques qui pourraient être employées pour faire créer des perles par les huître en culture. qui par son sens des affaires et son savoir faire a réussi à commercialiser ces perles de culture.
Il lui aura fallu user de son grand talent de commerçant pour obtenir ce succès. C'est sans doute auprès de son père qu'il a appris le commerce.
Son père restaurateur et fabricant de nouille au Japon travaillait très bien.Aujourd'hui Kokichi Mikimoto est crédité d'avoir à lui seul découvert le principe de la perle de culture et d'avoir su faire partager au monde entier ses convictions.Le nom que l'histoire retient est En moins de 50 ans Kokichi Mikimoto a réécrit l'histoire de la perle.
Dans le passé seule l'aristocratie pouvait se permettre de porter des perles. Aujourd'hui les choses sont différentes et beaucoup de femmes de part le monde peuvent se permettre de porter des perles car le coût d'achat est bien moins important que pour les perles fines.
Cette technique a révolutionné le monde de la perle. Lorsque vous pensez que pour récolter des perles fines des plongeurs descendaient en apnée pour recueillir les mollusques et sur les tonnes de mollusques remontés de découvrir une perle que de temps en temps.
De nombreux accidents de plongée sont à dénombrer dans ce travail et les autorités locales ont pris des mesure drastiques pour que cesse cette pratique. Kokichi Mikimoto venait de faire renaître le marché de la perle dans le monde.
PLUS DE DETAILS :
Le fils du propriétaire d'un magasin de nouilles, eurent sans se connaître et presque en même temps la même idée. Chacun de son côté, ils établirent les fondations de la perliculture moderne., charpentier et , biologiste de la marine impériale japonaise, .Il y a un peu plus de 100 ans,
Les perles ont été connues et évaluées dans différentes cultures à travers l'histoire. Dès 2300 ans avant Jesus Christ les inscriptions Chinoises indiquent que les perles étaient des gemmes estimés et de valeur et généralement un cadeau offert par la nature.
Les textes anciens hindoux se rapportent également à plusieurs reprises aux perles en énonçant qu'en un lieu le Dieu Krishna a découvert la première perle.
En Egypte Antique la perle mère a été employée dans en décoration dès 4000 ans avant Jésus Christ, bien que l'utilisation des perles fines ne soit venue que bien plus tard aux environ du 5ème siècle avant Jésus Christ.
La rome Antique appréciait beaucoup les perles, particulièrement comme symbole de richesse et de prestique, au point qu'il était interdit de porter des perles si l'on n'avait pas le rang et donc le mérite. L'histoire raconte que les Romains par l'intermédiaire de Antony chef Romain en la présence de la dernière reine d'Egypte "Cléopatre" il s'est produit un incident.
Le banquet a été décrit par l'historien romain Pliny l'aîné en son livre, histoire naturelle . Bien que quelques historiens courants contestent les détails et signification du banquet, il y a un accord général que l'incident décrit a en effet eu lieu.L'histoire relate que Cléopatre avait l'intention de donner le repas le plus cher jamais fourni. Devant elle une énorme vasque contenant du vinaigre. Antony se demandait comment pourrait elle gagner son pari. Sur ce Cléopatre enleva l'une de ses boucles d'oreille de perle et d'après Pliny, ces boucles auraient eu une valeur de 10 millions de sesterces l'équivalent de milliers de livre de d'or, et elle plongea cette boucle dans la vasque de vinaigre. La perle s'est dissoute dans le vinaigre et la reine bu le contenu de la vasque. Ainsi elle gagna son pari.
Les Grecs Antiques ont également appréciés les perles en les utilisants tout particulièrement pour les mariages parce qu'elles étaient synonimes d'Amour.
Les Arabes également appréciaient les perles, car tout le long du Golf Persique vivaient de nombreux lit d'huîtres. Ils considéraient que les perles avaient beaucoup de valeur elles sont même décrite dans le Coran comme l'un des plus grands trésors fourni par le paradis.
Dans l'hémisphère occidental les Indiens d'Amérique ont apprécié aussi les perles d'Eaud douce qu'ils trouvaient dans les lacs et les fleuves. L'histoire raconte par exemple que Hernado de Soto a offert à une princesse Indienne des peaux d'animaux, des tissus, du cuivre et des perles d'Eau douce.
Les colonies Française, Espagnole ont tous trouvé auprès des indigènes des Perles d'eau douce et en ont fait commerce. Et du reste ces puissances coloniales se sont rendus compte de l'importance des perles d'eau douce en terme de qualité et de quantité et en ont raménées en Europe. Ces perles provenaient des lacs et des fleuves. Puis en plus des perles d'eau douce ils ont découvert des perles d'eau de mer qu'ils trouvaient dans la mer des Caraïbes. Cependant à cause de récoltes importantes le gisement des huître perlières s'est tari sans compter le développement de la pollution et ce dès le début du 19 ème siècle.
En plus des perles elles-même les perles mères étaient aussi prisées et utilisées pour la réalisation de boutons vestimentaires et les exportations ont été très importante. Le chiffre ce calcul en millard de pièce vers l'exportation partout dans le monde. Cette pratique s'est effectuée jusqu'à la moitié du 20ème siècle ou l'industrie du plastique a suplanté l'industrie du bouton.
Vers la fin des années 1800 et le début des années 1900 l'histoire des perles est arrivée à un tournant important. A ce moment là certain nombre de chercheurs Japonais ont découvert indépendamment les techniques qui pourraient être employées pour faire créer des perles par les huître en culture.
perles d'eau douce
Le nom que l'histoire retient est Kokichi Mikimoto qui par son sens des affaires et son savoir faire a réussi à commercialiser ces perles de culture. Il lui aura fallu user de son grand talent de commerçant pour obtenir ce succès. C'est sans doute auprès de son père qu'il a appris le commerce. Son père restaurateur et fabricant de nouille au Japon travaillait très bien.
Aujourd'hui Kokichi Mikimoto est crédité d'avoir à lui seul découvert le principe de la perle de culture et d'avoir su faire partager au monde entier ses convictions.En moins de 50 ans Kokichi Mikimoto a réécrit l'histoire de la perle. Dans le passé seule l'aristocratie pouvait se permettre de porter des perles. Aujourd'hui les choses sont différentes et beaucoup de femmes de part le monde peuvent se permettre de porter des perles car le coût d'achat est bien moins important que pour les perles fines.
Cette technique a révolutionné le monde de la perle. Lorsque vous pensez que pour récolter des perles fines des plongeurs descendaient en apnée pour recueillir les mollusques et sur les tonnes de mollusques remontés de découvrir une perle que de temps en temps. De nombreux accidents de plongée sont à dénombrer dans ce travail et les autorités locales ont pris des mesure drastiques pour que cesse cette pratique. Kokichi Mikimoto venait de faire renaître le marché de la perle dans le monde.
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