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    BAIGNEUSES 1920 ( PHOTOGRAPHIES)

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    RECLAMES...1920

     

     

    MODE et RECLAMES...1920

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  • Les ANNEES 20... PHOTOS

     

     

    Les années folles : mythe ou réalité ?

     
       

    Entre la fin de la 1ère guerre mondiale et la crise de 1929, une décennie de fêtes, d'illusions, de libération et de débauche caractérise une époque fascinante : les "années folles", expression reprise d'un titre de film sur les années 20. Dans une France exsangue, ou sur 10 hommes partis au combat, 2 sont morts et 4 sont revenus invalides, la jeunesse est chargée de reconstruire et s'empresse d'édifier une société nouvelle.

    Fêtes et bals sont organisés souvent au profit des éclopés et veuves de guerre. La silhouette des femmes se métamorphose et la mode des années 20 est symbolisée par Coco Chanel et sa petite robe noire.

    Celle qui porte un trench-coat et un chapeau noir impose alors la mode des cheveux courts. Les années folles, c'est aussi les temps modernes, avec l'apparition des nouvelles techniques de communication et de reproduction : la TSF, le téléphone, l'offset, le bélinographe pour transmettre à distance des photographies.

    Mais le phénomène de relâche se cantonne surtout dans la capitale parisienne et les années folles n'ont rien d'une révolution radicale des moeurs. Les problèmes liés à la reconstruction sont bien présents : la natalité se redresse trop faiblement et l'inflation est grandissante.

    Le pain, est passé de 0,20 F le kilo en 1914 à 1,75 F en 1921. Les salariés protestent contre la vie chère ; grèves et révoltes ouvrières secouent les entreprises françaises. La crise de 1929, avec ses conséquences sociales, politiques et économiques, met un terme à l'euphorie.

     

      

     

     

     

     

    Paris attire écrivains et artistes du monde entier. Dernière grande saison inventive, la décennie des années 20 est celle de Man Ray, Picabia, Aragon, Breton, Cocteau, Eluard, Fernand Leger, du dadaïsme et surtout de l'Art Déco, qui fait la grandeur des "années folles". Paris, Ile-de-France, FRANCE, octobre 1925. © DR / Archive de Michèle Thery

     

    PHOTOS - Les lecteurs dévoilent la femme des années folles...

    Le sport fait l'unanimité avec une pratique croissante de la boxe, du cyclisme, de la natation, des sports d'hiver... Savigny-sur-Orge, Essonne, FRANCE, mai 1927. © DR / Archive de Michel HEURTAUX

     

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    S'il n'est pas encore question des 35 heures et des RTT, la bourgeoisie veut profiter à nouveau de la vie et retrouver la Belle Epoque. Plage de Philippeville, ALGERIE, mai 1929. © DR / Archive de Helene BOUSQUET CASSAGNE

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    Aux champs, dans les usines, dans les hôpitaux, les femmes ont répondu massivement aux besoins de la guerre et ont remplacé ainsi leurs hommes. A la paix retrouvée, elles ont pris goût à l'indépendance... Bassin d'Arcachon, Gironde, FRANCE, juillet 1924. © DR / Archive de Yves MARCHAND

      

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    ...les hommes vont donc devoir composer avec des femmes libres. Meuse, FRANCE, mai 1920. © DR / Archive de Anne-Sophie NARAT

      

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    Pays Basque, FRANCE, juin 1920. © DR / Archive de Marie-Claude COULOT

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    Chelles, Oise, FRANCE, 1928. © DR / Archive de Marie-agnès CHEVALIER

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    Propriété Laigle, Angers, Maine-et-Loire, FRANCE, mai 1924. © DR / Archive de Guy JAMIN

     

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    Avec l'essor de l'automobile, le nouvel aéroport international de Berck, les nouvelles lignes de train, la plage du Crotoy, du Touquet et de Berck attirent une clientèle parisienne qui s'adonne aux plaisirs des bains de mer, des casinos et des grands hôtels. Le Crotoy, Baie de Somme, FRANCE, août 1926. © DR / Archive de Madany Bordji

     

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    L'influence de l'Amérique pendant l'après-guerre est grandissante : outre le cinéma et le jazz, de nouvelles danses apparaissent comme le Charleston, le One-step ou le Shimmex. Les premières revues de music-hall triomphent dans la capitale, révélant une idole : Joséphine Baker. Nouvelle danse américaine au nouveau cirque, FRANCE, 1925. © DR / Archive de Jean-Claude Audouin

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    A la mer, certaines femmes osent même le deux-pièces pour leur costume de bain ! Lorient, Morbihan, FRANCE, août 1920. © DR / Archive de Nathalie DELUSIER

     

     

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    Plus coquettes, les femmes se maquillent davantage, soulignant leur dessin des lèvres avec soin. Wallonie, BELGIQUE, janvier 1921. © DR / Archive de Michèle Thery

     

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    Valras plage, Hérault, FRANCE, août 1922. 

     © DR / Archive de André OUSTRIC

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    Campagne ardennaise, BELGIQUE, juin 1927. 

     © DR / Archive de Paulette Colson

     

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    La silhouette féminine change avec les années folles. Les femmes "grandissent", en portant des vêtements souples, avec des poitrines qui s'effacent. Trois-Rivières, Mauricie, Québec, CANADA, juillet 1926. 

     © DR / Archive de Jacques BÉLIVEAU

      

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    Les tenues plus masculines ont même changé les modèles des chapeaux, avec la mode des cheveux courts. Parc de Paris, Ile-de-France, juin 1920. © DR / Archive de Marie-Claude COULOT

      

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    L'enseignement secondaire pour les jeunes filles, établi début 1880, contribue à l'émancipation féminine de cette époque. Lycée d'Auch, Gers, 1927. © DR / Archive de Françoise DUPIN

      

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    Le genre "garçonne" s'illustre bien ci-dessus avec la masculinisation de la tenue vestimentaire : les sous-vêtements superflus sont supprimés, les jupes se raccourcicent aux genoux, les bas de coton noir sont laissés au profit des bas de soie roses. Rue Caraman, ALGERIE, avril 1927. 

     © DR / Archive de Helene BOUSQUET CASSAGNE

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    Saint-Jean-Port-Joli, Québec, CANADA, juin 1922. 

     © DR / Archive de Jacques BÉLIVEAU

      

    sources : http://www.linternaute.com/actualite/magazine/photo/les-annees-folles-en-photos/en-savoir-plus.shtml

      

      

     

      

     

     

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    les Mariées en 1920

     

     

     

    robes des mariées des années 1920 ...

     

    « C'est une révolution dans les habitudes solennelles du temps jadis.

    Décolleté, jupes courtes ... une inovation !... »



    « Il semble qu'un vent révolutionnaire soulève les traînes de satin et agite fiévreusement les voiles virginaux. Le blanc idéal, le blanc pur a lassé la ferveur des fiancées romantiques. L'argent, l'argent, roi du Jour, tyran des Temps nouveaux, l'argent triomphe sur les tuniques des jeunes mariés, associant son éclat pâli aux reflets opalescents des perles.

     

     

     

    Velours brochés aux tons d'ivoire ancien, manteaux de cour en mousseline de soie bordée de pampilles, panéclas fastueux recouverts de voiles de dentelle, draps d'argent, tulles aux grecques tissées de métal miroitant, c'est une somptuosité sans égal, un rêve brillant, quelque féérie lunaire et nostalgique.

    La fourrure est même admise, renard blanc ou pure hermine ...

     

     

    les Mariées en 1920

    La fleur d'oranger aux touchants pétales de cire vierge est allée rejoindre les vieilles lunes (de miel), les romances à Elvire et les sérénades nocturnes.

    La flore quintessenciée de nos serres surchauffées prête à ces manifestations sentimentales un charme renouvelé : aubépines blanches, lys royaux, rose pompon et pomponnées, arums sans tache assurent une présentation hiératique et noble.

    La couronne traditionnelle est tout à fait périmée. Tout au plus, les rosières de Saint-Vertu-les-Pots admettent-elles encore cette parure symbolique !

    C'est au long des ceintures, au bord des traînes, essaimées sur le manteau de cour, que les fleurs sèment leur fantaisie délicate.

    Le dernier chic, c'est le bouquet tenu à la main : deux immenses lys candides, trois arums penchés ou, d'aventure, des camélias, des tubéreuses, des gerbes de roses blanches ...

     

    Quand au voile traditionnel, il se fixe au front par deux bouquets de roses blanches, au-dessus des oreilles par un cordon de strass. Il se plisse à la flamande, en Cléopâtre, à l'almée, à la grecque, en mantille castillane, en bonnet hollandais, en voile de communiante, à la religieuse ; il forme un bandeau gemmé, un diadème royal.

    Puisqu'il est admis aujourd'hui que les jeunes filles reçoivent et portent des bijoux, comment résister au plaisir de fixer ces voiles de dentelle rarissimes par quatre ou cinq rangs de perles ? » (2)

     

     

     

     

     

    En ces années 1920, les jeunes filles en choisissant leur robe de mariée, songent à la manière dont elles pourront l'utiliser plus tard : robe de soirée ou robe d'été, supprimant des manches longues, ajoutant une ceinture de couleur ...

    Car elles ne souhaitent plus « de ces toilettes condamnées à ne plus jamais reparaître et qui ne survivent dans les mémoires qu'à la façon des songes » (3)

     

     

     

     

     

    La tenue de la mariée connaît donc certaines modifications, sans toutefois oublier les traditions, telles que le voile et la traîne.

    Le voile en particulier est encore bien présent, avant d'être plus tard remplacée par le chapeau. "Le voile n'est-il pas la suprême parure et la plus symbolique ? La plus belle robe n'est rien sous un voile mal attaché. Ce tissu fluide et sans poids peut parvenir à écraser une jolie tête de plis lourds et mal seyants ». (4)

    A l'ancienne mode classique, le voile retombe sur le visage. On le porte aussi rejeté en arrière découvrant les yeux, retenu aux tempes par de petits bouquets de fleurs d'oranger ou par une couronne légère posée à plat sur le voile.

      

    les Mariées en 1920

      

    Le plus souvent en tulle, vaporeux, le voile en dentelle est encore d'usage. « Dans certaines familles on a gardé, de génération en génération, comme dans les familles royales, des voiles brodés ou des voiles de dentelles à rendre envieuses les fées »(4)

     

     

    "Voyez cette mariée et dites-moi si elle ne semble pas fermement décidée à être heureuse.

    Comme elle est très jeune - vingt ans à peine, svelte et menue, on l'a parée d'une miroitante robe de taffetas blanc. Le corsage long, serre délicatement le buste juvénile et les mancherons découpés en corolles de perce-neige laissent échapper un flot de roses de soie.

    Sur la tulipe évasée de la jupe découpée dans le bas à grands festons, des rubans de moire, chargés de roses, retombent en blancs ruisseaux. Et les roses retiennent sur le front timide, les plis vaporeux du voile.

     

     

     

     

     

    Une autre robe de mariée qui convient particulièrement à une jeune fille grande et souple, est la robe de charmeuse blanche sur laquelle retombent des pétales de dentelle plus longs que le fourreau. Pour habiller la manche courte - ou du moins faire semblant - un pétale s'en échappe et donne une flottante allure de cape à l'étroit corsage".(4)

     

     

     

     

     

     

    "Je vous présente la robe de mariée toute droite, puisque la ligne droite fait fureur.

    L'élégance, la pureté altière, la distinction de cette mode ressortent encore davantage dans cette toilette si simple en broché blanc, ouverte de côté sur un fourreau de crêpe de Chine très lourd, et toute ourlée d'hermine. La longue traîne étroite bordée d'hermine et la manche longue et serrée donnent une allure médiévale à cette robe exquise dessinée pour une mince et grande jeune fille. Regardez aussi la jolie manière d'attacher le voile par deux fils de perles laissant le front très dégagé. Une autre coiffure très jolie aussi est le bandeau de tulle dont les plis traversant le front et ombrageant suavement le regard sont retenus de chaque côté par une légère touffe de clématites blanches".(5)

     

     

     

     

     

     

    "Le mariage sans cérémonie comportera pour la mariée un ravissant costume de kasha blanc à la longue jaquette entièrement piquée de grosse soie floche blanche avec cols et poignets de renard blanc. Cette jaquette s'arrêtera au-dessus de la bordure de renard blanc qui souligne la robe à manches longues toute droite et toute unie, à part quelques broderies blanches.

    Un petit bonnet de velours blanc avec bandeau en forme de kakochmik et une fine dentelle sur les yeux pour compléter à ravir ce pur et charmant costume".(3)

     

     

     

     

    Source : Revue de mode "La Femme de France"(1920-1925) :

      

     

     

     

     

     

    sources :

    http://cameline.over-blog.com/categorie-12041158.html

     photos google

     

     

     

     

     

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    Parcequ'un film est plus parlant qu'une image!

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  • Histoire des femmes au moyen-âge

     

     

                 

     

    Cheveux courts, silhouette élancée en robe tubulaire pour danser toute la nuit ou confortable ensemble de maille le jour: la mode des "années folles" (1919-1929), d'une étonnante modernité, témoigne de l'émancipation des femmes et de l'émergence d'un nouveau style de vie.
    Elle fait l'objet à partir du samedi 20 octobre d'une exposition au musée Galliera à Paris qui montre combien la période voit se libérer le corps des femmes et naître de nouveaux canons de la beauté.

    L'exposition (170 modèles et 200 accessoires) veut sortir de "l'image d'Epinal" de la mode des années 20 (robe droite, chapeau cloche, sautoir, coupe au carré) et mettre en avant sa "modernité".Histoire des femmes au moyen-âge
     
     

    Après la première guerre mondiale, comme pour rattraper le temps perdu, les années 20 s'amusent avec frénésie, au rythme du jazz et du charleston, applaudissent Josephine Baker et sa Revue Nègre, découvrent la vitesse et le monde grâce à l'automobile et l'avion, aiment les activités de plein air pratiquées par des femmes qui n'ont plus peur d'avoir le teint hâlé.
    Figure emblématique, la "garçonne" porte des tenues et des accessoires masculins (chapeau melon, cravate, monocle...) le jour, et des vêtements ultra-féminins la nuit. Une vitrine est consacrée à cette femme jeune, à la silhouette androgyne et aux moeurs libres qui préfigure la femme moderne.

    L'exposition met en lumière le contraste entre la garde-robe du soir et de la nuit, tout en lamés et broderies précieuses, et celle du jour, plus sobre et influencée par le vestiaire masculin.

    Dès son arrivée, le visiteur est plongé dans l'atmosphère des dancings de Pigalle, de Montmartre ou de Montparnasse. Les "robes à danser", droites et sans manches, en tulle ou crêpe de soie brodés de strass et de perles, comportent des panneaux qui permettent le mouvement, comme cette robe de 1923 signée Lenief, baptisée "Ouvert la nuit", du nom d'un roman de Paul Morand paru en 1922.Histoire des femmes au moyen-âge
     
     

    L'exposition présente d'autres robes signées Paul Poiret, Jacques Doucet, Jean Patou, Lucien Lelong...

    Les soirées mondaines ou de gala imposent une élégance plus luxueuse. On pourra notamment admirer le manteau "Sigurd" dessiné par Jeanne Lanvin en 1927, en taffetas de soie brodé de paillettes et de fils métalliques et des accessoires comme des chaussures-bijoux aux talons strassés, des diadèmes, éventails, sautoirs et pochettes.Histoire des femmes au moyen-âge
     
    L'élégante des "années folles" adopte une tenue habillée dès la fin de l'après-midi. A partir de 1924, elle peut porter une petite robe noire créée par Coco Chanel.

    Le jour, "les ensembles en maille (sweater et jupe) deviennent la base de la garde-robe alors que jusque dans les années 10, la maille était plutôt réservée au sport". "On les porte jusque vers 4-5H du soir". Le rôle majeur de Coco Chanel qui pendant la guerre de 14 commence à exploiter le jersey est également à souligner.
    Confort et sobriété sont les maîtres mots de ce vestiaire conçu pour des femmes actives qui pourront voyager lovées dans un manteau baptisé "100 à l'heure" et porter des chandails similaires à ceux des hommes.

    L'exposition montre la variété des sources d'inspiration des couturiers. La découverte du tombeau de Toutankhamon en 1922 donne par exemple naissance à des motifs de lotus ou de hiéroglyphes tandis que Paul Poiret taille une veste dans une nappe russe rappportée de voyage.

     

    Histoire des femmes au moyen-âge

      

    Quatre robes longues Jean Patou, haute couture, circa 1935-1938 de Garde robe personnelle de Mademoiselle Jack, mannequin

     

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    Jean Patou, haute couture, circa 1935-1938.

    Photo Cornette de Saint Cyr

    Robe longue en dentelle noire ornée de ruban de velours de forme croissant cousus pour donner un effet de festoné en biais, ras du cou, petites manches, jupe ample à ourlet doublé de crin. Sans Griffe - Estimation : 1 500 / 1 700 €

    Provenance: Garde robe personnelle de Mademoiselle JACK, mannequin de la maison Patou dans les années 1930

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    Jean Patou, haute couture, n°5 540, circa 1935-1938.

    Photo Monsieur Cornette de Saint Cyr

    Robe longue en crêpe écru, encolure américaine sur profonde échancrure aux emmanches, buste à trois soufflets creux brodés de noeuds en strass, jupe à trois soufflets plissés soleil, dos reprenant l'échancrure et le plissé soleil, souligné d'une ceinture à nouer (taches). Griffe blanche, graphisme rose. Nous y joignons une jupe en satin écru sans griffe.-

    Provenance: Garde robe personnelle de Mademoiselle JACK, mannequin de la maison Patou dans les années 1930

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    Jean Patou , haute couture, circa 1935-1938.

    Photo Monsieur Cornette de Saint Cyr

    Robe longue en crêpe de soie, buste bleu à encolure bateau sur épaules légèrement drapées et dos nu, taille soulignée de crêpe rose à motif découpés finissant par deux petits panneaux, jupe fluide bleu électrique finissant également par du crêpe violet à motifs découpés, se porte sous un caraco violet et bleu ciel à manches longues, épaules bouffantes, (taches). Sans griffe -

    Provenance: Garde robe personnelle de Mademoiselle JACK, mannequin de la maison Patou dans les années 1930

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    Jean Patou , haute couture, circa 1935-1938.

    Photo Monsieur Cornette de Saint Cyr

    Robe longue en crêpe noir, jaune, ce dernier à effet d'entourer le corps finissant sur les hanches par deux noeuds retenant les pans; décolleté carré sur larges bretelles et dos nu, jupe fluide. (modèle de défilé finitions non terminées). Sans griffe -

    Provenance: Garde robe personnelle de Mademoiselle JACK, mannequin de la maison Patou dans les années 1930

      

     

     

     

     

    source :

    http://www.paperblog.fr/253584/les-annees-folles-1919-1929-ou-la-modernite-des-annees-20/

      

     

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