•  

     

     

    Nicolas Alexandrovitch Romanov

     

    Nicolas Romanov était le fils de l'empereur Alexandre(1845-1894) et de la grande-duchesse Maria Dagmar de Danemark(1847-1928) né le 6 mai 1868 à Tsarkoie Selo(sud de Saint-Petersbourg).Son règne dura de 1895 à 1917.
    On le décrivit souvent comme un homme simple et poli,mais ses proches regrettaient sa timidité et son incapacité à prendre des décisions.
    Le 26 novembre 1894, il épousa la princesse Alix de Hesse Darmstadt, avec laquelle il eut cinq enfants: les grandes-duchesses Olga, Tatiana, Maria et Anastasia et le Tsarevitch Alexei.
    Il fut massacré dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 avec sa famille et ses derniers serviteurs.      source : http://lesromanov.blogspot.com/2008/01/nicolas-alexandrovitch-romanov.html
     
     
     
     
    Voici quelques photos
    de famille des
    Romanov :









    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Alexandra Feodorovna Romanov

     

    Alexandra Feodorovna (de son vrai nom Alix de Hesse Darmstadt) voit le jour le 6 juin 1972.Contrairement à son mari,Alexandra n'a pas eu une enfance joyeuse: la sienne est remplie de drames et de mort.Cela commença avec la mort de sa mère, la princesse Alice du Royaume-Uni, en 1878, qui la changea à jamais: en effet, la petite fille surnommée"Sunny"par son entourage du fait de sa gaieté et de son éternel sourire devint un petit être fragile et triste.
    En 1884,elle rencontra pour la première fois Nicolas Romanov à l'occasion du mariage de sa soeur Elisabeth avec un oncle du tsarevitch(Nicolas).Quelques années plus tard, en 1894, ils se fiancent puis se marient.Mais, dès le début de son mariage, le comportement d'Alexandra montra des signes nets de dépression, puis il révéla un personnalité névrosée.La naissance de son fils les aggrava: le tsarevitch Alexei était atteint d'hémophilie.Elle va rencontrer plus tard Raspoutine, un moine qu'elle croyait capable de soulager ses crises et même de les arrêter.
    Elle fut assassinée en 1918 avec ses proches.   Source : http://lesromanov.blogspot.com/2008/01/alexandra-feodorovna-romanov.html
    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Olga Nicolaievna Romanov

     


    Olga Nicolaievna était la première fille de Nicolas et Alexandra, née le 15 novembre 1895 à Tsarkoie Selo.Elle était élégante, grande, mince, avait des yeux bleus et une masse de cheveux châtain blond dont elle était très fière.De toutes ses soeurs, Tatiana était celle dont elle était la plus proche et"La Grande Paire"comme on les appelaient partageaient aussi une chambre.Olga aimait lire et écrire des poésies.Elle était réputée au Palais pour son grand coeur, sa générosité, son intelligence, son sérieux, son calme et sa sensibilité, mais aussi de sa désobéissance, son tempérament enflammé, stressé et nerveux et aussi de ses moments d'orgueil.Olga était aussi très philosophique.Lors de la Première Guerre Mondiale, elle devint infirmière au Palais d'Hiver.Olga Romanov fut tuée par balles en 1918.
    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Maria Nicolaievna Romanov

     





















    Maria Romanov est née le 26 juin 1899.
    Si elle était très jolie avec ses cheveux brun clair aux reflets dorés et ses immenses yeux bleu foncé, sa mère disait qu'elle avait une"masse graisseuse considérable".Grande pour son âge, pleine de vie et de couleurs, Maria était aussi romantique, rêveuse et elle adorait les bébés.
    Très proche d'Anastasia, sa soeur cadette, elles se font appelées "La Petite Paire".Mais, plus communément, elle est surnommée"Ange"par ses trois soeurs car elle ne faisait presque jamais de bêtises et était considérée comme un exemple pour Olga et Tatiana qui sont pourtant ses soeurs aînées.
    Elle a été assassinée par les Bolchéviks le 17 juillet 1918.Source   /http://lesromanov.blogspot.com/2008/01/maria-nicolaievna-romanov.html  
    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Anastasia Nicolaievna Romanov

     




























    Anastasia Romanov est née le 18 juin 1901.
    Elle avait de beaux cheveux brun rougeâtre doré et de magnifiques yeux bleu foncé.Enfant, elle n'était pas aussi belle que ses soeurs mais en grandissant elle est devenue une jeune fille d'une grande beauté, avec un nez et des lèvres fines, un visage ovale et légèrement mélancolique.
    Espiègle, taquine, bruyante, active, fougueuse, souriante, heureuse de vivre, Anastasia est le rayon de soleil de la famille, mais aussi l'enfant terrible.
    Elle aimait jouer de la guitare et de la balalaïka en compagnie d'Olga ou de Tatiana qui jouaient du piano.Elle détestait sa petite taille et que le fait d'être grande-duchesse l'empêche d'aller à l'école et l'oblige à avoir des manières princières.
    Ses passe-temps favoris étaient de faire des blagues à tous les gens qu'elle croisait et de monter aux arbres.
    Elle adorait Alexei et aurait tout donner pour qu'il ne soit pas atteint d'hémophilie.
    Elle était très intelligente mais prenait dans l'horreur le fait d'aller étudier.La matière qu'elle redoutait était la grammaire.
    Quand la guerre commença, Maria et Anastasia étaient trop jeunes pour être infirmières.A la place, elles allèrent réconforter les blessés.Anastasia était particulièrement appréciée pour son énergie, son entrain et ses plaisanteries.
    Anastasia est officiellement morte en 1918. Source : http://lesromanov.blogspot.com/2008/01/anastasia-nicolaievna-romanov.html
    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    http://www.concours-lepine.fr/fr/pag14-Les-Grandes-Inventions-de-1901-a-nos-jours.html

     

    Notre Préfet de Police est né à Lyon le 6 août 1846. Après des études complètes dans sa ville natale, puis à Paris, le jeune étudiant fut envoyé deux ans en Allemagne où il suivit les cours des

    Universités d'Heidelberg et de Berlin. Il terminait à Paris ses études de droit,lorsque la guerre de 1870 éclata.

     

    Aussitôt, le voici incorporé dans la garde nationale mobile du Rhône, où il devient bientôt sergent-major.

     

    Mais, enfermé dans Belfort assiégé, il rend ses galons pour être admis dans une

    compagnie à l'assaut du village fortifié de Bavilliers et il y entre le second

    sous une grêle de balles

     

    Pendant que ses camarades fouillent les maisons pour en déloger les dernier défenseurs, le sergent Lépine s'avise d'un retour offensif de l'ennemi, favorisé par un épais brouillard qui pourrait

    mettre sa petite troupe dans le plus grand péril et il s'avance jusqu'au bout du

    village, au point stratégique où il redoute une attaque inopinée.

     

    Juste à ce moment il tombe dans une embuscade, essuie sans reculer d'un pas, trois salves de mousqueterie et il est grièvement blessé. Il a du moins la satisfaction de voir deux cents Prussiens

    qui l'avaient assailli, battre en retraite au moment où le bruit de la fusillade

    lui amenait du renfort. La médaille militaire lui fut donnée pour ce fait d'armes.

     

    Tel le sergent Lépine se montre ici audacieux jusqu'à la témérité d'une belle crânerie et d'un sang-froid extraordinaire en face du danger, tel nous le retrouverons au premier rang, dans les circonstances

    les plus difficiles de sa carrière. A la paix, M. Lépine rentre à Lyon et y exerce la profession d'avocat jusqu'en 1877.

    Puis il rentre dans l'administration et en gravit rapidement les premiers échelons. Il passe successivement par les sous-préfectures de La Palisse, Montbrison, Langres et

    Fontainebleau. En 1885, il est Préfet de l'Indre. Le 26 novembre 1886, il est nommé au secrétariat général de la Préfecture de la Loire, où il se signale encore par un acte de courage. Le 16 décembre 1892, un coup de grisou au puits de la manufacture coûtait la vie à 73 mineurs et jetait la consternation dans Saint-Etienne. M. Lépine prend place dans la première benne descendue au secours des victimes et parcourt les galeries incendiées empestées encore d'un air méphitique. C'est à cette occasion qu'il reçut la médaille d'or de sauvetage qu'il porte volontiers plus souvent que d'autre décorations.

    En 1893, M. Lépine est Préfet de la Seine-et-Oise, mais il ne reste à Versailles que quelques jours. Il est nommé Préfet de Police en remplacement de M. Lozé, démissionnaire, le 11 juillet 1893. Et depuis, il est à son poste. En 1897, il fut nommé gouverneur général de l'Algérie. Mais son absence fut de courte durée.

    Il fut réintégré dans ses fonctions, à la demande du ministère qui venait de se constituer.

    En 1900, devant le marasme des petits fabricants de jouets et d'articles de Paris, dû à la concurrence étrangère, le Préfet Lépine prend l'initiative de créer en 1901 un concours-exposition et c'est à partir de là, que notre Association a pris naissance. Le Préfet Lépine, notre Président d'Honneur nous a assuré toute sa vie durant de son appui auprès des pouvoirs publics et nous a facilité les démarches administratives.

    Depuis 1901, le Concours Lépine constitue un événement majeur. Au nom de notre Association, nous lui adressons un vibrant hommage.

     

    110 ans Concours Lépine : retour sur 10 inventions phares :

    - Lancé en 1901 par le préfet de police Louis Lépine, le Concours Lépine célèbrera ses 110 ans du 28 avril au 8 mai prochains, dans le cadre de la Foire de Paris (Porte de Versailles). Du moulin à café à l'équerre universelle en passant par le grille-pain ou le guide-clou, nombreuses sont les inventions qui ont été présentées à ce concours et qui, aujourd'hui, font partie du quotidien. Retour sur 10 inventions phares du Concours Lépine.

     

     

    1910 - Le moulin à café par la société Peugeot

    1921 - Le fer à repasser à vapeur par Constantin Caroni

    1922 - La machine à sténotyper par l'Ecole Pigier

    1931 - Le presse-purée par Jean Mantelet

    1933 - Le grille-pain chrome par la société Calor

    1937 - Le coeur artificiel par le Docteur Henry

    1957 - Le bac Riviera (système de réserve d'eau pour les plantes) par M.Ferrand

    1975 - Le guide-clou par Vincent Hatayan

    1983 - L'aspivenin par André Emerit

    1995 - L'équerre universelle par Jean-Pierre Megdad

     

     

     

     

     

    Louis Lépine

     

    1935

     

    1933

     

     

     

     

     

    Louis Lépine
    Delicious Yahoo!

    votre commentaire
  • Les DROITS des FEMMES....dès la révolution ?... pas si sûr...

     

    Les DROITS des FEMMES....dès la révolution ?... pas si sur...!!!!!

     

     

    La France étant le pays des  "droits de l'homme"  les Français se sentent le devoir de ré-écrire l'histoire. L'égalité des sexes ? C'est eux.

    Est-ce bien sûr ?

    L'évolution laborieuse des droits des femmes en France.

     

    1795 :

    Un décret interdit aux femmes toute réunion politique et les rassemblements à plus de cinq dans la rue.

     

    1804 :

    Le code Napoléon consacre l'incapacité juridique de la femme mariée :

    Art. 213 - Le mari doit protection à sa femme, la femme doit obéissance à son mari.

    Art. 214 - La femme est obligée d'habiter avec le mari, et de le suivre partout où il juge à propos de résider...

    Art. 215 - La femme ne peut ester en jugement sans l'autorisation de son mari...

    Art. 217 - La femme...ne peut donner, aliéner, hypothéquer, acquérir, à titre gratuit ou onéreux, sans le concours du mari dans l'acte, ou son consentement par écrit.

    Art. 229 - Le mari pourra demander le divorce pour cause d'adultère de sa femme.

    Art. 230 - La femme pourra demander le divorce pour cause d'adultère de son mari, lorsqu'il aura tenu sa concubine dans la maison commune.

     

     

    1810 :

    L'adultère est considéré comme un délit puni de prison pour les femmes et .......

    .....d'une simple amende pour un homme.

    Le " devoir conjugal " est une obligation !

    Le viol conjugal n'est pas du tout reconnu. Le Mari a un droit exclusif sur son épouse.

     

     

     

    1848 :

    La deuxième République n' accorde pas aux femmes de droits politiques et leur interdit même d'assister aux réunions.

     

    1909 :

    Loi instituant un congé de maternité de huit semaines, sans traitement mais sans rupture du contrat de

    travail.

     

    Le port du pantalon n'est plus un délit si la femme tient a la main un guidon de bicyclette ou les rênes d'un cheval ( en montant en amazone).

     

     

    1920 :

    Les femmes sont enfin autorisées à adhérer a un syndicat sans l'autorisation de leur mari.

     

     

    1922 :

    Le Sénat refuse d'examiner la proposition de loi sur le vote des femmes par 156 voix contre 134.

     

     

    1924 :

    Les programmes scolaires deviennent enfin les mêmes pour les garçons et les filles, ce qui conduit à l'équivalence des baccalauréats masculin et féminin.

     

     

    1938 :

    La réforme du code civil de 1804 abolit enfin l'incapacité civile de la femme mariée. Mais le mari peut encore fixer la résidence du couple et s'opposer à une activit professionnelle de sa femme. Il exerce seul l'autorité paternelle.

     

     

    1944 :

    Une ordonnance reconnaît le droit de vote et l'éligibilité des femmes.

     

     

    1945 :

    Elections municipales : premier vote des Françaises (Général de Gaulle)

     

    1946 :

    Le principe d'égalité entre hommes et femmes est inscrit dans la Constitution de la IVe République.

    La femme n'a toujours pas le droit de travailler sans l'autorisation de son époux, ni d'avoir un compte bancaire à son nom.

     

     

    1965 :

    Le mari ne peut plus s'opposer à l'exercice d'une profession par sa femme. !!!

    La femme peut gerer son propre compte bancaire, sans l'aurorisation de son mari !!!

     

     

    1966 :

    Il est désormais interdit de licencier une femme lorsqu'elle est enceinte, de même que dans les douze semaines qui suivent l'accouchement. (reste à voir).

     

     

    1970 :

    L'autorité "paternelle " devient " parentale ".

     

    1974 :

    Droit à la contraception et à l'avortement ( Madame Simone Veil et les femmes)

     

     

    1983 :

    Une loi sur l'égalité professionnelle entre hommes et femmes est votée. ( inégalité de salaires hommes/femmes toujours en vigueur).

     

     

    1985 :

    Promulgation d'une loi qui assure l'égalité entre époux dans les régimes matrimoniaux.

     

     

     Les DROITS des FEMMES....dès la révolution ?... pas si sûr...

     

     

     
    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • les ROMANOV 

     

     

     

     

     

    Henri IV - le règne interrompu.....

     

    Le Louvre et les Tuileries :

     

    Résidence parisienne des rois de France, le palais du Louvre est le premier bâtiment dans lequel Henri IV engage des travaux, en faisant achever l’aile méridionale (dite Lescot) de la Cour Carrée. Bien décidé à faire de cette construction hétéroclite et inachevée un palais moderne, Henri IV conçoit un vaste plan de rénovation, le « grand dessein » du Louvre.

     

    Conservé grâce à deux grands plans sur parchemin datant des années 1595-1600, ce projet prévoyait d’abattre les derniers vestiges médiévaux (tours et corps de logis), de quadrupler la cour Lescot, de raser les quartiers d’habitations environnants.

     

    Surtout, Henri IV voulait réunir le Louvre au palais des Tuileries grâce à une grande galerie dont la construction avait été entamée sous Charles IX. La mort du roi alliée aux difficultés d’expropriation du quartier bâti firent que tout ne put être réalisé de son vivant. Les transformations furent pourtant conséquentes et le Louvre actuel en témoigne.

     

    Henri confia à deux architectes la réalisation des ces projets : Jacques II Androuet du Cerceau était déjà architecte du Louvre lorsqu’il se vit adjoindre, en 1594, Louis Métezeau. Tous deux s’emploient à la construction de la Grande Galerie - dite « Galerie du bord de l’eau », car elle longe la Seine – rejoignant le Louvre aux Tuileries sur près de 450 mètres !

     

    Pour éviter toute monotonie, chaque architecte s’en vit confier une partie. À l’Est, Louis Métezeau orna les travées de sculptures, de colonnes, de pilastres cannelés, de frontons et de frises alors qu’à l’Ouest, Androuet du Cerceau fit preuve de plus sobriété avec de grands pilastres surmontés de chapiteaux et des frontons alternativement droits et cintrés.

     

    La décoration intérieure du palais des Tuileries, relié au Louvre par la Grande Galerie, n’est pas négligée dans les réalisations du grand dessein. Des artistes comme Toussaint Dubreuil (1561-1602), Jacob Bunel (1558-1614) et Frans Pourbus (v. 1569-1622) s’attèlent à la décoration de la Grande salle des Tuileries et de la Petite Galerie et ornent chaque croisée des portraits des rois et reines de France, dont seul celui de Marie de Médicis a survécu à l’incendie de 1661.

    L’étage supérieur de la Grande Galerie permettait à Henri de quitter ses appartements du Louvre pour se retrouver dans le parc des Tuileries sans sortir sur la voie publique. On y vit même le dauphin Louis courir le renard et chasser la caille, tant la construction était immense ! L’étage inférieur abrita des ateliers d’artistes et d’artisans du roi qui disposaient de certains privilèges. Henri entendait selon ses propres mots en faire « une pépinière d’ouvriers de laquelle, sous l’apprentissage des ces bons maîtres, il en sortira plusieurs qui après se répandront par tout [le] royaume ».

     

    acte notrié du Louvre.

     

    Plan système hydraulique pour apporter l'eau dans la batisse. (roue à eau)

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les fleurs ne sentent plus aussi bon qu’autrefois

    source : http://bleurose.skynetblogs.be/archive/2009/11/17/les-fleurs-ne-sentent-plus-aussi-bon-qu-autrefois.html

    (probablement par leur sélection excessive)

    Les roses sentaient aussi bon qu'elles étaient belles. Les lilas embaumaient les rues entières, l'odeur des œillets était parfois trop forte.

    roses$20anciennes

    au-lilas-fleur-jacinthe

      

    « L'odeur n'est pas une propriété comme les autres. Tout d'abord, elle est invisible. Ensuite, les impressions olfactives sont aussi subjectives que les impressions gustatives. Par ailleurs, différentes recherches ont montré que le parfum est un trait génétique complexe et difficile à manipuler avec les méthodes d'hybridation habituelles. Les plantes parfument et parfois empuantissent l'air au moyen d'une vaste panoplie de substances biochimiques diffusées par les pétales, les feuilles et d'autres tissus. Environ un millier de ces substances ont été identifiées à ce jour. "Il peut y avoir jusqu'à cinquante, voire cent substances chimiques impliquées dans une odeur", précise Eran Pichersky. En règle générale, le nez de l'homme ne reconnaît qu'un petit nombre de ces composés volatils. Si une personne respire par exemple une bouffée de 2-phényléthanol, des images de roses lui viendront à l'esprit, même si en fait un grand nombre de substances entrent dans la composition du parfum d'une rose. Tout comme les harmoniques permettent à l'oreille de distinguer un do joué au milieu du clavier d'un piano d'un do joué au violon, les différents composants chimiques constituent les subtilités olfactives qui caractérisent le parfum d'une rose donnée. » Ivan Amato, Science News

     

    Mais pour s'offrir un petit bonheur olfactif, rendez-vous au jardin en été vers midi : parce que les pétales et/ou le pistil renferment des huiles essentielles volatiles. Une rose sera plus parfumée à midi qu'à 5h du matin: Le soleil et la chaleur font évaporer cette essence naturelle.

     

    Qu'en est il du souvenir d'un parfum oublié que portaient nos mères ou nos grand'mères...

    Peut être le reconnaitrions nous, ou pas !

    Mais il reste le souvenir d'un moment ou petite fille ou petit garçon nous bravions l'interdit pour caresser une houppette imagesCA1W3EXN
    et toucher la poudre qui sentait si bon,

    Ou déboucher un précieux flacon dont l'image et le nom, moins insaisissables que les odeurs sont restés dans notre mémoire......

     


     

    Site%20Weil%20OK_31505_image005

     

      

    imagesimagesgrèsimagesCAIIQQWWimagesoir de parisù

     

    Ces noms pleins de rêves:

    Weill Antilope

    Caron - Fleurs de rocaille

     Worth - Je reviens

     Grès- Cabochard  

    Dana - Canoë 

     

    Bourgeois dans son flacon bleu - Soir de Paris

     

     

     

    Son préféré, dans sa boîte vert et blanc : Ma Griffe de Carven

      

     

    !BY1T)3QB2k~$(KGrHgoH-DcEkJw2KwwWBKjrKqBsHQ~~_35

     

     

    Celui qu'elle m'a légué, retrouvé dans une ancienne coiffeuse : Sortilège de Le Galion

     

     

    n1623914297_6944

     

    Sa composition est à elle seule un poème :

    « Aldehyde Complex, Bergamot oil, Orange Blossom, Peach, Strawberry

    Jasmin, Lilac, Lily of the Valley, Orris, Rose, Ylang-Ylang

    Civet, Musk, Opoponax, Sandal, Tonka, Vanilla, Vetiver, »

    Oubliés comme ces roses, qui sentaient le bonheur de l'enfance.....

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • les ROMANOV

    les ROMANOV

     

    les ROMANOV

    L'HISTOIRE du PARFUM .....

      

    http://passionparfums.over-blog.com/photo-1567206-duo-soir-de-paris_jpg.html

     

    la fin du XIXème siècle, le parfum composé de simple fleurs ; la rose, la violette, le lilas et le lys étaient très demandés.

     

    Des bouquets de parfums floraux ont été présentés vers la fin de la première décénie comme des compositions. Des parfums postérieurs et abstraits qui n'avaient aucune relation florale ont été présentés. Cet avancement a révolutionné l'industrie. Aujourd'hui, les parfums deviennent plus complexes, avant la découverte des produits chimiques d'arôme.

     

    En raison de son jasmin, de ses roses et commerces allant grandissant, Grace en Provence s'est établie comme le plus grand centre de production pour les matières premières. Les statuts des fabricants de parfums de Grace ont été passés en 1724.

    Paris est devenu la plaque tournante commerciale de Grace et le centre du monde du parfum. Les maisons de la parfumerie, telles que Houbigant (qui produit quelques fleurs, et qui est toujours aujourd'hui très populaire), Lubin, Roger et Gallet, et Guerlain, se sont implantées à Paris.

     

    Très tôt, la mise en bouteille est devenue plus importante. Le fabricant François Coty a formé une association avec René Lalique. Des bouteilles de Lalique pour Guerlain, d'Orsay, Lubin, Molinard Roger & Gallet ont alors été produites.

    Le baccara a été introduit dans la conception des flacons et a servi dans l'élaboration de Mitsouko (Guerlain), Shalimar (Guerlain) et bien d'autres encore. Les souffleurs de verre de Brosse ont créé la fameuse bouteille Arpège de Jeanne Lanvin, et le célèbre Chanel N°5.

     

    1921 - Le couturier Grabrielle Chanel lance sa propre marque de parfums, créée par Ernest Beaux ; elle l'appelle Chanel N°5 parce que c'était le cinquième des beaux de parfum présentés d'Ernest. Les beaux d'Ernest étaient les premiers à employer des aldéhydes en parfumerie. En fait, Chanel N°5 était le premier parfum complètement synthétique du marché grand-public.

     

    Les années 30 ont vu l'arrivée de la famille cuir des parfums, et les familles florales sont également devenues tout a fait populaires avec l'apparition des Fleurs de Rocaille (1933), de Je Reviens (1932), de Caron's et Joy de Jean Patou (1935).   La parfumerie française a atteint son apogée dans les années 50, avec des créateurs tels que Dior, Jacques Fath, Nina Ricci, Pierre Balmain qui ont commencé à créer leurs propres parfums.

     

    Les parfums d'aujourd'hui sont distribués par des parfumeurs qualifiés, dans les traditions esthétiques de la Renaissance. Ces artisans qui ont passé des années à apprendre entretiennent des notes ambres et des ententes florales blanches.   Pour l'année 2000, les parfumeurs parlent par habitude des agonistes de musc-récepteur, et des affinités obligatoires moléculaires des protéines de floral-récepteur. 

    L'histoire de Cologne :

    Il peut sembler étonnant que le mot Cologne (nom français) ait été donné à la ville allemande, puisque les origines de l'eau de Cologne trouvent leurs racines en Italie. Tout a commencé par Gian Paolo Feminism un coiffeur de Val Vigezzom qui quitta sa patrie Italienne pour trouver fortune en Allemagne. Il créa alors une eau de parfum qu'il appela Aqua Admirabilis.

    Cette eau a été élaborée à partir de spiritueux de raisin, d'huile de neroli, de bergamotte, de lavande et de romarin. Quand il fut libéré en 1709, les clients se précipitèrent avec une telle ardeur sur ses étagères de Cologne que Gian Paolo recruta son neveu, Giovanni Maria Farina, pour qu'il lui vienne en aide.

    En 1732, le neveu Giovanni assura les affaires et lança un produit consommable pour une variété de maux et douleurs, allant des maux d'estomac aux saignements.

    La connaissance de cette "admirable eau" s'est répandue durant la guerre des 7 ans, une guerre s'étant déroulée au milieu du XVIIème siècle, où la Prusse, la grande Bretagne combattaient contre une alliance composée de la France, l'Autriche et la Russie.

     La Prusse et la Grande Bretagne gagnèrent la bataille, mais Farina gagna quelques nouveaux clients français, autrichiens et russes. Ces soldats ramenèrent dans leur pays des bouteilles et voila : un marché instantané global était né.

    Les français furent ceux qui l'appelèrent "eau de Cologne", et cela était devenu une préférence d'une des maîtresses de Louis XV (il en avait beaucoup !), la Comtesse du Barry.

    Le XVIIIème siècle a vu une avancée révolutionnaire en parfumerie, avec l'invention de l'eau de Cologne. Ce mélange régénérateur à base de romarin, de neroli, de bergamote et de citron a été employé de différentes manières, dilué dans l'eau de bain, mélangé avec du vin, mangé sur un morceau de sucre, comme collutoire etc...

    La variété de récipients de parfums du XVIII ème siècle était aussi grande que celle des parfums et de leurs utilisations. Des éponges imbibées dans du vinaigre de toilette parfumé ont été placées dans des vinaigrettes dorées en métal.

    Les parfums liquides ont été placés dans des bouteilles en forme de poire, dans un très beau modèle Louis XIV. Le verre est devenu de plus en plus populaire, en particulier en France, avec l'ouverture de l'usine de baccara en 1765.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

    Delicious Yahoo! Pin It

    votre commentaire