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    BAIGNEUSES 1920 ( PHOTOGRAPHIES)

    BAIGNEUSES 1920 ( PHOTOGRAPHIES)

     

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    RECLAMES...1920

     

     

    MODE et RECLAMES...1920

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    MODE et RECLAMES...1920

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    RECLAMES...1920

     

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    PISCINE de ROUBAIX

    La Piscine, Musée d'Art et d'Industrie de Roubaix,

      

      

    Le Musée est implanté depuis l'automne 2001 sur le site de l'ancienne piscine municipale qui est un exceptionnel bâtiment art-déco. Cette piscine fut construite entre 1927 et 1932 par l'architecte Albert Baert à l'initiative du maire de l'époque, Jean Lebas.

    Aujourd'hui inscrite au patrimoine du XX siècle, cette piscine offrait à la population de Roubaix un service sportif et hygiénique de grande qualité.

    Fermée depuis 1985, pour des raisons de sécurité. La Piscine, reconvertie par l'architecte Jean-Paul Philippon, abrite maintenant, sur son site exceptionnel, le Musée d'Art et d'industrie de Roubaix.

     

     

     PISCINE de ROUBAIX 

    LA PLUS BELLE PISCINE DE FRANCE : ROUBAIX

     

     

     

     

    Un musée qui est à lui-même son chef-d'œuvre.Musée d'Art & d'Industrie de Roubaix

    Les visiteurs sont catégoriques : c'est un lieu « magique » que cette splendide piscine Art déco construite dans les années 1930 quand Roubaix était encore la capitale glorieuse du peignage et du délainage. Restaurée de fond en comble et rendue à sa splendeur passée, la Piscine abrite désormais une collection exceptionnelle d'arts appliqués à l'industrie.
    La Piscine, fait une pirouette très arts-éco pour intégrer la culture dans la société
    Cette ancienne piscine est restée une piscine. Elle est la pièce maîtresse de la mise en valeur du centre historique de Roubaix.

     

    La Piscine, Musée d'Art et d'Industrie de Roubaix

     

     

    A elle seule l'histoire de La piscine est exemplaire. Roubaix est une ville industrielle, qui doit sa puissance à quelques grandes familles d'entrepreneurs industriels, mais aussi à une tradition ouvrière et syndicale toujours active. Ce double aspect de fierté industrielle teintée de paternalisme et de culture populaire tenace donne sa personnalité à la ville et à son nouveau musée.

    Musée d'Art & d'Industrie de Roubaix

    En 1922, la municipalité charge l'architecte Albert Baert (qui a déjà fait ses preuves avec les Bains Dunkerquois) de construire la plus belle piscine de France. L'ambitieux projet aboutit en 1932, traversant toutes les difficultés financières. C'est le triomphe de l'architecture hygiéniste ("un esprit sain dans un corps sain") et de l'effervescence décorative des années trente. Un palais pour le peuple d'un style composite unissant pour le meilleur des apports byzantins et mauresques à la splendeur décadente de vitraux, d'émaux baindaires et de mosaïques. Une réussite fabuleuse qui fait de ce bâtiment - à la fois piscine sportive et établissement public de bains-douches - un actif centre de vie et un lieu de rencontre ludique. Outre le magnifique bassin en céramique de la piscine, le bâtiment comprenait également un jardin, des baignoires réparties en petites cellules sur deux étages, mais aussi un salon de coiffure, de manucure et de pédicure, des bains de vapeur et une laverie industrielle

     

     

     

     

     

     

     

    Hélas, les équipements sportifs résistent mal aux outrages du temps, aux exigences techniques et à la surenchère des normes de sécurité. La piscine est fermée en 1985. Mais il n'est pas question de démolir cet ensemble cher au cœur des Roubaisiens. En 1990, le Conseil municipal et la Direction des musées de France se mettent d'accord sur le projet un musée dans le bain. Un concours international est lancé. Le jury choisit la proposition de Jean-Paul Philippon. Respectueux de "I'âme du site", il y déploie avec tact les collections d'art et d'histoire, qui rendent justice à toutes les composantes de l'histoire mouvementée de la Région. Les travaux s'échelonnent de janvier 1998 à la fin de l'automne 2001. Aujourd'hui, le visiteur ne peut que se féliciter du choix du jury et de la clairvoyance du concept "un musée dans le bain".

     

    " La Piscine " à Roubaix

     

     


    La salle maîtresse du musée est évidemment celle de la piscine. L'eau est toujours là. Elle est déversée par la gueule du "lion",une figure de Neptune et elle remplit le bassin olympique de 50 m. Des planchers en gradins nouvellement installés forment un promenoir au bord de l'eau.
    La collection Beaux-Arts est exclusivement consacrée aux XIXe et XXe siècles. Elle est organisée de façon chronologique et thématique. On y retrouve de la peinture, de l'échantillon textile, de la céramique, du mobilier, de la photo et de la sculpture.

     

     

    Musée d'Art & d'Industrie de RoubaixLe visiteur déambule parmi les statues, aguiché par les sirènes, baigneuses, danseuses et belles méditantes de pierre et de bronze. Des hommes veillent sur elles : bûcheron, semeur ou athlète. Toutes ces oeuvres, de taille humaine, témoignent de l'école française de sculpture du milieu du vingtième siècle, école qui n'a été esclave d'aucun mouvement d'avant-garde, mais qui a sereinement assuré la continuité de la tradition figurative du dix-neuvième siècle. A part le grand Robert Wlérick, il n'y a pas de nom à citer. Cet ensemble de qualité, dont ne s'élève pas d'œuvre vedette, crée la beauté et l'unité de cette piscine-galerie au décor fastueux.

    Surprise durant la visite :l'ambiance sonore rétro, les cris des baigneurs d'antan retentissent régulièrement, et il suffit de fermer les yeux pour imaginer les lieux au plus fort de leur fréquentation passée...

     

     

    Cette Galerie de sculptures décoratives est entourée par un grand nombre de petites pièces claires, quiMusée d'Art & d'Industrie de Roubaix : Remy Cogghe " Le combat de Coqs en Flandre 1889 s'emboîtent les unes dans les autres en une trame serrée : anciens vestiaires, salles de bain, cabines de douche. Les collections du musée y sont présentées par variations chronologiques, dans un parti pris thématique quelque peu sec. Évidemment, il n'y a pas d'œuvres majeures, à quelques exceptions près. Dernier venu, le musée de Roubaix n'a pu récolter que les miettes des trésors rassemblés par les barons industriels du Nord, répartis entre Douai, Lille, Tourcoing et Valenciennes. Mais ces miettes sont plaisantes, elles illustrent l'histoire de la Région et les goûts qui dominaient au fil des époques. On passe du sourire à l'émotion, traversant le kitsch néo-académique, I'orientalisme pimenté d'érotisme, le populisme bon enfant des artistes que l'on n'appelait pas encore des "témoins de leur temps". On découvre l'œuvre d'un maître de Roubaix, Jean-Joseph Weertz, (1846-1927), auteur entre autres d'un phénoménal Marat assassiné, grande machine historique et dramatique. Parmi les chefs-d'œuvre présentés, il y a La petite châtelaine de Camille Claudel. Une section d'art plus récent s'illumine des dernières lueurs de l'impressionnisme et des feux des Fauves. Dans le rayon sculpture, Rembrandt Bugatti est l'épicentre d'un élégant ensemble de représentations animales.

    Musée d'Art & d'Industrie de RoubaixLa partie industrielle de La Piscine garde la mémoire de l'art et du savoir-faire des filatures de Roubaix : échantillons de textile, cartons, modèles et maquettes de mode depuis la grande époque des arts-déco jusqu'au design contemporain (Garouste et Bonetti). Elle est complétée par une tissu thèque qui s'adresse aux professionnels.
    Une affirmation de l'âme textile de la ville, portrait d'une cité industrielle bâtie au XIX° et XX° siècles.

    Ce musée est accueillant, facile d'accès, d'esprit ouvert. Il s'adresse à tous et à chacun, quelle que soit sa culture de départ ou son niveau d'instruction, comme insiste Bruno Gaudichon, conservateur en chef. Sa présentation n'a rien de savant. Elle fait glisser en douceur de l'évocation des plaisirs aquatiques à ceux des sens, puis à ceux de l'art. Et des animations pour grands et petits sont prévues dans la conception même du musée : males à jeux dans les bancs de certaines salles, espace de découverte tactile, espace sonore...

     

     

     

     

    Le bassin central version 21ème siècle ! photo A. Leprince © La Piscine M.A.I.A.D. Roubaix

     

    Après avoir fermé ses portes au public au début de la Seconde Guerre Mondiale, le Musée d’Art et d’Industrie André Diligent, alors installé dans le bâtiment de façade de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Industries Textiles, a rouvert ses portes, grâce au soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, dans ce lieu symbolique des années 30.

    Construite entre 1927 et 1932, à l’initiative du maire de l’époque Jean-Baptiste Lebas et d’après les plans de l’architecte lillois Albert Baer (1863-1951), la piscine de Roubaix offrait un service sportif et hygiénique de grande qualité ouvert à toutes les classes sociales. Le bassin de nage, orné de mosaïques bleues et or, était surplombé d’une grande nef éclairée de vitraux ; le “réfectoire des nageurs” comprenait un salon de coiffure, de manucure et de pédicure, des bains de vapeur et une laverie industrielle. Fermée en 1985, la piscine fut reconvertie de 1998 à 2001 par l’architecte Jean-Paul Philippon.

      

      

    Les nageurs dans les années 30 ! Photo M. Rucquois

    Après votre visite du Musée, une pause dans le salon de thé MEERT pour se réchauffer… autour d’un thé et de délicieuses gaufres fourrées à la vanille de Madagascar.

    23, rue de l’Espérance
    59100 Roubaix
    Architecte : Jean-Paul Philippon

     

     

    Le jardin d'entrée - photo A. Leprince © La Piscine M.A.I.A.D. Roubaix

     

     

     

    POUR APPRECIER cette VIDEO - cliquer sur le logo central de RADIONOMY - colonne de gauche, en bas, le fond musical du blog sera supprimé.

     

    SOURCES : super blog http://www.nordmag.fr/nord_pas_de_calais/roubaix/musee/musee_artetindustrie.htm

     

     

    Entrée : 23 rue de l'Espérance 59100 ROUBAIX
    adresse postale : 24, rue des Champs
    Situation : entre l'Hôtel de Ville et la Gare de Roubaix
    Tel : 03 20 69 23 60 Fax : 03 20 69 23 61 site
    http://www.roubaix-lapiscine.com/

    lapiscine.musee@ville-roubaix.fr
    Ouvert tous les jours, sauf lundi, du mardi au jeudi 11h-18h, vendredi 11h-20h. Samedi et dimanche 13h-18h. Fermé certains jours fériés, se renseigner au musée.

     

     

     

     

     

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      L'homme au gant LE TITIEN

    Utilisé depuis toujours comme protection contre le froid, le gant est porteur de symboles. Symbole de déférence, de soumission, de loyauté en particulier. Dès les premiers temps du christianisme, il est d'usage de se déganter devant un supérieur. Exigence que l'on retrouve tout au long des siècles : les juges royaux demeurent mains nues dans l'exercice de leurs fonctions, et on ôte ses gants pour entrer dans les Grandes et Petites Écuries du Roi-Soleil ; aujourd'hui encore, un homme se dégante pour serrer la main d'une femme.

      

    C'est en acte de soumission que le gant est offert au roi, au Moyen Âge, par ses villes vassales ; lors des cérémonies rituelles du couronnement en France, l'archevêque, en bénissant et en présentant une paire de gants au souverain, lui assure, par ce geste, possession de son domaine et loyauté de ses sujets. En Angleterre, c'est dans la main gantée du roi que l'archevêque de Cantorbéry place le sceptre, symbole du pouvoir royal. Gage de loyauté encore dans la chevalerie quand jeter son gant signifie défier un adversaire, ce dernier en le relevant signifiant qu'il acceptait le combat.

      

      

    En Occident, c'est vers le viie siècle que les gants deviennent des accessoires de luxe et donc de mode. Les comptes d'Isabeau de Bavière mentionnent en 1408 des gants « brodés tout autour » (Franklin, 1895), Montaigne ne s'en serait pas plus passé que de sa chemise et Catherine de Médicis les offre en cadeau très apprécié aux dames de la cour ; ils sont alors en soie ou en cuir, si fins qu'ils peuvent être roulés dans une coque de noix, usage qui persistera encore au xixe siècle, en Angleterre surtout, où la noix est pendue ostensiblement à la taille pour bien marquer la faveur royale. Henri III et ses mignons les affectionnent, pour la nuit, imprégnés de musc, ambre gris, civette et benjoin.

      

    Tributaires de la forme des manches, les gants sont courts, souvent parfumés, à petits revers découpés à picadilles avec la mode des manches à crevés du xvie siècle, à large crispin […]

    oyen ancestral de braver les rigueurs des travaux agricoles, la mitaine s’impose comme accessoire liturgique sous la forme du gant. Porté, donné, jeté ou relevé, il s’avère être hautement symbolique dès le XIIIe siècle, avant de devenir un élément incontournable de l’habillement au siècle suivant, pour atteindre le comble du raffinement à la Renaissance.

      

    L’usage des gants fut beaucoup plus répandu en Perse et dans quelques pays du Nord que chez les Grecs et les Romains, chez qui cette partie du vêtement n’était guère portée que par les chasseurs et les laboureurs, qui s’en couvraient les mains pour garantir leur épiderme des épines. Se présentant d’abord comme des mitaines (la manica primitive était une espèce de sac sans divisions, sauf pour le pouce) constituées de peaux et de tissus grossiers...

     

     

    sources : wikipedia - photos google

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    La charlotte est une sorte de bonnet féminin, populaire dans les classes modestes du XVIIIe au XIXe siècle. Elle est considérée comme le précurseur de la capote.

    De nos jours, c'est aussi le nom du bonnet jetable à élastique, qui recouvre les cheveux dans certaines industries (en particulier les industries agro-alimentaires, pharmaceutiques et parfois chimiques) et en chirurgie, pour des raisons d'hygiène.

      

    Historique :

    La charlotte est née d'une évolution du bonnet auquel furent ajoutés des bords et des liens pour le nouer sous le cou. Elle servait à cacher les cheveux afin d'indiquer la respectabilité. Elle fut portée par de nombreuses femmes du XVIIIe siècle comme bonnet d'intérieur.

    Elle se confectionne en batiste ou en mousseline avec une bordure froncée ; les liens furent remplacés par des rubans dès le milieu du XVIIIe siècle. En été, il est courant de la porter sous un chapeau de paille.

    MariaMarten.jpg

    Pendant le XIXe siècle, on lui ajoute des bords derrière et sur les côtés, afin de couvrir la nuque, préfigurant ainsi la capote mais sans amidon ; ce modèle reste connu comme le bonnet des laitières, immortalisé par les peintres. Avec la Halette, elle est la coiffe traditionnelle Lorraine.

     

    Les premières formes connues de couvre-chefs portés dans l'Antiquité avaient déjà la forme d'un bonnet (en cuir ou en fibres naturelles) qui s'arrêtait aux oreilles et s'appelait pilos. De même, le pétase (chapeau antique) a la forme d'un bonnet avec de larges bords.

     

    En France, à partir du XIe siècle et jusqu'au XVIIe siècle, le bonnet reste réservé aux classes les plus hautes ; les paysans portent le capuchon.

     

    De nos jours, le bonnet désigne le chapeau généralement en laine que l'on porte en hiver pour se protéger du froid. Il peut comporter ou non des bords retroussés et s'orne parfois d'un pompon à son sommet.

     

    Au Canada, c'est le mot tuque qui sert le plus souvent à désigner le bonnet de laine que l'on porte en hiver. D'où l'expression courante : attache ta tuque, qui signifie : tiens-toi bien, ça va secouer ou encore attache ta tuque avec de la broche qui siqnifie

     

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  • Mais tout d'abord, un peu d'histoire.

     

     

     

    Pendant des siècles, femmes et hommes vécurent sans cet accessoire qui est une invention relativement récente, et son "utilité hygiénique" l'est encore plus !

     

    Depuis la nuit des temps, et encore au moyen-Age (401 - 1500), femmes et hommes allaient les fesses nues sous, respectivement, leurs jupes et leurs pantalons et ce, jusqu'au milieu du XIX° siècle (1801 – 1900), et personnes ne s'en offusquaient !

     

    Bien au contraire, la bienséance voulait que les femmes vertueuses devaient aller sans culotte, et que cette dernière (ancêtre du pantalon) était réservée aux femmes aux mœurs légères ! (© Le Nouvel Obs)

    En effet, une femme de qualité se contentait d'un jupon ou d'une chemise de toile fine, ornée de dentelle d'Alençon et elle ne porte aucun "culotte" dessous, malgré la tentative infructueuse de Catherine de Médicis, à l'époque de la Renaissance (1400 - 1601), d'introduire la culotte pour la femme, qui est, à l'origine, un vêtement moulant porté exclusivement par les HOMMES, qui couvrait séparément les jambes, de la ceinture aux genoux ou à mi-mollet ; de nos jours, ce vêtement est appelé "pantacourt".

     

    La culotte est un vêtement dans lequel les deux jambes sont séparées, par opposition à la jupe. Elle désigne, jusqu'au début du XIXe siècle, le vêtement de dessus masculin, et à partir du XXe siècle des sous-vêtements masculins ou féminins. « Porter la culotte » se dit d'une femme qui commande dans son foyer.

    La petite culotte est un sous-vêtement féminin ajusté qui couvre les fesses et le sexe. Lorsque sa partie arrière est très étroite et ne cache pas les fesses, elle est aussi appelée string. En France, le slip désigne couramment ce sous-vêtement, que ce soit pour les hommes ou pour les femmes.

      

     

    L'histoire de la culotte se confond avec celle du pantalon et elle se porte successivement dessous et dessus les vêtements et les transformations majeures qu'elles subira se limiteront surtout à la longueur des jambes. Sous l'Ancien Régime, et jusqu'au début du XIXe siècle, la culotte est un vêtement d'homme des classes aisées. Au XVIIIe siècle, chez les hommes, elle descend alors jusqu'aux genoux, et se porte avec des bas puis va s'allonger jusqu'aux chevilles jusqu'au XIXe siècle où son usage se généralise[1]. De nombreuses unités d’infanterie ont une culotte dans leur uniforme au XVIIIe siècle.

     

    Au début XXe siècle, le mot culotte ayant été complètement remplacé par celui de pantalon, il est utilisé en même temps que caleçon pour désigner le sous-vêtement. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, le terme slip qui devient en usage pour désigner les culottes d'homme ajustées qui ne sont pas des caleçons.

     

    Chez la femme, la première apparition de la culotte tient au pantalon de coton que les petites filles portaient jadis sous leur robe ; ce dernier fut ensuite imposé aux femmes dans une version raccourcie par les hygiénistes qui refusaient de voir une femme sans sous-vêtement intime. D'abord rose ou blanche, la culotte féminine fut ensuite noire pour les femmes honnêtes du début du XXe siècle à la Première Guerre mondiale ; noir qui devient après les années 1940, le symbole de la lascivité.

     

    Au XVIIIe siècle, le port d'un caleçon avait été imposé par une ordonnance du lieutenant de police aux filles de l'opéra lors de leurs représentations, pour une question de décence.

     

    Depuis les années 1960, la culotte pour femme n'est plus un caleçon ; utilisant les nouveaux textiles synthétiques et des couleurs variées[1].

     

     

      

    D'ailleurs, l'expression "porter la culotte" ne fait pas référence au sous-vêtement, mais au pantalon ; par opposition à la jupe.

     

    Avant et après Catherine de Médicis, les femmes, de grande comme de petite condition, se trouvaient entièrement nues sous leurs vêtements, et il fallut attendre bien plus tard pour voir apparaître la petite culotte !

     

    La nudité, sous la robe, sera même l'objet de bien des aventures et mésaventures. Ainsi, la chute de cheval de Mme de La Fayette fera bien rire Louis XIV.

     

    C'est au cours de la révolution française (vers 1790) que le pantalon (inventé par les Gaulois) refit surface grâce aux révolutionnaires qui l'arborait en signe de contestation : c'est pourquoi les aristocrates les appelèrent des sans-culottes.

     

    Ce n'est que dans les années 1800 que "le pantalon de lingerie" commença à être porté comme sous-vêtement.

    Il fut importé d'Angleterre (pays au combien puritain) où il était porté par les jeunes filles lors de leurs séances de gymnastique. A l'époque, on lui prédit un avenir éphémère, car celui-ci dépassait très légèrement de la robe, à la hauteur des chevilles ! (© Chronique de la France et des Français ; LAROUSSE)

    Les stylistes le fit, alors, plus court, et comme, par sa longueur, il ressemblait à l'ancien vêtement d'homme, ils appelèrent ce nouveau sous-vêtement "culotte".

     

    La culotte remplaça alors progressivement, jusqu'en 1930, les pantalons de lingerie, fendus ou non, que portaient auparavant les femmes sous leurs robes. (© Histoire imprévue des dessous féminins ; Cécil SAINT-LAURENT)

     

    A cette époque, la mode des robes moulantes rendirent ces culottes gênantes, et plutôt que de revenir en arrière et ne pas en porter (soit disant pour des raisons d'hygiène), la mode créa la culotte courte (également appelé : short) qui s'arrêtait au-dessus du genou. (© Chronique de la France et des Français ; LAROUSSE)

     

    Les années suivantes firent raccourcirent la culotte et lui donnèrent le visage qu'on lui connaît désormais, jusqu'au string des années 1980 ; et là, c'était pour la discrétion.

     

    Si on veut respecter l'évolution "naturelle" des choses, l'étape suivante devrait être sa disparition complète, et ainsi revenir à un fait plus juste ; car il apparaît que l'homme (dans le sens générale du terme) l'utilise comme sous-vêtement depuis moins de 2 siècles !

     

      

    Et puis dans d'autres pays, jusqu'à très récemment, porter un vêtement sans dessous était quelque chose de courant ; comme le kimono japonais (cf : les films traditionnels), le sari indou, le paréo tahitien, et le célèbre kilt écossais !

      

     

      

      

    sources : http://sansculotte.perso.neuf.fr/fr/histoire.htm

      

     

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    Le peigne

    C'est un outil muni de tiges parallèles appelées "dents" de taille,longueur et grosseur variables,qui sert à remettre les cheveux en ordre ou à en retirer les poux et lentes.

    C'est aussi parfois grâce à sa structure dentelée un accessoire,qui permet aux personnes ayant les cheveux longs de les maintenir en place.

    peigne du Moyen Âge

    Les peignes ont été fabriqués depuis plusieurs milliers d'années dans différentes matières: os,corne,ivoire,bois,écaille de tortue,puis en métal et plus généralement à l'époque moderne en plastique.

    Les peignes anciens comportaient souvent deux rangées de dents, l'une comportant des dents plus épaisses et plus espacées.

    Des peignes en os datant de 8.000 avant J-C ont été découvets en Scandinavie.

    peigne en ivoire

    Au Moyen Âge les femmes maintenaient leurs cheveux avec des peignes ciselés et décorés. Au IXème siècle les chinoises portaient des peignes en bois.

    A partir de 1760,en Amérique,les peignes sont fabriqués avec des écailles de tortue. Il a existe en Occident au XVIIIème et XIXème siècles des "peignes de plomb"qui donnaient une teinte grise aux cheveux.

    peigne en écaille de tortue

    Quelle que soit l'époque, pour les peignes destinés à demeurer dans la chevelure se pose le problême de maintien sur les cheveux raides, notamment il peut être amener à glisser.

    C'est pourquoi de nos jours les peignes décoratifs possèdent pour la plupart des dents en plastiques,contrairement à leurs équivalents en bois ou en métal.

    Le plastique peut être préparé pour être plus rugueux ce qui évite de glisser au cours de la journée.

    Le peigne peut être décoré d'autres marériaux (strass,perles,décorations métalliques,etc...).

      

      

    sources : http://blog.femmeactuelle.fr/calinette33/Post/Le-peigne-97623.aspx

      

     

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     Johnny s'en va-t-en guerre (Trumbo, 1971)

     

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    Johnny s'en va-t-en guerre est un film réalisé par Dalton Trumbo en 1971.

     

    Johnny (Timothy Bottoms) est un jeune soldat engagé volontaire de la Première Guerre mondiale. Grièvement blessé par un obus, amputé des membres et d'une partie du visage, il survit néanmoins suite à l'acharnement d'un médecin qui le croit dans le coma et l'utilise en tant que cobaye pour faire progresser la médecine. Mais celui-ci ignore que Johnny a gardé un cerveau en parfait état de fonctionnement et reste conscient. Isolé dans une chambre d'hôpital, il se remémore son histoire et tente désespérément de communiquer. Seule une jeune et belle infirmière (Diane Varsi) se montre sensible à son sort.

     

    Le film Johnny s'en va-t-en guerre est tiré du livre éponyme de son réalisateur, Dalton Trumbo. Ce livre fut publié pour vlcsnap-8872149.jpgla première fois en 1939, seulement deux jours après le début de la Seconde Guerre mondiale et il devint rapidement célèbre par son caractère ouvertement anti-militariste. Dalton Trumbo, écrivain et scénariste, a écrit pour les plus grands réalisateurs: Frank Capra, Otto Preminger, George Roy Hill et même Stanley Kubrick avec lequel il a coécrit le scénario de Spartacus en 1960. Le clip de la chanson "One" du groupe de hard-rock Metallica reprend des extraits du film Johnny s'en va-t-en guerre. La chanson est elle-même inspirée du film.

    N'ayant jamais réalisé de films, Dalton Trumbo pense confier l'adaptation de son roman à son ami Luis Buñuel. Refus de ce dernier, qui apportera néanmoins sa contribution en collaborant à certains plans. Lorsque le roman de Dalton Trumbo sort en 1939, il fait écho à la Seconde Guerre mondiale. De même, lorsque le film sort en 1971, il fait écho à la Guerre du Vietnam: la sortie du film et sa reconnaissance au festival de Cannes eurent une seconde résonance avec l'actualité. Les divers mouvements pacifistes et antimilitaristes des années 1970 firent de Johnny s'en va-t-en guerre une œuvre majeure dans laquelle il convient de voir l'un des plus violents réquisitoires de la littérature et du cinéma américain contre l'absurdité de toutes les guerres (source: wikipédia). A l'image du Soldat bleu (sur le génocide indien), Johnny s'en va-t-en guerre fait en effet partie de ces films corrosifs qui offrent une autre image de la guerre. Présenté à Cannes en 1971 en compétition officielle, Johnny s'en va-t-en guerre a remporté le Prix de la critique international et le Grand Prix du Jury.

     

    vlcsnap-8871331

     

     

    Film résolument anti-militariste, jamais l'absurdité de la guerre n'a trouvé meilleure illustration que dans ce réquisitoire de Trumbo.

    Johnny s'en va-t-en guerre est la grande réussite d'un réalisateur débutant de 66 ans, scénariste réputé (Exodus, Papillon), poursuivi pendant les heures noires du maccarthysme comme l'un des "dix d'Hollywood". Cette vlcsnap-8867069.jpgadaptation de son propre livre est l'une des plus impitoyables dénonciations de la folie destructrice de la guerre. Écrabouillé par un obus sur un champ de bataille, Johnny est une épave humaine clouée sur un lit de souffrances qui implore qu'on l'achève. Le film est dur, moins en raison des images -on ne voit pas une goutte de sang- que de la torture mentale du personnage principal, amputé des quatre membres et ne possédant plus q'un sens: le toucher.

    Se revendiquant comme un concentré d'humanisme, la vision de Trumbo est naïve et a tendance à exploiter le pathos de la situation. Mais c'est également la force de ce grand film, dur et poignant. L’horreur psychologique atteint ici son apogée. Pour renforcer le malaise, Trumbo altère les repères du spectateur en brouillant les souvenirs et les rêves de Johnny, offrant ainsi quelques scènes assez surréalistes (la rencontre de Johnny avec un Jésus Christ totalement impuissant, interprété par Donald Sutherland). D'un point de vue technique, soulignons également l'audacieuse structure narrative: souvenirs et rêves de Johnny en couleur, dure réalité du mutilé de guerre en noir et blanc.

    Terrible manifeste d'une noirceur radicale, à voir sans délai (et absolument en VO).

     

     

     

     

     
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  • Hommage à Julien Guiomar

     

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    JULIEN GUIOMAR (1928 - 2010)

     

     

    Acteur incontournable, Julien Guiomar a joué dans plus de soixante films et dans des dizaines de pièces de théâtre.

    Reconnaissable à son physique imposant et à sa voix de stentor, c'était un des grands seconds rôles du cinéma français. Aussi à l'aise dans les comédies que dans Le Songe d'une nuit d'été de Shakespeare, l'acteur s'est fait un nom en incarnant un colonel grec dans Z de Costa-Gavras (1969). La même année, il jouait le curé espagnol dans La Voie lactée de Luis Buñuel. Par la suite, il fut également le colonel Vincent dans Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré (1983), le commissaire Bloret dans Les Ripoux (1984) et Jacques Tricatel dans L'Aile ou la Cuisse (1976), deux films de Claude Zidi.

     

    Guiomar, c'est d'abord une présence: une gueule associée à une gestuelle théâtrale inimitable.

    Mais c'est surtout cette voix rauque et puissante qui contribua tant à son succès et qui rendait ses colères redoutables.

     

    Guiomar a cotoyé les plus grands (Belmondo, Delon, Gabin, Ventura, de Funès, Noiret, etc) . Bien que cantonné aux seconds rôles, c'était un acteur populaire très talentueux. On ne tourne pas par hasard avec Costa-Gavras, Buñuel, Rappeneau, Sautet, Malle, Zidi, Broca, Granier-Deferre, Resnais ou Lautner.

     

    Hommage-a-Julien-Guiomar_galleryphoto_home_std.jpg

     

    En son honneur, petit florilège d'extraits de ses prestations les plus marquantes.

    POUR APPRECIER LES VIDEOS  - cliquer sur le LOGO CENTRAL de DEEZER ( colonne de gauche, en bas) le fond musical du blog sera supprimé



    On se souvient de l'ignoble Tricatel, chantre de la restauration rapide, et ennemi de Louis de Funès dans L'aile ou la cuisse (1976) de Claude Zidi:

     

    http://www.youtube.com/watch?v=Ens-6N45FCs
     

    L'abbé La Margelle, chef des voleurs au côté de Jean-Paul Belmondo dans Le Voleur(1967) de Louis Malle:





    Oncle dépressif de Jean-Paul Belmondo dans l'Incorrigible (1975) de Broca:



    Colonel de police corrompu, il joue aux côtés d'Yves Montand et de Charles Denner dans Z(1969) de Costa-Gavras:

     



    Résistant dans Papy fait de la résistance (1983) de Jean-Marie Poiré:

    http://www.youtube.com/watch?v=Q3BPGm8aHgQ

     

    Liste de ses films
    horse-1970-05-g1966 : Le Roi de cœur, de Philippe de Broca : Mgr Marguerite1967 : Ballade pour un chien, de Gérard Vergez : Robin1967 : Le Voleur, de Louis Malle : l'abbé La Margelle1967 : Toutes folles de lui, de Norbert Carbonnaux : Antoine1968 : Pour un amour lointain, d'Edmond Séchan : Maxime1968 : La Louve solitaire, d'Édouard Logereau : Durieux1969 : La Fiancée du pirate, de Nelly Kaplan : le Duc1969 : Z, de Costa-Gavras : le colonel1969 : L'Auvergnat et l'autobus, de Guy Lefranc : Me Valentin Chanterive1969 : La Voie lactée, de Luis Buñuel : le curé espagnol1970 : La Horse, de Pierre Granier-Deferre : le commissaire1970 : Borsalino, de Jacques Deray : Simon Boccace1971 : Les Mariés de l'an II, de Jean-Paul Rappeneau1971 : Doucement les basses, de Jacques Deray : Francisco1972 : Décembre, de Mohammed Lakhdar-Hamina : le général Beaumont1972 : La Violenza: Quinto potere, de Florestano Vancini : commissaire Golino1972 : L'Étrangleur, de Paul Vecchiali : l'inspecteur Simon1973 : La Raison du plus fou, de Raymond Devos et François Reichenbach : le patron du restaurant1973 : La Proprietà non è più un furto, d'Elio Petri : le directeur de la banque1973 : L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise, de Nina Companeez : le mari de Rosemonde1974 : Tendre Dracula, de Pierre Grunstein : le producteur1974 : Dites-le avec des fleurs, de Pierre Grimblat : le docteur Comolli1974 : La Moutarde me monte au nez, de Claude Zidi : Albert Renaudin1974 : Bons baisers... à lundi, de Michel Audiard : Poudevigne1975 : Aloïse, de Liliane de Kermadec : le directeur de théâtre1975 : Une baleine qui avait mal aux dents, de Jacques Bral : Julien1975 : Section spéciale, de Costa-Gavras : le substitut1975 : Souvenirs d'en France, d'André Téchiné : Victor1975 : Adieu poulet, de Pierre Granier-Deferre : Ledoux1975 : L'Incorrigible, de Philippe de Broca : Camille1976 : Mado, de Claude Sautet : Lépidon1976 : L'Aile ou la Cuisse, de Claude Zidi : Jacques Tricatel1976 : Barocco, d'André Téchiné : Gauthier1977 : L'Animal, de Claude Zidi : Fechner1977 : Mort d'un pourri, de Georges Lautner : Fondari1978 : La Zizanie, de Claude Zidi : Dr Landry1978 : Ils sont fous ces sorciers, de Georges Lautner : Stumph-Bachelier, le président1978 : Les Ringards, de Robert Pouret : Jeannot Bidart, dit "La presse"1979 : Je vous ferai aimer la vie, de Serge Korber : Dr. Soltier1979 : Cher papa (Caro papà), de Dino Risi : Parrella1979 : Milo-Milo, de Nicos Perakis : Louis1980 : Je suis photogénique (Sono fotogenico), de Dino Risi : Carlo Simoni1980 : Le Bar du téléphone, de Claude Barrois : Antoine Bini1980 : Inspecteur la Bavure, de Claude Zidi : Vermillot1981 : Est-ce bien raisonnable ?, de Georges Lautner : Raymond Volfoni1983 : Un chien dans un jeu de quilles, de Bernard Guillou : Alexandre1983 : Équateur, de Serge Gainsbourg : Bouilloux1983 : Papy fait de la résistance, de Jean-Marie Poiré : colonel Vincent1984 : Carmen, de Francesco Rosi : Lillas Pastia1984 : Les Ripoux, de Claude Zidi : commissaire Bloret1985 : L'Arbre sous la mer, de Philippe Muyl : Thomas1985 : Le Matou, de Jean Beaudin : Aurelien Picquot1986 : Le Débutant, de Daniel Janneau : Lucien Berger1987 : Flag, de Jacques Santi : Léon Terzakian1987 : Bahia de tous les saints (Jubiabá), de Nelson Pereira dos Santos : Luigi1987 : Dernier été à Tanger, d'Alexandre Arcady : commissaire Gomez1987 : Les Deux crocodiles, de Joël Séria : Julien Derouineau1988 : Terre sacrée, d'Emilio Pacull1989 : African Timber, de Peter F. Bringmann : Girolles1989 : Astérix et le coup du menhir, de Philippe Grimond (voix)1990 : Plein fer, de Josée Dayan : Fabiani1991 : Robinson et compagnie, de Jacques Colombat (voix)1992 : Léolo, de Jean-Claude Lauzon : Grand-Père1993 : Je m'appelle Victor, de Guy Jacques : Emile1997 : Violetta la reine de la moto, de Guy Jacques : Corneille1997 : Que la lumière soit !, d'Arthur Joffé : Dieu le père2001 : J'ai faim !!!, de Florence Quentin : Guyomard2003 : Clandestino, de Paule Muxel : Jean
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