• BIKERS, MOTOS,

    un  vieux biker sans casque !

    et

    sans dents !!!

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  • La spectaculaire évasion d’un Chouan : au-delà de la légende

                    

    Le roman de Barbey d’Aurevilly Le chevalier des Touches a pour centre l’évasion de son héros Jacques des Touches, chouan normand. Ce personnage exista réellement et fut bien condamné à mort, par le tribunal criminel de la Manche qui siégeait à Coutances. À la recherche d’une certaine esthétique et fasciné par la chouannerie, d’Aurevilly a voulu dans son oeuvre que la réalité gardât son caractère mystérieux. Pourtant, si l’évasion de des Touches fut bien loin de ce que décrit l’auteur normand, cette fuite organisée par les monarchistes attaquant la garde républicaine de Coutances à la baïonnette ne fut pas moins la cause d’un moment d’extrême violence, de folie et de danger.

     

    «Ce jour dont on se souviendra longtemps» Barbey d’Aurevilly, Le Chevalier des Touches. Episode de la guerre des chouans par Jules Giradet (détail).

    En son Chevalier des Touches, Barbey d’Aurevilly, nous fait le récit d’une aventure follement héroïque et particulièrement romanesque. Douze Chouans bien déterminés seraient allés à Avranches, déguisés en blatiers, pour sortir le chevalier emprisonné Jacques des Touches, leur meneur. C’est «à midi sonnant, au plus fort du tohu-bûhu de la foire (…) aux boeufs et chevaux qui durait trois jours (…) rendant la surveillance par la police difficile».

    «Nos hommes brûleraient-ils Avranches pour ravoir Des Touches ? Il vaut bien Avranches ! Ce serait beau !» Barbey d'Aurevilly.

    «Tous, du reste, tous s’étaient ceints, de l’épaule à la hanche, de ce redoutable fouet des blatiers, lesquels ont presque toujours deux ou trois chevaux chargés de sacs de blé ou de farine à conduire ; arme effroyable, au manche durci au feu, faite de lanières de cuir tressées, avec une mordante courgée de six pouces, dont chaque coup creusait un sillon, et, à la main, ils avaient le pied de frêne familier à toute main normande, le bâton-massue de la Normandie, avec lequel des hommes de ce poignet et de cette vaillance auraient pris, Dieu me damne ! des pièces de canon !»

    « Echaudés par les chouans provocateurs, la foule se serait ruée sur eux pour en finir. »

    Ils auraient alors tenté, à onze seulement, d’attirer la foule pour faire diversion et permettre à un des leurs, nommé Vinel Aunis, de monter dans une des deux tours de la ville où était retenu des Touches. Afin de provoquer le plus de monde possible, ils commencèrent par rentrer dans une des tentes de la foire et détruire un maximum de verres devant des gens qui buvaient. Echaudés par ces chouans provocateurs la foule se serait ruée sur eux pour en finir.

    Illustration de Félix Buhot pour le Chevalier des Touches de l’émeute dans Avranches

    « À nous les blatiers ! »

    Ce dut être un curieux spectacle ! Les blatiers répondirent à ce cri par le claquement de leurs fouets terribles, et ils se mirent à sabrer cette foule avec ces fouets qui coupaient les figures tout aussi bien que des damas ! Ce fut une vraie charge, et ce fut aussi une bataille.

    Le moindre coup faisait jaillir du sang dont on reconnaissait la couleur, à la première goutte.

    Tous les pieds de frêne furent en l’air sur une surface immense. La foire s’interrompit, et jamais, dans nulle batterie de sarrazin, les fléaux ne tombèrent sur le grain comme, ce jour-là, les bâtons sur les têtes. Dans ce temps-là, la politique était à fleur de peau de tout. Le moindre coup faisait jaillir du sang dont on reconnaissait la couleur, à la première goutte.«

    Après avoir tenu «à peu près deux heures», un des membres du groupe se retira des combats pour rejoindre Vinel Aunis qui s’était chargé de libérer des Touches. Après quoi les trois hommes mirent le feu à un grenier à foin se trouvant à proximité de la tour, pour attirer la foule compacte et sauver ceux qui se battaient en bas.

    Voici donc ce que nous livre d’Aurevilly sur l’évasion de Jacques des Touches, qui, une fois échappé de Valognes, pu rejoindre le château de Touffedelys sain et sauf «le visage noirci, les cheveux brûlés, l’air d’un démon ou plutôt d’un damné, échappé de l’enfer, car les démons y restent…» En vérité, la libération du chouan fut orchestrée bien différemment.

    Les fusils que manièrent les chouans à la prise de Coutances étaient des espingoles. Gros et très court à canon évasé, souvent en bronze. Henri de La Rochejaquelin au combat de Cholet, 17 octobre 1793, par Paul Émile Boutigny (détail).

    Jacques des Touches fut tout d’abord arrêté le 1er Juillet 1798 au beau milieu de la nuit dans la maison de son oncle. Tout juste pris au lit par le commissaire Méquet, portant son écharpe tricolore, il fut envoyé à Avranches. En décembre il comparaissait à Coutances devant le tribunal criminel du département et était condamné à mort pour avoir «entretenu des intelligences (…) et pratiqué des manoeuvres avec les ennemis de la France (…) sur le territoire de la République».

    Hotel de Ganne, là où des Touches fut arrêté. Pris dans le lit qu'il occupait avec un cousin il provoqua l'étonnement du commissaire. Des Touches était connu pour ses frasques avec les filles. Le chouan nia plus tard toute relations physique devant le tribunal.

    Seulement, quelques semaines après son arrestation, des fidèles au chouan s’organisaient déjà afin de tenter une évasion. Avant même le jugement rendu à Des Touches, un incendie avait été déclenché à Avranches par plusieurs fusées lancées à divers points de la commune. En vain. Le geôlier, sacrifiant tous ses biens, laissa brûler la maison d’arrêt pour pouvoir contenir les prisonniers dans les cachots souterrains.

      »L’aristocratie agit plus vite que la justice »

    (R. Sinsoilliez, Les espions du roi)

    Des Touches aurait dû être exécuté à Coutances le 11 février, si le soir même une centaine d’hommes armés de fusils et pistolets ne s’étaient emparés des issues de Coutances pour s’engager jusqu’à la maison d’arrêt. Cinq d’entre eux s’en prirent à un grenadier-garde qu’ils rouèrent de coups pour l’empêcher d’appeler la garde. Puis vinrent les faits terribles qui permirent la libération de Jacques des Touches. Les voici racontés en détails dans une longue lettre écrite par le commissaire du Directoire exécutif de la Manche au ministre de la Police:

    « Pour empêcher la garde de sortir, un groupe tirait des coups de fusil dans l’allée longeant le corps de garde. Un feu terrible s’abattit là. Un grenadier, Vincent Faluelle, fut blessé à mort: un citoyen eut le poignet fracassé. Quelques brigands se portèrent même dans l’allée où ils assaillirent un grenadier qui, en se défendant courageusement et après avoir blessé un des brigands d’un coup de baïonnette, fut lui-même blessé d’une décharge de fusil. (…)

    Ils percèrent le geôlier d’un coup de baïonnette, l’accablèrent de coups de crosses de fusil et forcèrent les portes intérieures.

    L'incendie de Granville par les Vendéens peint par Jean-François Hue (détail).

    Au bruit de la fusillade, plusieurs personnes accoururent dont un officier de vétérans (…). Il entra pour prendre des armes chez le citoyen Simon, commandant, et en sortait avec une épée lorsqu’un brigand lui cria:

    - Qui vive ?

    Il répondit:

    - Officier.

    - Officier républicain.

    À l’instant, il tomba mort d’un coup de feu, laissant une veuve et plusieurs enfants. D’autres républicains furent grièvement blessés. Cependant, huit à dix autres brigands pénétrèrent dans la prison, tuèrent le chien du concierge, percèrent le geôlier d’un coup de baïonnette, l’accablèrent de coups de crosses de fusil et forcèrent les portes intérieures. (…) L’enlèvement se déroula en quatre à cinq minutes. (…) Les citoyens accouraient en foule et semblaient garantir que les scènes d’horreur étaient passées. (…) Soudain un vacarme se fit entendre au dehors. Il avait pour cause le retour des brigands (qui venaient enlever le corps d’un des leurs tombé au combat).(…) Alors s‘engagea une fusillade. Le citoyen Leroux reçu dans son chapeau plusieurs coups de fusil, criblé, il fut atteint grièvement à la tête. Il put enfoncer son sabre jusqu’à la garde dans le corps d’un des brigands. Cette courageuse résistance les força à la retraite. (…)

    Tous poussaient des cris hostiles à la révolution:

           Vive le roi ! Vive Auguste ! Merde pour la République !»

      

      

      

      

    souces : http://www.histoirenormande.fr/la-spectaculaire-evasion-du-chouan-jacques-des-touches-racontee-par-barbey-d%e2%80%99aurevilly-fictions-verites

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    Nous sommes en 1900, partout en France les femmes lavent le linge familial dans l’eau douce et savonneuse des lavoirs. Partout ? Non ! Car à Port-en-Bessin (Calvados), c’est sur le sable et près des vagues que les lavandières se retrouvaient. Comment était-ce donc possible ?

    5 km de galeries

    Où serpente la rivière Aure entre Bayeux et la mer ? Impossible de suivre le cours d’eau à pied. Il semble disparaitre dans un champ, pour ne jamais ressurgir. En réalité, une partie de son chemin se fait à l’abri des regards, sous terre. Après qu’elle ait traversé Bayeux, l’Aure rencontre, dans l’arrière pays de Port-en-Bessin, un escarpement d’une cinquantaine de mètres de hauteur lui barrant l’accès à la mer. La rivière longe donc ce relief, puis se ramifie et finit par s’infiltrer dans le karst, véritable paysage souterrain façonné dans des couches calcaires. Ces nappes d’eaux captives sont recouvertes par une couche géologique imperméable. Le réseau de cavités souterraines ainsi façonné comporte plus de 5 km de galeries reconnues.

    C’est à la Fosse Soucy, près de Maisons, que disparaît le bras principal de l’Aure. Il ne réapparaît que 3 km plus loin, une fois traversés tous les reliefs de l’arrière-pays. Le mot soucy désignait d’ailleurs au Moyen-Âge ces « pertes » d’eau. L’eau sous pression rejaillit à Port-en-Bessin, en sources dites artésiennes. Ces résurgences de l’Aure à Port-en-Bessin, appelées « droues », ont donc permis de s’approvisionner en eau douce au pied des falaises.

    des lavandières de bord de mer

    Ce phénomène hydrographique a permis aux ménagères de venir laver leur linge en bord de mer, ce qui n’était pas sans surprendre les étrangers au pays. « Quand la mer baisse, raconte un Portais en 1894, les ménagères guettent le moment où leurs pierres individuelles seront découvertes et, cinq minutes après, quand l’apparition des droues élimine la salure des eaux, elles s’agenouillent, font dans le sable, avec leur battoir, un large trou qui s’emplit vite d’eau douce et se mettent au travail« . Cette curiosité enthousiasma aussi le père Alexandre Dubosq qui en fit le sujet d’une série de cartes postales.

    La résurgence de l’Aure en bord de mer est encore visible aujourd’hui, près de la digue est de Port-en-Bessin par exemple. « Plusieurs d’entre elles sont très importantes, a dit un observateur, et forment pendant la saison des pluies des tourbillons ayant une amplitude très développée ». Ces droues sont particulièrement spectaculaires pendant les marées descendantes.

      

      

    sources : http://www.histoirenormande.fr/quand-lavait-son-linge-en-bord-de-mer

      

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    5oogrs de rognons de veau, coupé en morceaux
    Un bon vin rouge
    1c de maïzéna
    1bocal de champignons
    Pomme de terres
    sel, poivre, oignons, ail, thym frais!
    Faire revenir vos rognons, champignons, oignons dans de la matière grasse, diluez la maïzéna, dans un peu d'eau, et la verser, sur la viande, le vin , épicez!
      
     



     

    Sur assiette chaude, j'ai servi ce plat avec des pommes de terre cuites à l'eau!
    Astuce: j'ai émiettée un cube en remplacement du sel et pour le gout!

     



     

     

     http://www.certiferme.com/blog/article-46-23595-normale-rognons-de-veau-sauce-au-vin-champipi.html

      
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    Pour 8 personnes :

    • Préparation : 20 mn
    • Cuisson : 180 mn
    • Repos : 0 mn
    • Temps total : 200 mn

    1)  Epluchez les oignons, plantez-y les clous de girofle.

    Préparez deux bouquets garnis : thym avec laurier, céleri avec persil.

    2)  Plongez le tout avec la viande préalablement ficelée (par votre boucher) dans un grand fait-tout avec 5 l d'eau froide.

    C'est parti pour 3 heures de cuisson à "petits frémissements".

    3)  A ébullition, rajoutez une poignée de gros sel et le poivre.

    Retirez régulièrement l'écume qui se forme à la surface.

    4)  50 minutes avant la fin de la cuisson, rajoutez progressivement les autres légumes. Au préalable, retirez la viande et filtrez le bouillon. Ce sera mieux pour le look final. Une fois filtré remettez le tout à cuire (viande + bouillon).

    5)  Incorporez les carottes et les navets d'abord (h-50 mn), puis le chou (h-40), enfin les poireaux (h-20). Les pommes de terre doivent être cuites à part.

    6Servez les légumes et la viande coupée en tranches (enlevez les ficelles) dans un grand plat. Accompagnez en proposant cornichons et gros sel.

    Pour finir... Pour les courageux qui aiment les os à moelle,

      

    ils sont à pocher 10-15 minutes à part dans du bouillon de cuisson.

      

    sans oublier le gros sel, les cornichons et du bon pain frais... de la moutarde..

    et un bon vin rouge..un Touraine ou un petit Bourgogne...

     

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    Le boeuf bourguignon est un plat traditionnel de la gastronomie française et plus précisément de la région bourguignonne.

    La Bourgogne est réputée pour son bon vin mais également pour ses élevages de bovins charolais.

      

    POUR 5 À 6 PERSONNES

    • 1 kg de macreuse ;
    • 200 g de poitrine fumée ;
    • 2 carottes ;
    • 2 oignons ;
    • 2 gousses d'ail ;
    • 1 bouteille de bon vin rouge ;
    • 1 verre à liqueur de marc ;
    • 50 g de farine ;
    • 1 morceau de sucre ;
    • 3 cuillères à soupe d'huile ;
    • 1 noix de beurre ;
    • Bouquet garni, sel, poivre.

      

     

    Faites fondre dans une cocotte le mélange de beurre et d'huile et mettez à dorer sur feu moyen la viande coupée en gros cubes après l'avoir salée et poivrée.

     
     

    Epluchez les carottes et les oignons, coupez-les en épaisses rondelles, détaillez la poitrine fumée en petits dés et ajoutez ces ingrédients à la viande. Laissez blondir sur feu moyen en tournant de temps en temps à la cuiller de bois.

     
     

    Quand la préparation a pris couleur, versez 50 g de farine dans la cocotte et remuez bien le tout pendant 2 à 3 minutes, le temps pour la farine de roussir légèrement.

     
     

    Mouillez alors avec le vin rouge en grattant bien le fond du récipient à la cuiller de bois afin de décoller la farine qui attacherait. Aromatisez d'un petit verre de marc, du bouquet garni, de 2 belles gousses d'ail pilées. Salez légèrement, poivrez au moulin et ajoutez un morceau de sucre.

     
     

    Allongez la sauce d'un grand verre d'eau, et laissez cuire à couvert 2 h 1/2. Passé ce temps, terminez la cuisson à découvert une trentaine de minutes pour réduire la sauce.

     
     

    Présentez le contenu de la cocotte dans un grand plat de service creux avec un accompagnement de pommes vapeur.

      

      

    Le bœuf bourguignon traditionnel se mijote à la cocotte avec des morceaux de viande de bœuf accompagnés de carotte, le tout arrosé de vin rouge.

    Ce qui procure toute sa saveur, c'est le mode de cuisson : lent et à feu doux. La viande de bœuf cuit petit à petit et s'imprègne délicatement du vin. On peut aussi agrémenter ce plat d'oignons, d'ail, d'un bouquet garni ainsi que de petits lardons.

    Le vin doit être rouge et on préférera un vin de Bourgogne, qui participera en grande partie à la réussite de ce plat. Bien entendu, la viande doit être aussi de bonne qualité. Servi en plat principal, le bœuf bourguignon sera consommé chaud, de préférence.

    En France, le bœuf bourguignon est un plat familial pour les repas de fête. Mais il s'invite aussi à notre table pour les jours ordinaires, et l'on se plait à le commander dans les restaurants, qu'il s'agisse de grandes ou petites tables.

    Enfin, pour celles et ceux qui n'oseront pas se risquer à la préparation pourtant facile (en suivant notre recette) de ce plat traditionnel, vous pouvez aussi l'apprécier en conserve.

    Suivez notre recette pour concocter un bœuf bourguignon succulent, qui épatera votre famille et vos amis…

     

    En France, le boeuf bourguignon est un plat gastronomique traditionnel.

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  • Préparer des artichauts
    Les cuire entiers, les tourner, leur faire une beauté

     

     

    Préparer des artichauts :
    - Mettre des gants pour éviter que l’artichaut ne colore vos mains
    - Casser la queue de l’artichaut (cela permet d’ôter les fibres éventuelles contenues dans le fond de l’artichaut)
    - Parer le fond de l’artichaut en coupant le reste de la tige
    - Couper les feuilles supérieures de l’artichaut
    - Ôter les feuilles extérieures dures Pour le faire cuire entier :
    - Déposer l’artichaut sur une rondelle de citron et ficeler
    - Cela permet à la chair de l’artichaut de conserver une belle couleur Tourner l’artichaut :
    - Une fois la queue ôtée, retirer les feuilles dures
    - Tourner autour du cœur de l’artichaut à l’aide d’un couteau bien aiguisé pour ôter les feuilles extérieures.
    - S’arrêter lorsqu’on rencontre les feuilles tendres.
    - Couper le haut des feuilles
    - Nettoyer l’artichaut en tournant autour du cœur à l’aide du couteau
    - Citronner au fur et à mesure afin d’éviter que l’artichaut ne noircisse
    - Ôter le foin, celui-ci peut-être enlever à cru ou après cuisson : s’aider une petite cuillère ou d’une cuillère parisienne
    - Finir de nettoyer le fond de l’artichaut pour ôter les parties dures.


     

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    SOUPE AU CITRON

     

    Recette pour 4 personnes :

    - 1 poulet fermier

    - 2 litres de bouillon de volaille

    - 2 citron

    - 1 céleri

    - 500 g de pommes de terre

    - 3 gros navets

    - coriandre fraiche

    - sel et poivre

     

    Découpez le poulet en gardant les cuisses, les ailes et les blancs.

    Dans une cocotte à fond épais, versez le bouillon de volaille et faites-le bouillir. Ajoutez les pommes de terre, les navets et le céleri et laissez cuire à couvert 15 mn à feu moyen (prolongez la cuisson si les légumes ne sont pas encore tout à fait cuits).

    Salez, poivrez et ajoutez le poulet et les citrons pressés.

    Laissez cuire la soupe 30 mn à demi-couvert.

    Vous pouvez ajouter de la coriandre fraiche sur la soupe en fin de cuisson.

      

    soupe au citron

     

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    FEUILLES DE VIGNE (DOLMAS)

     

    Recette pour 4 personnes :

    - 250 g de feuilles de vigne en boite en verre

    - 2 verres de riz lavé

    - 200 g de steak hâché

    - 1 gros oignon hâché

    - Persil effeuillé

    - 2 grosses tomates coupées en dés

    - 1/2 verre de jus de citron

    - 1 verre d'huile d'olive

    - 1 cuil. à soupe de concentré de tomates

    - 1 cuil. à soupe de sel

    - Thym et laurier hâchés

    - 1 cuil. à café de poivre

    - 1/2 cuil. à café de curcuma

    Préparer, dans un grand bol, la farce avec : le riz, steak hâché, oignon, persil, tomates, jus de citron, huile d'olive, concentré de tomates, sel, poivre, curcuma, thym et laurier.

    Farcir la partie rugueuse des feuilles. Déposer pour cela une cuillère à café de la farce sur chacune des feuilles de vigne. Les enrouler ensuite en pliant chaque côté. La farce doit être complètement recouverte par la feuille, on ne doit plus voir la farce.

    Disposez les feuilles de vigne ainsi préparées dans une casserole à fond épais. Recouvrir de 2 verres d'eau, 1/4 de verre de citron pressé, 1/2 cuil. à café de sel et 3 cuil. à soupe d'huile.

    Laissez cuire à couvert et à feu doux jusqu'à ce que le riz ait totalement absorbé l'eau.

    Si le riz n'est pas assez cuit, rajouter 1/2 verre d'eau et laisser cuire encore un peu (environ 10 mn).

    Les feuilles de vigne peuvent être congelées. Elles se consomment chaudes ou tièdes. Froides, elles perdent un peu de leur saveur.

     

     

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